Je sais, on a envie de dormir tranquille, de faire de beaux rêves. Sauf que c'est toute la journée qu'on est dans un rêve, malgré les licenciements, la casse sociale, l'escroquerie bancaire, les lois iniques, l'usurpation démocratique. Malgré l'abrutissement généralisé. Qui sert à qui? Pourquoi?
Aujourd'hui dans notre pays, on envoie en prison des parents qui cherchent à protéger leurs enfants contre cette bande de sodomites cocaïnés qui nous dirigent, qui pompent le fric comme ils pompent les gosses. Vous avez envie de vomir? Moi aussi!
Et les gamins, eux, ils en disent quoi? Ils pleurent, ils crient, ils souffrent et se détruisent, sous nos yeux. Mais, on veut dormir tranquille.
A Lyon aujourd'hui 23 octobre, deux parents ont été mis sous les verrous par la brigade départementale dite "de protection des familles". Dernière provocation en date dans un dossier qui date d'il y a six ans désormais. C'est ça, la France.
Audrey et Loïc sont privés de liberté depuis ce matin, sans aucune raison valable. Ces parents n'ont strictement rien à se reprocher, et il semble que nous sommes nombreux à le savoir. Ils essaient seulement de sortir leurs enfants, Loriane et Mathieu, d'un réseau pédophile et probablement sataniste.
On a déjà parlé ici de Loriane et Mathieu, deux enfants de 9 et 6 ans, qui sont envoyés par la Justice française dans les griffes d'un très gros réseau pédocriminel. Parce que dans cette affaire aussi, on retrouve des familles importantes impliquées dans la magouille. Loriane, la fille de Loïc, a parlé dès 2008 des abus commis par le nouvel ami de sa mère, S.B. Mais comme on le voit trop souvent, la justice a confié l'enfant à sa mère, et à S.B. Qui s'amuse à lui planter des aiguilles dans tout le corps, lors de rituels étranges.
Quant à Mathieu, le fils d'Audrey, il est toujours victime de piqûres d'aiguilles que sa mère ne peut matériellement pas avoir commises, preuves à l'appui. Il est aujourd'hui placé dans un foyer, sa mère ne le voit qu'en présence d'éducateurs, et pourtant elle retrouve son fils couvert de piqûres d'aiguilles. Apparemment, d'autres enfant étaient victimes, probablement une vingtaine.
Il est difficile de savoir à quoi servaient ces piqûres, mais les enfants auraient parlé de grandes robes africaines et d'une langue bizarre. Les aiguilles avec lesquelles ils étaient piqués avaient des couleurs bien précises, dont on ignore la signification.
La mère de Loriane a changé de compagnon et déménagé avec sa fille dans le Var, au Luc, où opère également le réseau du Var (cette affaire dans laquelle on a recensé pas moins de seize meurtres d'enfants). La petite dort là bas dans une cave, ce qui a été vérifié par plusieurs personnes.
On sait aussi que les enfants sont drogués. On leur fait prendre un produit, et puis il s'endorment. Ensuite, Loïc récupérait Loriane avec des piqures d'aiguilles. Elle a aussi été violée, et il est fort probable que les dingues qui la détiennent aient un autre programme pour elle.
La première fois où il a tenté de porter plainte pour les maltraitances sur sa fille (qui en plus se faisait traiter par S.B de petite pute etc.), il a suffi de donner le nom de famille de S.B pour que le Procureur menace Loïc de prison s'il ne ramenait pas sa fille. Et les choses n'ont fait qu'empirer.
Aberrant, et pourtant vrai. Audrey et Loïc ont de nombreux certificats médicaux qui prouvent que leurs enfants sont victimes d'abus, et pourant ni la police, ni la justice ne veulent rien entendre. A Lyon, il y a aussi cette affaire Chomarat, dont on entend parler depuis quelque temps. Un cas d'internement forcé, d'abus psychiatrique. Mais comme par hasard, c'est une autre grande famille de Lyon qui est concernée.
Dictature en marche
Cela fait déjà quatre ans que ça dure, et aujourd'hui on est au summum de l'arbitraire: mardi matin, Loïc et Audrey ont été convoqués par téléphone rue Saint jacques, Lyons 3e, à la "brigade départementale de protection des familles", chargée des affaires les plus lourdes. On pourrait se dire "hourra, ils ont enfin compris, Loïc et Audrey sont enfin convoqués pour expliquer les faits".
Mais non. Le couple a été mis en garde à vue, et les poulets refusent de dire quoi que ce soit à la famille au prétexte que "ils sont majeurs".
Dans l'après-midi, une perquisition a été opérée au domicile du couple, en présence d'Audrey seule, qui a des problèmes cardiaques. Aucun témoin, à part Audrey qui sera au secret jusqu'à cet après-midi, quand elle sera probablement déférée devant un juge, avec Loïc.
Il faut savoir que ni l'un ni l'autre n'a quoi que ce soit à se reprocher. Aucune maltraitance, aucune plainte, rien.
On marche donc sur la tête, une fois de plus. Et tout le monde se demande ce qu'il va advenir des deux autres enfants du couple, qu'ils ont eus ensemble. Les SS (services sociaux) vont-ils mettre la main dessus également?
On peut aussi se demander pourquoi de telles couvertures, pourquoi une policière a déclaré à un témoin qu'elle avait "toute confiance" en S.B, pourquoi les services sociaux, demandant un rapport en urgence suite à une hospitalisation de Loriane, ne fixent la date de remise que début 2013? Pourquoi rien ne bouge malgré les nombreux éléments apportés par la famille?
La réalité, c'est que nous sommes dans un Etat où la pédophilie est institutionnelle. C'est un système, destiné à compromettre, à attirer, à s'amuser.
Toute l'énergie déployée pour que Loriane et Mathieu, mais aussi Marine, Hugo, et tant d'autres, restent sous l'emprise des pédophiles, n'est absolument pas rationnelle. Le coût de tout cela pour la Justice, et donc pour le contribuable, est impressionnant. Il faut payer les juges, avocats, procureurs, experts, flics... Tout cela pour ne pas coincer les pédophiles, mais les parents qui tentent de les protéger. Ce n'est pas rationnel.
Loïc et Audrey ont passé la nuit en prison, personne ne sait ce qu'on leur reproche, ils ont subi une perquisition dont on se demande si elle n'a pas servi à planquer quelques éléments "compromettants", ils sont menacés par les pédophiles mais ne peuvent pas porter plainte parce que la police le refuse, et tout va bien madame la marquise.
J'ai l'impression que dans un pays qui est capable de ce genre d'ignominie, on ne peut résolument pas dormir tranquille.
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