Ce drame s'était déroulé dans la région d'Idlib (nord de la Syrie). Suite à cela, ayant choisi le mauvais camp, il avait été transféré à l'hôpital international d'Antakya, en Turquie, le berceau des terroristes qui entrent par milliers en Syrie.
Comme on pouvait s'attendre, le président de la République François Hollande, et le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, se sont précipités pour lui rendre hommage. Selon un communiqué de l'Elysée:
Ici, nous faisons pareil. En revanche, nous ne nous cantonnons pas à pleurer des morts par compassion sélective. Pas de parti pris devant la mort d'un être humain, à moins d'être comme un animal car, la commune mesure entre un homme et un animal, c'est l'instinct. Espérons que ces gens ne sont pas restés à ce niveau de prédation, et qu'ils ont encore un peu d'humanité.«Sa disparition rappelle tragiquement les risques pris par les journalistes pour informer nos concitoyens, quels que soient les dangers»
Commentaires des Lecteurs
Lettre d'Information