Après avoir bien commodément été étiquetés de « membres de sectes » au gré des humeurs des castes politiques ou médicales, ceux qui OSENT émettre des critiques sur les vaccinations pourraient bientôt être étiquetés « terroristes ». En cause: un ajout très récent dans le Code pénal belge dont faisait état le site de Gerard de Selys.

Terrorisme illustration
© Inconnu
« Nous serons tous des « terroristes » en Belgique. Le sénat belge a adopté ce mercredi 30 janvier 2013 le projet de loi, déposé par la ministre de la Justice belge, qui dote le code pénal belge d'un article 140 bis incriminant pour terrorisme l'auteur de « tout message public » qui « préconise directement la commission d'infractions » visant à déstabiliser ou détruire le système économique et/ou politique qui régit nos sociétés et, ce, malgré l'avis rendu par le Conseil d'Etat, le 18 septembre dernier, qui estimait que cet article restreignait les libertés d'association et d'expression garanties par la Constitution belge. »
En effet, en interprétant comme bon leur semble ce genre de phrasé, il sera facile aux autorités en mauvaise posture de prétendre que ceux qui partagent publiquement leurs questions et leurs critiques sur le scandale vaccinal (sans conteste un des scandales les plus préoccupants de toute l'histoire de la médecine pour ceux qui se sont vraiment donné la peine de creuser ce sujet à fond) sont des « terroristes » et qu'ils seraient à même de « déstabiliser » le système économique ou politique puisque les intérêts de sociétés pharmaceutiques sont considérés comme « Raison d'Etat » (cfr la note qui figure à la fin du livre Le nouveau dossier noir du vaccin contre l'hépatite B et qui émane des Ministères à destination des renseignements généraux pour ficher les opposants au vaccin anti-hépatite B). En 2007, un rapport du Sénat français stipulait explicitement que les autorités doivent considérer les firmes pharmaceutiques comme leurs « partenaires naturels ».

Il est donc clair, compte tenu de l'incapacité TOTALE des experts officiels à répondre aux questions objectives et dérangeantes sur l'évaluation de la sécurité vaccinale, que les tentations vont être de plus en plus fortes d'éluder le fond du sujet au profit d'attaques destinées à discréditer les opposants et à éviter ainsi d'avance tout débat embarrassant.

Si on ajoute à cela la perspective d'options spéciales des navigateurs pour « marquer comme terrorisme » divers contenus, il n'est pas difficile de voir les véritables intérêts qui useront et abuseront de ce genre d'outil hasardeux et opportuniste.

Pourtant, à bien y réfléchir, la vaccination emprunte de nombreux points communs avec le terrorisme, parmi lesquels :
  • l'usage de la peur comme moyen d'action (la peur fait vendre; on fait peur aux gens pour que ceux-ci puissent ainsi accepter l'idée de telle ou telle vaccination qu'ils n'avaient initialement pas demandée) ;
  • des victimes certaines mais imprévisibles (on sait qu'elles seront victimes mais on sait difficilement dire où, quand et sur qui ca va tomber)
  • l'idée de « sacrifice » (on prétend qu'il faut sacrifier un certain nombre pour le soi disant « Bien commun ») ;
  • la notion de chantage aussi (par exemple des groupes terroristes peuvent dire « si vous ne faites pas ceci ou ça, nous tuerons les otages » ; avec la vaccination, on pratique un chantage continuel : pas de vaccins ? Alors pas de crèches, ou bien plus de travail, plus d'école etc.) ;
  • etc., etc.

  • P.S. : un visiteur nous fait remarquer dans son commentaire intéressant que si les officiels considéreront allègrement que des actions comme les nôtres sont une menace politique et/ou économique, la seconde condition (le fait de diffuser un message incitant à commettre des infractions) ne pourrait être remplie en l'espèce puisque nous nous contentons de diffuser une information étayée et référencée sur les non-dits vaccinaux dans le strict respect des lois...

    Toutefois, en ce qui concerne les officiels, il suffit de voir que pour eux, l'arrêté royal de 66 (obligation polio) doit primer sur la loi du 22 août 2002 (droit des patients, consentement éclairé) et que l'arrêté de février 2003 qui avalise la tyrannie vaccinale de l'ONE ne pose aucun problème! Comme ils sont finalement dans une logique de déni complet du libre-arbitre des gens (il suffit à ce propos de voir l'acharnement inacceptable de la Communauté française avec les vaccins HPV, au point d'envoyer une ambassadrice, ou encore avec sa pub trompeuse en faveur des vaccins tout au long de la vie), situation dans laquelle il est donc question d'essayer de LEUR FORCER LA MAIN, ils projettent bien sûr leur propre attitude sur autrui et prétexteront que, si les gens choisissent, après s'être informés, de refuser des vaccins, fussent-ils obligatoires dans les textes, ce sera « à cause de nous » et qu'ils se seront laissés « embrigadés ». Mais c'est là la grande différence entre nous et eux, nous, nous mettons une info à disposition et nous considérons que c'est aux gens de trancher, eux, à la manière de despotes éclairés » , ils considèrent que les gens doivent vraiment faire ce qu'eux ont jugé officiellement « bon » pour eux à leur place [c'est ce qu'on appelle un procédé régressif d'infantilisation du citoyen].