Traduction : Initiative Citoyenne

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Les vaccins peuvent provoquer la rougeole. Un enfant qui avait attrapé la rougeole à cause du vaccin excrétait le virus vaccinal de la rougeole par la gorge et l'urine.
Il existe de nombreux cas d'échec du vaccin ROR, avec des individus vaccinés qui attrapent la rougeole sauvage et infectent d'autres personnes pourtant vaccinées. Et il y a sans cesse des épidémies d'oreillons et de coqueluche dans des populations hautement vaccinées: un exemple avec une habitante de New York qui provoque une épidémie de rougeole chez d'autres personnes vaccinées, selon un article paru dans Science en avril 2011.


La plupart des gens ne savent pas que 5% des personnes qui reçoivent le vaccin ROR développent la rougeole à cause du virus vivant contenu dans le vaccin : « Près de 5% des enfants immunocompétents qui reçoivent leur première dose du vaccin ROR font une rougeole légère avec fièvre et éruption cutanée. La souche vaccinale peut provoquer une rougeole sévère chez les personnes immunodéficientes. » ( BMJ RAPPORT DE CAS éruption cutanée chez une fille de 15 mois. )

Ce que la plupart des gens ne savent pas non plus, c'est que le virus vaccinal vivant est excrété par ceux qui sont infectés par la rougeole vaccinale. On vous dit de vacciner votre enfant pour protéger ceux qui ne peuvent pas se faire vacciner... et pourtant, tout le monde sait que les maladies peuvent se transmettre par la toux, les éternuements...

Voici l'exemple d'un enfant infecté par le vaccin et présentant des symptômes de rougeole excrétant le virus dans sa gorge et son urine:

« Nous décrivons une excrétion de la souche vaccinale de la rougeole Schwarz chez un enfant qui avait développé une maladie avec éruption cutanée et fièvre huit jours après la primo-vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Des prélèvements de la gorge et des échantillons d'urine ont été collectés, respectivement les cinquième et sixième jours de maladie. Le génotypage a montré la souche vaccinale de la rougeole Schwarz (génotype A). Si la rougeole et la rubéole ne faisaient pas l'objet d'une surveillance renforcée en Croatie, soit le cas aurait été mal interprété comme rubéole, soit il n'aurait pas été diagnostiqué du tout.»

Coup de projecteur sur la rougeole en 2010: excrétion d'un virus de la rougeole de souche vaccinale dans l'urine et les sécrétions pharyngiennes d'un enfant chez qui la vaccination avait été associée à une maladie avec éruption cutanée et fièvre, Croatie, mars 2010.

Voici un cas pour lequel la rougeole vaccinale s'est développée bien au-delà de la période normale d'incubation de la rougeole :

« Le génotype du virus a été déterminé par le National Microbiology Laboratory à Winnipeg, Canada, comme étant de souche vaccinale, génotype A, MVs/British Columbia/39.13 [A] (VAC) »( Cas de rougeole associé au vaccin cinq semaines après vaccination, Colombie-Britannique, Canada, octobre 2013 ).

L'année passée en Grande-Bretagne, des parents ont reçu l'information que leur enfant en bonne santé pouvait mourir s'il n'était pas vacciné avec le ROR et que 1 enfant sur 1000 qui attrapent la rougeole en mourra. Or, les données provenant de la UK Health Protection Agency (Agence de protection de la santé britannique) montrent qu'il y a eu presque 107 000 cas rapportés de rougeole en Grande-Bretagne depuis 1992, mais pas un seul cas d'enfant ou d'adulte en bonne santé mort de rougeole sévère n'a été rapporté depuis 1992. Les seuls décès rapportés depuis le dernier décès en 1992 de rougeole sévère ont été rapportés chez trois personnes souffrant déjà d'une immunodéficience et non pas chez des enfants en bonne santé, vaccinés ou pas. Il n'y a donc eu aucun décès durant toute cette période chez les 5-10% d'enfants non vaccinés, mais les sources officielles ont prétendu à tort qu'une personne sur mille qui attrapent la rougeole en mourra.

Voyez les chiffres, et particulièrement la citation en bas de la page web du HPA:
« Avant 2006, le dernier décès de rougeole sévère a eu lieu en 1992. En 2006, il y a eu un décès dû à la rougeole chez un garçon de 13 ans qui souffrait de maladie pulmonaire sous-jacente, et prenait des médicaments immunosuppresseurs. Un autre décès en 2008 était dû à une rougeole sévère chez des enfants non vaccinés souffrant d'une immunodéficience congénitale dont la condition ne nécessitait aucun traitement avec des immunoglobulines. En 2013, un décès a été rapporté chez un homme de 25 ans suite à une pneumonie aiguë consécutive à la rougeole. » ( Notifications des cas de rougeole et de décès en Angleterre et au pays de Galles, 1940-2013 ).

Ce que le HPA britannique omet de signaler concernant le décès de l'homme de 25 ans au pays de Galles, c'est qu'il était en mauvaise santé et immunodéficient. Il prenait des médicaments, il souffrait d'insuffisance pondérale sévère et était traité pour une addiction à l'alcool. Et il est décédé deux jours après avoir été renvoyé à la maison par son propre médecin. Ce dernier ne lui avait pas prescrit de soins médicaux malgré une éruption cutanée rougeoleuse et en pleine épidémie de rougeole dans le sud du pays de Galles. L'article mentionne juste que la pneumonie après la rougeole est « l'une des causes de décès les "plus probables" », de sorte qu'il n'est même pas certain que la pneumonie consécutive à la rougeole ait été la cause certaine du décès:
« La pneumonie à cellules géantes est une des causes de décès les "plus probables" associées à la rougeole. Les analyses de sang et d'urine menées ont révélé que M. Colfer-Williams, qui souffrait d'insuffisance pondérale sévère [...], avait pris plusieurs antidépresseurs et autres médicaments. »
L'enquête révèle que l'homme décédé pendant l'épidémie de rougeole à Swansea est mort des suites de la maladie, juillet 01, 2013.

Les personnes qui attrapent la rougeole naturellement ont toujours gagné une immunité à vie. Il est désormais clair qu'à cause de la vaccination, les adultes pourraient être amenés à recevoir des rappels du vaccin contre la rougeole tout au long de leur vie. Ainsi, la vaccination semble avoir détruit l'immunité conférée par la maladie naturelle au sein de la population. C'est un résultat plutôt étonnant pour une mesure introduite pour soi-disant éradiquer la rougeole aux USA en une seule année, 1967: "Éradiquer la rougeole en 1967 avec une couverture vaccinale de 55%".

La mission a échoué, elle a continué à échouer au cours des années 1970s, a encore échoué en 1984 aux USA et en 1988 en Grande-Bretagne et dans d'autres pays avec l'introduction du vaccin ROR. Nouvel échec lorsque les deux doses de ROR ont été introduites parce qu'une seule n'était pas suffisante. Et nouveaux échecs systématiques au fur et à mesure que les autorités sanitaires ont continué à relever le niveau de couverture vaccinale afin d'atteindre la fameuse « immunité de troupeau. Maintenant, même des niveaux de couverture de 95% ne suffisent toujours pas. Après ça, il faudra une couverture de 100%, obtenue par la vaccination obligatoire, et cela ne suffira toujours pas, avec des rappels qui sont d'ores et déjà recommandés pour les adultes...

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Les parents suisses ont eux aussi une association indépendante qui les informe valablement sur la propagande vaccinale. A l'occasion de la Semaine européenne de la vaccination, cette association suisse avait rédigé un courrier scientifiquement étayé pour expliquer les réticences à cette vaccination contre la rougeole, qui peut, entre autres très nombreux effets secondaires, induire de toutes pièces une épilepsie. En comparaison, le courrier du médecin cantonal sur la vaccination contre la rougeole fait bien pâle figure et s'apparente nettement plus à un courrier marketing qu'à un avis médico-scientifique circonstancié. [Un grand merci à la traductrice pour sa traduction et pour ces infos sur la situation suisse!]