bill gates ebola
Les médias de masse font un battage sur la plus grande épidémie « jamais vue » d'Ebola en Afrique de l'Ouest.

On nous dit que cette terrible maladie, qui provoque des symptômes qui ressemble à des scènes de film d'horreur, se répand aux Etats-Unis. Certains Américains annulent leurs vacances et refusent de s'embarquer dans un avion, pensant qu'ils pourraient y attraper le virus Ebola.

Les gens sont terrorisés par des images horribles, talonnés par la peur d'une mort rapide et terrible, et la peur des avions. Les craintes sont hors de proportion avec la réalité de la menace. Un air de déjà vu ?

Le 11 Septembre 2001, les américains ont été soumis à un contrôle psychique à partir d'un traumatisme, « une forme intensive de technique de lavage de cerveau connue sous le nom de coercition , décrit dans un livre de Douglas Rushkoff du même nom. Le contrôle psychique à partir d'un traumatisme, utilise la peur extrême ou la terreur pour façonner le subconscient de ses victimes. C'est une technique très efficace pour amener les gens à se soumettre à l'autorité sans se rendre compte de ce qu'ils font ni pourquoi ils le font.

À l'automne 2001, nous avons été endoctrinés à croire que les musulmans radicaux, en utilisant des avions, l'anthrax, et qui sait quoi d'autre, voulaient et pouvaient tuer un grand nombre d'Américains. Ainsi, les États-Unis sont entrés en guerre contre les pays musulmans, ont persécuté les musulmans du monde entier, mis la Constitution en pièces, jeté des dizaines de milliards de dollars par les fenêtres, et risqué une faillite tant morale que financière.

Depuis lors, la preuve que la peur de l'anthrax du 9/11 était un canular a laissé de nombreux Américains plus tristes mais plus avisés. Aujourd'hui, chaque fois que le gouvernement et les grands médias commencent à terroriser la population avec une menace avec un grand tapage, les observateurs avertis se demandent : est-ce une menace réelle ? Ou juste une autre manipulation ?

Dans une interview exclusive avec Truth Jihad Radio , le Dr Garth Nicolson, un grand expert en maladies émergentes et guerre biologique, a suggéré que la menace d'Ebola a été exagérée en raison de la nature spectaculaire des symptômes. En effet, le Dr Nicolson a suggéré que ce sont précisément ces symptômes spectaculaires, qui apparaissent très rapidement, qui font que l'Ebola est relativement facile à contenir :
« Si vous avez une maladie vicieuse et hautement mortelle comme le virus Ebola, cela attire beaucoup d'attention. Mais vous pouvez immédiatement isoler les patients, et ainsi contenir l'ensemble du processus. »
Une maladie spectaculaire qui attire beaucoup d'attention, mais est incapable de tuer un grand nombre de personnes, est idéal pour les manipulations de l'opinion publique. L'un des principaux indicateurs d'une manipulation est la disproportion entre l'impact massif de l'évènement sur le public et la réalité faible de la menace présumée.

Ce schéma a toujours existé depuis des siècles.

Au début du 17ème siècle en Angleterre, le parti de la guerre de Robert Cecil voulut lancer un assaut sur les empires espagnols et portugais, mais il en fut empêché par la politique irénique du roi Jacques 1er et certains de ses conseillers, et également par la réticence de l'opinion publique pacifique. Etant donné que l'Espagne et le Portugal étaient des pays catholiques, Cecil avait besoin de convaincre ses compatriotes qu'ils avaient affaire à une terrible « menace catholique. » Alors il trouva un agitateur catholique radical, Guy Fawkes, le plaça dans un tunnel sous le bâtiment du Parlement avec quelques barils de poudre détrempée , et le fit arrêter conformément au plan.

L'intrigue de Cecil avait fonctionné à la perfection. De toutes les chaires anglicanes du pays, les prêcheurs dénoncèrent les méchants extrémistes catholiques qui avaient presque fait sauter l'ensemble du gouvernement britannique. La population britannique entra dans un état d'hystérie anticatholique similaire à l'hystérie antimusulmane américaine de l'après-11/9. Et Cecil obtint sa guerre.

En fait, les catholiques britanniques ne présentaient que peu, ou pas du tout, de menace réelle. Mais en raison de l'impact considérable de la conspiration des poudres de Cecil sur l'imaginaire populaire, la population était convaincue qu'une vague déferlante de catholiques avait déjà débarqué.

Le gouvernement des États-Unis, comme le gouvernement britannique, a maintes fois convaincu ses citoyens de craindre une menace exagérée ou inexistante. En 1847, Washington a fabriqué une fausse « invasion mexicaine. » En fait, le Mexique était beaucoup plus faible que les États-Unis et ne représentait absolument aucune menace. Mais les gros titres effrayants précipitèrent les américains dans la guerre contre le Mexique, et Washington vola ainsi près de la moitié du territoire du Mexique.

En 1898, une fausse « menace espagnole » fut fabriquée par le naufrage sous faux-drapeau de l'USS Maine dans le port de La Havane. En réalité, l'Espagne ne représentait aucune menace pour les États-Unis; étant la partie la plus faible, elle voulait éviter la guerre. Mais encore une fois, les Américains ont été endoctrinés dans la peur d'une menace inexistante d'une attaque sous faux drapeau. Et une fois de plus, Washington a utilisé l'hystérie qui a suivi pour s'emparer de larges pans de territoire pour que ses banquiers et ses capitalistes puissent s'y engraisser.

Avant la Première Guerre mondiale, une menace allemande inexistante pour les États-Unis a été fabriquée par deux opérations de manipulation : le télégramme fabriqué de Zimmerman qui a convaincu les Américains que l'Allemagne conspirait avec le Mexique pour envahir les États-Unis; et le naufrage orchestré du paquebot chargé d'armes « Lusitania. » Une peur hystérique des Allemands gagna les américains, et ils entrèrent en guerre au nom des britanniques et de leurs financiers sionistes.

Washington et Londres ont également entraîné les Etats-Unis dans la Seconde Guerre mondiale à travers une menace fabriquée. Ils ont utilisé un plan en huit points qui consistait à couper l'approvisionnement en pétrole du Japon pour le forcer à attaquer les Etats-Unis à Pearl Harbor. Le choc spectaculaire des images d'actualités a convaincu les Américains qu'ils faisaient face à une menace terrible du Japon et de son allié allemand. En fait, si les États-Unis étaient simplement restés neutres, il n'aurait jamais fait face à aucune menace d'aucune sorte.

Dans les années 1960, une autre menace inexistante - venant du Vietnam, cette fois - a été fabriquée pour amener les Etats-Unis dans la guerre totale contre ce pays. Une fausse attaque vietnamienne contre l'Amérique, le fameux incident du golfe du Tonkin, a été organisée.

Ce ne sont que quelques-uns des nombreux exemples qui montrent que l'hystérie collective des tapages médiatiques est presque toujours au service d'un agenda caché.

Quel pourrait être l'agenda caché derrière la peur d'Ebola ?

La chercheuse Anne Sullivan fait valoir que l'épidémie orchestrée d'Ebola en Amérique pourrait être utilisée pour « créer un niveau six d'alerte pandémique qui comprend des vaccins obligatoires, qui eux, contiendront de vrais Ebola. » Ce lugubre scénario cauchemardesque suppose qu'une faction eugéniste de l'élite mondiale utiliserait une fausse menace Ebola pour en créer une vraie.

Avec ou sans menace réelle, le gouvernement américain pourrait utiliser le spectre d'une alerte pandémique pour neutraliser les Américains et leur retirer les quelques lambeaux restants de leurs droits constitutionnels. Le président Obama a récemment signé un amendement au décret de George W. Bush 13295, qui autorise « l'arrestation, la détention, ou la libération conditionnelle de personnes, afin de prévenir l'introduction, la transmission ou la propagation de maladies suspectées comme transmissibles ». L'amendement d'Obama élargit l'ordre pour permettre la détention d'un nombre illimité d'Américains sur la base de simples soupçons d'être atteints de maladie dangereuse.

Pourquoi le gouvernement des États-Unis fabriquerait-il une menace de maladie, réelle ou simulée, comme excuse pour la loi martiale ou la détention de masse ? Il pourrait le faire en tant que mesure préventive contre une probable agitation populaire si le dollar s'effondre et si l'économie américaine implose. Actuellement, les pays du BRICS, dirigés par la Russie et la Chine, sont en train de laisser tomber le dollar américain, qui tourbillonne avec une rapidité croissante et s'apprête à couler. Lorsque le dollar prendra son plongeon final, les Américains devront faire face à toutes les conséquences de la dilapidation par le gouvernement de milliards de dollars dans les guerres du 9/11. Le résultat probable : une deuxième révolution américaine.

Si le gouvernement américain arrive à terroriser les Américains par le virus Ebola, à militariser la société, et à enfermer des milliers ou des millions de personnes dans les camps de concentration, il peut être en mesure de parer à la révolution avant qu'elle ne commence. Cela au moins, pourrait être leur plan.

Mais il n'est pas possible que l'Ebola naturel crée une pandémie en Amérique. Il n'est pas facilement transmissible, il manque de longue période de latence, et il ne peut pas survivre à l'extérieur du corps, sauf à des températures extrêmement chaudes et humides.

Alors soyez prévenus : si les médias mainstream signalent une prétendue pandémie d'Ebola en Amérique, il n'y a que deux possibilités : soit ils mentent, soit ils ont créé une version synthétique du virus Ebola en tant qu'arme.

Si cela se produisait, nous ferions mieux de commencer la révolution ... avant qu'ils ne nous enferment.

Ou qu'ils ne nous tuent.