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Le leader d'opinion panafricain Kemi Seba a finalement été incarcéré aujourd'hui sur la décision du TGI de Paris pour une affaire qui remonte à plus de quatre ans.

Le motif est tout simplement délirant : violation de contrôle judiciaire et sortie illégale du territoire ! Il est incontestable qu'il s'agit là d'un prétexte fallacieux, illustrant l'hystérie d'un gouvernement qui tente de camoufler sa volonté de stopper le seul homme qui, à mon sens, est aujourd'hui capable de rendre au peuple noir son indépendance et son honneur !

Il est évident que les autorités françaises avaient déjà eu l'occasion de se saisir de ce dossier à au moins deux reprises, puisque Kemi Seba s'est rendu en France ces dernières années ; d'abord en 2012, où il fut livré par les autorités suisses à la police française pour être reconduit à la frontière, puis en 2013, pour présenter son ouvrage Supra Négritude

Il est incontestable, au regard des faits, qu'il aurait été simple pour une justice consciencieuse et honnête de régler cette infraction somme toute assez mineure depuis bien longtemps.

Mais rien ne fut fait, et aujourd'hui, c'est cet odieux prétexte qui est retenu par l'oligarchie sioniste, paniquée face à l'ascension fulgurante de ce brillant résistant, pour le priver de sa liberté dans un climat de montée en puissance évidente de la conscience politique du peuple français.

Ajoutons à cela la peur panique des forces politiques mondialistes d'affronter le scandale que susciterait pour eux la promotion du nouveau livre de Kemi Seba : Black Nihilism.

Le vrai visage de la démocratie apparaît chaque jour plus nettement ; celui de la terreur décomplexée et de l'oppression vicieuse. Toute cette affaire fait suite à une arrestation extrêmement violente alors qu'il quittait le théâtre de la Main d'or après une conférence qui a rassemblé pas moins de 300 personnes. Peu après son départ, la police percute son véhicule avant de le sommer, arme au poing, de sortir et de se rendre aux forces de l'ordre.

On croyait ces pratiques abusives réservées aux terroristes et non aux écrivains et aux penseurs, mais il semble que les méthodes de Tsahal ont fait des émules jusque dans les rangs de la préfecture de police de la capitale !