marine le Pen
Quelle différence y a-t-il entre François Hollande, Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen ? Aucune. Ils vendent tous la France au même acheteur, mais par des intermédiaires différents. Si les deux premiers le font par le biais des États-Unis, Marine le Pen, elle, a choisi Israël, ces deux pays n'étant que des interfaces complémentaires pour le (ou les) même(s) commanditaire(s).

Une vaste campagne médiatique est menée autour du prêt de 9 millions d'euros accordé au Front National par la First Czech Russian Bank de Roman Popov Yakubovich. Tant de bruits pour un simple prêt sont peut-être destinés à cacher l'essentiel. Dans ce jeu de billard où Marine le Pen vient de jouer un coup à plusieurs bandes, essayons d'y voir un peu plus clair en suivant le déroulement de la campagne.

Tout commence par une révélation de Médiapart. Et les fuites de Médiapart mériteraient que l'on se pose des questions sur leur origine et pourquoi elles atterrissent dans les bureaux de ce journal.

Dans un premier temps, Marine Le Pen passe pour être une pro-Poutine, devenant presque aussitôt une familière de Poutine, ce qui renforce l'image nationaliste du FN, endossant les habits d'un Poutine qui passe pour être un nationaliste pur et dur, puisqu'il défend les intérêts de son pays envers et contre tout. L'étape suivante a été d'inverser les rôles. Puisque Marine Le Pen ressemble à Poutine, donc Poutine ressemble à Marine Le Pen. Christine Ockrent en a tiré les conclusions qu'il fallait, à savoir que le président russe est d'extrême droite. Elle n'a plus qu'à compter sur la diabolisation du FN mise en France depuis des années pour dépeindre Vladimir Poutine sous les traits d'un nouveau Hitler finançant tous les partis extrêmes en Europe, égratignant au passage le nouvel ennemi, la Hongrie, mais oubliant soigneusement les nazis ukrainiens.

Interviews de Christine Ockrent :


ou

http://videos.tf1.fr/infos/2014/pour-ockrent-le-pret-d-une-banque-russe-au-fn-n-est-pas-qu-une-question-8527270.html

A entendre Kristine Ockrent, Poutine gère tout, donne des directives partout, accorde ou refuse des prêts, licencie ou nomme qui il veut, dans tous les domaines, etc. à la manière d'un surhomme hollywoodien. Un bon dictateur qui se respecte doit être responsable de tout ce qui se passe dans son pays. Des banques françaises accordent des prêts tous les jours à d'éminents étrangers, mais il ne viendra jamais à l'idée de Mme Ockrent d'incriminer François Hollande dans la transaction. François Hollande n'est pas un dictateur ! Pour Vladimir Poutine, il s'agit bien de passer à une étape supplémentaire dans l'hitlérisation de son image, et Marine Le Pen, volontairement ou non, participe pleinement à cette opération.

Christine Ockrent, que l'on n'a pas vue depuis longtemps, a été embauchée pour la circonstance pour nous éclairer sur la nouvelle ''idéologie extrémiste'' de Vladimir Poutine. Le FN, encore une fois, joue pleinement son rôle pour lequel il a été créé et maintenu jusqu'à aujourd'hui, être un démon auquel on peut vouer toute personne que l'on voudrait diaboliser. Que Christine Ockrent, grande figure du sionisme en France, ait été choisie pour cette campagne n'est pas anodin. En effet, à toutes les étapes de l'opération, on sent l'empreinte du sionisme.

Le prêt au FN s'est déroulé comme pour tout emprunt de sommes importantes, avec des pourparlers, des intermédiaires, des facilitateurs, etc. Les bruits assourdissants que font les médias autour de cet emprunt, en mettant en avant la soi-disant relation entre Mme Le Pen et la Russie, ne font que couvrir le dessous des cartes. Or, l'homme clef qui a permis que le prêt se concrétise est Alexandre Babakov, qui a deux caractéristiques dont Christine Ockrent ne parlera jamais : il est président d'un parti de Gauche, le Rodina, et il a une triple nationalité : russe, suédoise et... israélienne. On comprend alors que le tapage médiatique soit bien accueilli, et même amplifié, par Marine Le Pen qui peut ainsi éviter de parler de choses qui pourraient fâcher une partie de son électorat.

Il lui serait, en effet, posé certaines questions auxquelles elle aurait du mal à répondre, dont celle-ci par exemple : quels rapports le FN entretient-il avec un homme de gauche, possédant néanmoins un château en France, portant la nationalité israélienne, sachant qu'un oligarque israélien est forcément sioniste (sinon il n'aurait aucune chance d'être un oligarque) ?

En définitive, le prêt de 40 millions accordé au FN (les 9 millions dont tout le monde parle ne sont que la première tranche) a été possible grâce au réseau sioniste. En échange de quels services en France ?