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Théorie de la gestion de la terreur

La théorie de la gestion de la terreur postule que chaque fois que nous sommes confrontés à une information qui nous rappelle la mort - comme tout simplement la mention du 11 Septembre - notre anxiété augmente, puisque cela évoque notre inévitable propre mort. Cette anxiété est appelée « projection de la mort ». Des études montrent que notre comportement devient immédiatement plus défensif quand nous pensons à la mort. À notre tour, nous devenons de plus en plus inquiets. Cela nous amène généralement à afficher une préférence accrue en faveur des membres de notre propre groupe (le « in-group » ou « groupe soudé »), contre ceux qui n'en font pas partie (le « out-group ») ; à montrer davantage de « tendance au consensus », ou de favoritisme envers ceux qui ont des convictions semblables aux nôtres ; et à développer une « conviction compensatoire », une foi exagérée dans notre vision du monde personnelle, comme un penchant envers notre propre pays et notre propre religion.

Par conséquent, lorsque nous les sceptiques tentons de sensibiliser les gens sur le 9/11, nous provoquons de l'anxiété chez nos auditeurs puisque, inconsciemment, nous évoquons leur propre mort. S'ensuivent alors des comportements plus défensifs. En outre, si nos auditeurs nous considèrent comme des membres d'un groupe minoritaire, ils résistent généralement à ce que nous disons - du moins au début. Si, en revanche, ils nous considèrent comme des membres du groupe majoritaire, ils sont davantage susceptibles d'admettre nos informations. En d'autres termes, les gens aiment être du côté des gagnants, ou au milieu de la courbe en cloche, comme nous l'avons vu dans la partie 6 : Conformisme.

A ce jour, les sceptiques vis à vis de la version officielle du 9/11 sont généralement considérés comme les tenants d'une opinion minoritaire, mais ce n'est pas nécessairement le cas. Les bonnes nouvelles proviennent de la recherche qui montre que les informations provenant d'un groupe perçu comme minoritaire, même si elles sont d'abord réfutées, ont souvent un impact caché ou retardé. Lorsque les auditeurs entendent de façon répétée des opinions dissidentes, ces points de vue deviennent plus familiers. Ainsi, lorsqu'ils sont interrogés ultérieurement, les individus résistants montrent souvent des revirements en faveur de la nouvelle information. (1)

Le philosophe allemand Arthur Schopenhauer avait compris intuitivement cet impact retardé quand il écrivit :
« Toute vérité passe par trois étapes. Tout d'abord, elle est ridiculisée. Deuxièmement, elle est violemment réfutée. Troisièmement, elle est admise comme étant évidente. »
Ceux d'entre nous qui font le difficile travail de progresser vers la Vérité sur le 9/11 devraient garder cet impact différé à l'esprit. Si nous continuons à semer les graines de l'idée que l'on nous a menti à propos du 9/11, celles-ci vont germer et se développer dans le temps. Mais ensemençons avec des faits documentés, du calme et de la compassion. C'est l'approche la plus susceptible de soutenir le développement de la Vérité sur le 9/11.

Maintenant, examinons la théorie de la justification des systèmes, qui chevauche la théorie de la gestion de la terreur.

Théorie de la justification des systèmes

Les psychologues sociaux ont admis depuis longtemps qu'en raison d'un besoin de stabilité et d'ordre, les gens adoptent des comportements qui renforcent leur estime d'eux-mêmes (ego-justification) et qui encouragent une image positive du groupe auxquels ils s'identifient (justification de groupe).

La théorie de la justification des systèmes va encore plus loin, en postulant que les gens ont un motif supplémentaire pour maintenir la stabilité et l'ordre : ils ressentent le besoin de défendre le statu quo des grands systèmes sociaux auxquels ils s'identifient (justification des systèmes). Dans certains cas, ce besoin de justifier un système social peut aller à l'encontre de ses propres intérêts et des intérêts du groupe. Par exemple, les femmes qui reçoivent un salaire moindre que des hommes pour un travail identique peuvent justifier cette inégalité en déclarant - et en croyant - qu'elles ne méritent pas un salaire égal.

En d'autres termes, les gens veulent se sentir bien vis à vis des systèmes culturels dans lesquels ils vivent. Cela s'applique non seulement à des groupes avantagés, mais aussi à des groupes défavorisés, même lorsque le système culturel dominant s'oppose directement aux intérêts de ces groupes défavorisés.

Quand il s'agit de relever le défi d'accueillir les preuves indiquant que notre gouvernement nous a menti à propos du 9/11 - voire lorsque cette information pointe du doigt la culpabilité d'éléments au sein de notre propre gouvernement - le grand besoin de normalité, de stabilité et d'ordre chez une personne peut être déclenché. Ce besoin peut dominer son besoin de connaître la vérité.

Ainsi la neuroscientifique comportementale Laurie Manwell déclare :
« Il n'est pas surprenant, par conséquent, que lorsqu'ils sont confrontés aux incohérences des événements du 11 Septembre 2001 - par exemple, les conflits entre les informations largement rapportées par les médias grand public, le gouvernement et la Commission sur le 9/11 d'une part, et l'information différente présentée par les moins bien connus médias alternatifs, des experts, des universitaires dissidents, et des dénonciateurs d'autre part - beaucoup de gens réagissent initialement en soutenant bec et ongle la version officielle, au point même de fabriquer des arguments pour soutenir leurs croyances. » (2)
Nous nous rappelons tous le flottement du drapeau qui a commencé immédiatement après le 9/11. Nous pouvons également nous rappeler la déclaration de Dan Rather à la BBC à propos de la peur des journalistes d'être « tenus en laisse » s'ils posaient des questions embarrassantes au sujet de la raison pour laquelle le gouvernement américain était allé envahir militairement l'Irak. Ses déclarations sont un aperçu particulièrement clair de la façon dont la justification des systèmes maintient le statu quo :
« Et à certains égards, la crainte est que vous serez tenus en laisse ici, que vous aurez un « pneu enflammé de manque de patriotisme » à mettre autour de votre cou. Maintenant, c'est cette peur qui empêche les journalistes de poser les plus pénibles des questions pénibles, et de continuer à creuser avec des questions difficiles. Et encore, j'ai honte de dire que je ne m'exclus pas de cette critique .... Ce dont nous parlons ici - qu'on veuille le reconnaître ou non, ou qu'on le nomme par son nom ou pas - est une forme d'auto-censure. Cela commence par un sentiment de patriotisme. Cela se poursuit par une conception particulière que le pays dans son ensemble - et pour tout un tas de bonnes raisons - ressentait et continue de ressentir de l'intérieur cet élan de patriotisme. Et on se retrouve à dire : « Je connais la bonne question, mais vous savez quoi ? Ce n'est pas tout à fait le bon moment pour lui demander »... Je m'inquiète que ce patriotisme déchaîné foulera les valeurs mêmes que le pays cherche à défendre ... » (3)
Beaucoup de sceptiques vis à vis de la version officielle du 9/11 peuvent se rappeler d'avoir été injuriés et châtiés comme « anti-américain » pour avoir remis en cause la version officielle du 9/11 dans les premières années après ces attaques dévastatrices. Des qualificatifs comme « blasphématoire ! » « Cinglé ! », « Immoral ! » et « insultant pour les familles ! » ont souvent été lancés par colère et par ridicule envers les militants pour la Vérité sur le 9/11, surtout dans les premiers jours de notre mouvement. La locution utilisée le plus souvent pour jeter la honte et censurer le messager était - et demeure encore - « théoricien du complot » (4)

Selon la théorie de la justification des systèmes, la peur et le déséquilibre émotionnel résultant du 11 Septembre et des incidents liés à l'anthrax (5) ont stimulé le besoin humain de défendre une vision du monde figée de notre république démocratique, et de rejeter - ou de tenter de censurer avec véhémence - les informations opposées à la version officielle. C'était le temps de la pleine terreur pour notre pays. Beaucoup de citoyens sont devenus de fervents « patriotes », au lieu de remettre en cause, soit la version officielle du 9/11, soit les guerres qui s'en sont suivies. Ils ont soutenu la version officielle de l'administration Bush à propos du 9/11 et se sont rangés derrière les roulements de tambours va-t-en guerre de cette administration.

Un tournant curieux et inquiétant de la pulsion visant à « justifier » notre système a été démontrée par une de mes connaissance qui avait finalement décidé que le 9/11 était une « opération intérieure » [Ndt : la locution « inside job » qualifie le plus souvent une « opération sous faux pavillon » ou « opération sous fausse bannière »] Celui-ci me confia :
« Je vois bien que le 9/11 était une « opération intérieure », qui a été fomentée par notre gouvernement. Après que tu aies regardé 20 heures de vidéos et que tu aies lu un livre ou deux, cela devient évident. Mais je pense que notre gouvernement devait le faire. C'est comme Pearl Harbor. Nous devions entrer dans la Seconde Guerre mondiale à cause des nazis, de sorte que la supercherie [de l'administration de Franklin D. Roosevelt] qui a causé Pearl Harbor était nécessaire. Avec le 11 Septembre, les Saoudiens sont sortis des clous, et puisque nous avons besoin d'eux [pour leur pétrole], nous devions leur montrer ce que nous pourrions faire s'ils sortaient des clous. Ainsi, en attaquant l'Afghanistan et l'Irak, nous leur avons montré - et à tout le monde - ce qui pourrait leur arriver s'ils sortaient des clous. »
Tout aussi surprenant, un autre homme parmi mes connaissances m'a franchement dit : « Je pense que nous avons un grand pays. Tant que ma famille sera bien et que nous pourrons vivre la vie que nous avons, en vérité je ne me soucie pas vraiment de ce qui est arrivé le 9/11 - même si certains éléments de notre gouvernement y ont participé. »

Bien que cela concerne un problème différent, la même attitude a été affichée par une de mes connaissances médecin qui soutient les politiques économiques néolibérales, y compris les « ajustements structurels » - la vente ou le retrait de biens et de ressources publiques tels que les dépenses de santé et l'éducation financés par l'impôt - pour rembourser les dettes dues à la Banque mondiale ou au Fonds Monétaire International. Depuis que les dettes draconiennes accumulées par les responsables gouvernementaux et dues à ces prêteurs sont payées par une combinaison d'impôts touchant les travailleurs, par des coupes dans les dépenses sociales, et par la vente des industries nationales et des ressources naturelles pour une bouchée de pain, ces politiques néolibérales appauvrissent encore davantage la classe ouvrière déjà défavorisée économiquement, entraînant l'enrichissement croissant des rares investisseurs étrangers dans le pays. (6)

En d'autres termes, ces politiques creusent encore le fossé entre les riches et les pauvres. J'ai demandé à ce médecin, « Ne crois-tu pas que nous pouvons prospérer et bien vivre sans que notre prospérité ne soit gagnée sur le dos des autres ? » Sans hésiter un instant, et sans un mot d'excuse, il a répondu : « Non, absolument pas. »

Bien que cette reconnaissance et ce soutien direct de la brutalité de « l'Empire » peuvent être choquants, la même attitude a sûrement été adoptée par beaucoup de Romains, de Britanniques, de Néerlandais, et de citoyens Espagnols qui ont profité, souvent allégrement, des exploits impériaux de leurs pays respectifs à différentes époques. (7) Pourquoi les Américains d'aujourd'hui seraient-ils délibérément moins myopes ? Pourquoi ressentirions-nous moins le droit d'en profiter ou, pour quelque raison que ce soit, mériterions-nous moins la prospérité apportée par les armes de notre « Empire » ?

La justification de notre système impérial peut résider, consciemment ou inconsciemment, à l'intérieur de la psyché de davantage d'Américains que nous aimerions le croire. Je soupçonne que beaucoup de citoyens des États-Unis, qu'ils y aient réfléchi ou pas, adoptent l'attitude sous-jacente, « Laissez les gars dans l'arrière-salle faire notre sale boulot à notre place, mais, s'il vous plaît, épargnez-moi les détails - en particulier la souffrance que ce sale boulot fait endurer aux autres. Je veux juste être en mesure de profiter de mon mode de vie américain. »

Nous nous adressons ici aux citoyens des États-Unis, mais les attitudes de supériorité et du « droit d'en profiter » peuvent être trouvées dans tous les pays (et chez tous les individus) qui agissent « impérialement ». Cette attitude pourrait très bien être une autre origine du syndrome « Je ne veux pas le savoir » qui est analysé dans cet essai.

Nous pouvons mieux comprendre la dangerosité de cette tendance bien humaine à justifier notre système social lorsque nous considérons les « bons Allemands » qui ont vu leurs voisins emmenés de force dans les années 1930. Ils avaient entendu parler des camps de concentration, mais ils n'auraient pas parlé - se justifiant à eux-mêmes, peut-être, que « Notre système est fondamentalement bon et ne pourrait donc pas être aussi mauvais » A son tour, cette justification les a amenés à chercher une explication quant-au fait que leurs dirigeants gouvernementaux devaient en savoir davantage qu'eux-mêmes, et que leur gouvernement devait donc être en train de faire ce qui était le mieux pour eux et pour le pays. En d'autres termes, ils justifiaient leur système social et ils faisaient par conséquent confiance aux garçons dans « l'arrière-salle. » (8)

C'est cette même tendance à rester silencieux - ou pire - que nous essayons de comprendre ici, indépendamment du contexte historique. En jetant un œil en arrière sur les réactions négatives des Américains envers les sceptiques du 9/11, et compte tenu également de la façon dont les gens justifient la violence impériale pour préserver leur mode de vie opulent, on peut se demander s'il y a un espoir pour l'humanité. Heureusement, cependant, lors de certains moments de l'histoire, comme le droit de vote des femmes et les mouvements pour les droits civiques, il a été observé un accroissement de la conscience - peut-être en expansion pendant un certain temps par l'observatoire de la société, jusqu'à ce que tout cela perce finalement une barrière psychologique invisible. Puis le changement se produit, souvent en dépit de conflits apparemment insurmontables.

Même avec des médias corporatistes renonçant à leurs responsabilités à poser les questions qui fâchent au sujet du 9/11 et au sujet des guerres qui ont suivi, les militants de base ont néanmoins diffusé l'information sur les éléments de preuve qui pointent vers une version très différente du 9/11. Le message sort des livres, des articles en ligne, des DVD, des interviews à la radio, des podcasts, des sites Web, des blogs, des conférences, des articles de recherches universitaires et des revues. Cet activisme entourant le 9/11 et d'autres événements, tels que la fuite et la publication du mémo de Downing Street en 2005, ont révélé les mensonges de l'administration Bush. La conséquence a été un effritement de la version officielle hermétique du 9/11 et d'autres prétextes du pouvoir exécutif en faveur de la guerre.

Selon la théorie de la justification des systèmes, lorsque la vision collective du monde s'effrite suffisamment, les mécanismes de défense des gens pour le statu quo s'affaiblissent de concert, et se développe alors un soutien croissant pour une nouvelle vision du monde.(9)

Ceci est confirmé par un sondage Scripps Howard de 2006, qui a révélé que 36% des Américains jugent « très probable » ou « plutôt probable » que des responsables gouvernementaux aient permis que les attentats du 9/11 se produisent, ou qu'ils les aient menés eux-mêmes. (10) Comme le rapporte Lev Grossman dans le magazine Time, « Trente-six pour cent ça représente beaucoup de gens. Ce n'est pas un phénomène marginal. C'est une réalité politique dominante. » (11)

Nous constatons encore l'effritement de la version officielle du 9/11 dans un sondage Angus-Reid qui a comparé les réponses en 2002 et 2006 : Le sondage a révélé qu'en 2002, 21% des Américains pensaient que le gouvernement disait la vérité concernant la connaissance préalable des événements du 9/11, mais en 2006, seulement 16% pensaient encore cela. (12) En nous remémorant les études sur la Diffusion des Innovations dans la partie 2, ces 16% évoquent les « retardataires », les gens qui ne pourront jamais changer d'opinion.

Enfin, selon des observations sur le terrain, les activistes de la Vérité sur le 9/11 rapportent qu'il y a actuellement moins d'hostilité à l'encontre de nos tentatives d'information du public, alors qu'il y a encore beaucoup d'Américains qui savent très peu de choses sur les éléments de preuve que nous présentons. En fait, au cours des dernières années à la foire populaire de Denver, nous avons noté davantage de curiosité à propos de cette question, ainsi qu'une reconnaissance abondante pour nos efforts insistant d'information.

Selon l'analyse de Laurie Manwell :
« ... La confiance des citoyens envers le système politique actuel s'oriente vers un point d'inflexion qui menace de modifier le statu quo : les questions sur les intentions post-11 Septembre de l'administration Bush se traduisent par des questions sur la complicité des responsables américains dans les événements du 9/11, ce qui pourrait avoir des répercussions futures sur la démocratie en Amérique. (13) »
Espérons, pour le bien de notre nation et du monde, que l'analyse de ce savant est exacte.

Notes :

(1) Zakary L. Tormala, Victoria L. DeSensi, et Richard E. Petty, « Résister à la persuasion par des moyens illégitimes : Une perspective Metacognitive sur l'influence de la minorité,« Psychologie Sociale Bulletin 33 (2007) : 354-367 ; cette recherche a été trouvée dans : Laurie Manwell, Ph.D. Candidat, neuroscience et toxicologie comportementale, Université de Guelph, "Les tours défectueuses de la croyance : Partie I, démolir les iconiques barrières psychologiques pour la vérité sur le 9/11," Journal of 9/11 Studies, voir article ICI.

Également pertinente est la présentation de Laurie Manwell lors des audiences de Toronto 2011, où elle présentait la Théorie de la gestion de la Terreur dans la session Q & A ICI.

(2) Laurie Manwell, "Dans le déni de la démocratie : les implications psychologiques sociales pour le discours public sur les crimes d'État post-9/11 contre la démocratie ," le scientifique comportemental américain 53, no. 6 (Février 2010).

(3) La déclaration de Dan Rather ICI.

(4) Lance DeHaven-Smith, la théorie du complot en Amérique (University of Texas Press, 2013). DeHaven-Smith analyse l'histoire du développement du caractère dénigrant du terme « théorie du complot », sur la piste d'une campagne de propagande de la CIA pour discréditer les sceptiques sur le rapport de la Commission Warren.

(5) Graeme MacQueen, "La tromperie de l' Antrax en 2001 : le cas d'un complot national" (Clarity Press, Septembre 1, 2014). Voir l'interview avec le Dr Graeme MacQueen sur les attaques à l'anthrax ICI.

Également, Lance DeHaven-Smith note comment les opérations sous faux pavillon se produisent souvent par groupes dans son livre révolutionnaire, Théorie du complot en Amérique (University of Texas Press, 2013).

(6) John Perkins, "Les Confessions d'un assassin de la finance" (Plume, 2005). Le livre révolutionnaire de Perkins expose la réalité politique dissimulée derrière la dette contractée par les pays du tiers-monde.

(7) Pour une liste des plus grands empires du monde et de leurs conquêtes territoriales et économiques, voir ICI.

(8) Cette discussion évoque l'excellente conférence de David Ray Griffin, "le 9/11 et la foi nationaliste" ; voir la transcription ICI

(9) J. T. Jost, J Pietrzak, I. Liviatan, UN Mandisodza, et JL Napier, "La justification du système comme objectif conscient et non-conscient" dans le Manuel de la science de la motivation, eds. JY Shah et WL Gardner (New York : Guilford, 2008), 591-605 ; cet élément peut être trouvé dans "Dans le déni de la démocratie." de Manwell.

(10) http://www.911truth.org/article_for_printing.php?story=20060802215417462

(11) Lev Grossman, "Pourquoi les conspirationnistes du 9/11 ne vont pas disparaître," Time du 3 Septembre 2006 ; voir le site ICI. Pour une critique de l'article de Grossman, voir http://911review.com/reviews/time/marku ... ories.html

(12) Les Américains interrogent Bush [Ndt : lien inactif, voir ICI, page 8] ; pour davantage de sondages, voir ICI

(13) Manwell, "Dans le déni de la démocratie."