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En répondant à la question posée par le titre de cet essai, le chapitre précédent - la théorie de la détection du signal - a examiné comment le « signal » de la Vérité sur le 9/11 peut être noyé par un « bruit » excessif qui vient de notre monde surchargé d'information, de nos croyances antérieures, et de notre état psychologique du moment. Dans ce nouveau chapitre, nous allons continuer l'analyse de Mme Shure avec la partie 13 : connaissance préalable des crimes d'État contre la démocratie et politiques profondes, qui explore comment notre connaissance préalable des crimes d'État commis par les gouvernements, ainsi que notre connaissance de « l'état profond » (Ndt : parfois appelé « supramonde », notamment par Peter Dale Scott) - par opposition à l'état apparent aux yeux du public auquel nous participons en tant que citoyens - affecte la façon dont nous recevons les éléments qui indiquent que l'on nous a menti à propos du 9/11.

Les personnes ayant une connaissance préalable des délits gouvernementaux et d'entreprise, mais surtout des crimes d'État contre la démocratie (SCADs [0]), ont une capacité accrue à accepter les preuves qui contredisent la théorie officielle de la conspiration du 9/11.

Que sont les SCADs, et comment sont-ils différents des autres crimes politiques ? Lance DeHaven-Smith, professeur d'administration et de politique publique à l'Université d'État de Floride, a inventé [l'acronyme SCAD et] la locution « crimes d'Etat contre la démocratie » pour les distinguer comme des actions illégales ou extrajudiciaires des fonctionnaires ou des élites qui manipulent ou contournent les processus démocratiques et sapent la souveraineté populaire. En d'autres termes, les crimes d'Etat contre la démocratie sont des crimes de haut niveau qui attaquent non seulement les personnes, mais la démocratie elle-même. [1]

Par conséquent, selon DeHaven-Smith :
« la falsification des élections, les assassinats politiques, la fraude électorale, la corruption du gouvernement, les opérations scélérates non gouvernementales, les actions d'Etat anti-démocratiques, et la collusion entre entreprises en faveur d'initiatives extralégales peuvent être classés comme des SCADs. » [2]
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© InconnuLance DeHaven-Smith
Avant le 11 Septembre 2001, chacun de nous possédait des degrés de connaissances divers sur les intrigues politiques. Si, par exemple, nous avions déjà lu « Les politiques profondes et la mort de JFK » du Professeur Peter Dale Scott, ou si nous avions déjà une sérieuse compréhension de SCADs reconnus, tels que l'Iran-Contra [3], les incidents du golfe du Tonkin [4], et en particulier l'opération Northwoods [5], alors nous avions probablement une résistance minimale confrontés aux éléments désignant le 9/11 comme une opération sous faux pavillon. D'un autre côté, ceux d'entre nous qui ne possédaient aucune de ces connaissances avant le 9/11 aurions été placés devant un énorme changement de paradigme lorsque nous nous serions éveillés face aux faits qui contredisaient l'histoire officielle de cette terrible journée.

Comme les crimes d'état contre la démocratie, l'expression « politiques profondes » est inestimable en ce sens qu'elle nous aide à appréhender le fait qu'il existe un « état public » et un « état profond » [Ndt : ou « état souterrain »]. L'état public se compose de la république démocratique que l'on nous enseigne, et il est notre système de gouvernement auquel nous participons consciencieusement en tant que citoyens. L'état profond, d'un autre côté, est composé des pouvoirs de la realpolitik [6] et des décisions « en coulisses » dont les citoyens ordinaires n'ont pas conscience. [7]

Scott définit « l'Etat profond » plus spécifiquement :
« Ces éléments du gouvernement correspondent à [les 1% détenant les richesses] ... l'influence que j'appelle l' « état profond » (si elle est cachée) ou « état de sécurité » (si elle est militaire). Les deux représentent le pouvoir vertical ou pouvoir fermé, par opposition au pouvoir ouvert de l'état public. . . qui représente le peuple dans son ensemble. . . . Les pouvoirs verticaux secrets de l'Etat profond sont devenus une menace majeure pour la démocratie. [8] »
À moins que nous ayons eu une compréhension préalable de l'état profond, il est probable que nous rejetions les preuves présentées par les sceptiques du 9/11. Le précieux livre de Peter Dale Scott, La route vers le 11 Septembre, la richesse, l'Empire et l''avenir de l'Amérique, nous présente ce contexte historique qui fait cruellement défaut. Dans ce document, il écrit :
« Dans un sens, le 11 Septembre est un événement sans précédent, et qui menace de déplacer l'Amérique au-delà de l'époque des politiques publiques vers une nouvelle ère dans laquelle le pouvoir, plus que jamais avant, est administré du haut vers le bas. Mais en même temps, le 9/11 doit être considéré comme le point culminant des tendances qui se sont développées à travers un demi-siècle : à l'égard de la prise de décisions verticales secrètes par des petites cabales, à l'égard de la militarisation de l'application de la loi, à l'égard des dispositifs pour l'enfermement des dissidents, à l'égard des opérations, des transactions et des actifs dissimulés du gouvernement, et à l'égard de la gouvernance par ceux [les 1%] qui financent les partis politiques plutôt que par ceux qui y participent. [9] »
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© InconnuPeter Dale Scott
Sans une certaine connaissance de ce contexte historique, nos convictions les plus profondes concernant notre gouvernement et notre république démocratique sont profondément mises à l'épreuve lorsque nous sommes mis pour la première fois face aux éléments qui réfutent la version officielle du 9/11. La même chose se produit lorsque nous découvrons des informations sur des trahisons gouvernementales passées, comme la tromperie qui a conduit aux attaques de Pearl Harbor [10] ; l'Opération Northwoods - le complot « sous faux pavillon » de 1962 conçu par les chefs d'état-major afin de commettre des actes de terrorisme dans les villes américaines et ailleurs pour justifier une invasion de Cuba, et qui a été rejetée par le président Kennedy [11] ; l'Opération Mockingbird, un complot de la CIA pour contrôler les médias, instigué après la Seconde Guerre mondiale [12] ; les atrocités des expériences du Projet MK-ULTRA sur des citoyens à leur insu [13] , et le complot de 1933 fomenté par de riches hommes d'affaires pour renverser le gouvernement américain et créer un Etat fasciste, que le major-général Smedley Butler a évoqué lors d'une audience du Congrès en 1934.[14]
« Les pouvoirs secrets verticaux de l'État profond sont devenus une menace majeure pour la démocratie. »
A de rares exceptions près, notre système éducatif évite l'histoire de ces faits et d'autres trahisons commises par notre gouvernement et / ou les intérêts des élites, créant ainsi une population naïve et crédule, prête à accepter passivement la « réalité » dépeinte par les « médias-corporatistes-contrôlés-par- la-CIA ». En fait, comme le professeur de Floride Lance DeHaven-Smith nous en informe dans son livre révolutionnaire, « La théorie du complot en Amérique », nous avons été conditionnés à reculer psychologiquement devant ces « théories du complot », même si ces théories sont documentées et crédibles.

Notre incapacité actuelle à considérer de façon décomplexée les éléments mettant en évidence une conspiration officielle derrière le 9/11 peut être attribuée à une opération de la CIA très réussie. En 1967, quatre ans après que le président John F. Kennedy ait été assassiné, la CIA s'est inquiétée du nombre croissant d'articles de journaux et de livres rapportant que des preuves dans le rapport de la Commission Warren lui-même contredisaient les théories du tireur isolé et de la balle unique. Les sondages d'opinion ont commencé à indiquer qu'une majorité relative d'Américains n'adhéraient pas complètement au rapport de la Commission, et l'intégrité de la démocratie aux États-Unis a été mise en cause. [15]

La CIA a répondu à cette crise croissante en envoyant une dépêche secrète - le mémo 1035-960 - à des agents de la CIA dans le monde entier. Cette directive chargeait ces agents de contacter les journalistes et les leaders d'opinion sur place et de leur demander leur assistance dans la lutte contre l'influence des « théoriciens du complot », qui publiaient « théories du complot », et qui reprochaient la mort de Kennedy aux hauts dirigeants des États-Unis. [16]

Les sceptiques de la version officielle du 9/11 ont entendu ad nauseam [Ndt : de façon obsessionnelle et répétitive, littéralement « jusqu'à la nausée »] la réplique « Je ne peux pas croire qu'une conspiration de cette ampleur puisse être vraie parce que les gens ne peuvent pas garder des secrets - quelqu'un aurait parlé ».

Cette croyance provient directement de l'un des points du mémo : « La conspiration à grande échelle souvent suggérée [par les « théoriciens du complot »] serait impossible à dissimuler aux États-Unis... » Cette croyance désormais ancrée dans notre société a dissuadé avec succès de nombreuses personnes de considérer sérieusement les éléments sur le 9/11 qui contredisent l'histoire officielle.[17] Comme cela est expliqué dans la partie 8 sur la recherche sur le cerveau, ce sont ces convictions fortes qui peuvent nous empêcher de prendre en considération même des preuves convaincantes présentées par les sceptiques du 9/11.

J'étais l'une de celles qui était soigneusement conditionnée. Quelques années avant le 9/11, j'ai réagi comme si je n'attendais que cela envers un ami qui était suspicieux au sujet de l'improbable version du gouvernement concernant un événement (il se peut qu'il s'agissait de l'attentat d'Oklahoma City) avec un désinvolte « Oh ! Je ne crois pas aux théories du complot ! » Mais quelques semaines après le 9/11, j'ai commencé à ouvrir les yeux devant l'évidence même, qui m'a été présentée par le Mouvement pour la Vérité sur le 11 Septembre alors naissant. Après avoir lu un livre sur le sujet à l'été 2002, j'étais complètement délivrée de mon conditionnement passé ! [21]

On pourrait idéalement s'attendre à ce que des universitaires fassent des recherches et fassent preuve d'esprit critique - et encouragent également les élèves à faire de même - afin de déterminer laquelle de la théorie du gouvernement ou d'une théorie alternative est la plus étayée et la plus convenable. Malheureusement, la plupart des professeurs dédaignent et même censurent l'information qui pointe vers des complots non encore formellement établis. [22]

Heureusement, cependant, les psychologues sociaux ont pris l'initiative d'inverser cette tendance à la censure. Ils reconnaissent que l'expression « crimes d'État contre la démocratie » (SCADs) appelle à des investigations, contrairement au mème [19] de la « théorie du complot », qui, à cause de nos réflexes conditionnés, favorise la censure.

Dès lors que les psychologues sociaux commencent à enquêter sur des SCADS présumés, alors ils seront en mesure d'identifier « des types de victimes de SCADs, des tactiques, des moments, ceux qui en bénéficient, et d'autres caractéristiques des SCADs » [23] écrit DeHaven-Smith. Les psychologues sociaux qui examinent systématiquement les SCADs présumés - de la même manière qu'ils examinent tous autres phénomènes sociaux - comprendront mieux les politiques profondes. Cet examen scientifique les conduira ensuite à identifier les vulnérabilités institutionnelles de notre système. Armé de telles études, ils seront en mesure de recommander la création ou le renforcement de certaines protections. [24]

Sans recherche scientifique de la part des chercheurs et d'autres citoyens concernés par les crimes d'État contre la démocratie, nous sommes contraints de patauger dans un océan de théories concurrentes, pensant que nous ne saurons jamais la vérité, alors pourquoi même essayer ? Comme DeHaven-Smith observe :
Lorsque des incidents suspects se produisent et qui modifient les objectifs de la nation, qui perturbent les élections présidentielles, qui provoquent une action militaire, ou encore qui impactent l'ordre du jour national, les Américains ont tendance à accepter les versions égocentrées des fonctionnaires publics, et rarement d'envisager la possibilité que de tels incidents pourraient avoir été initiés ou facilités par les fonctionnaires eux-mêmes. Le rôle et la fonction du concept universellement reconnu d' « agent provocateur » est grossièrement négligé dans l'idiome du discours politique américain. Cette crédulité de masse, qui incite en elle-même les SCADs, est peu susceptible de changer tant que la détection et les poursuites judiciaires des SCADs n'auront pas progressé. [25]
Le mot « corruption » est beaucoup trop faible pour décrire l'état dans lequel nous nous trouvons à ce jour aux États-Unis. Par exemple, il y a eu un fusionnement des intérêts des entreprises avec des compartiments entiers de notre gouvernement, à la manière des « portes tambours » [26], de l'Environmental Protection Agency (Agence de Protection de l'Environnement), du Food and Drug Administration (Ministère de l'Alimentation et des Médicaments), du département américain de l'Agriculture, et d'autres organismes fédéraux censés protéger les citoyens. En conséquence, les fonctionnaires ne prennent même plus la peine d'adhérer à une charte éthique qui leur imposerait de se récuser dans une position de force ou d'influence face à un conflit d'intérêts.

En outre, nos représentants du gouvernement ont accepté un système de corruption légalisée sous forme de campagnes de contributions massives de la part d'entreprises. Ainsi, nous disposons, tel que le journaliste satirique d'investigation Greg Palast le définit, « de la meilleure démocratie que l'argent puisse acheter » [27]

Ajoutez à cela le fait étonnant qu'à ce jour, nous n'avons pas encore assisté à la moindre enquête criminelle réelle sur les attentats du 9/11, et alors nous voyons clairement que les États-Unis d'Amérique sont devenus une culture de l'irresponsabilité. Plus précisément, il existe une impunité générale vis à vis des agents d'élite de l'état profond, mais pas pour le reste d'entre nous.

Le rapport du journaliste lauréat du prix Pulitzer Ron Suskind faisant état d'un entretien avec un ancien conseiller de George W. Bush nous donne une idée de l'invulnérabilité relative de ces agents de l'état profond. Dans son article du New York Times, « La foi, la certitude et la présidence de George W. Bush », Suskind a écrit :
« À l'été 2002, après avoir écrit un article dans Esquire relatant que la Maison Blanche n'a pas apprécié l'ancienne directrice de la communication de Bush, Karen Hughes, j'ai pu rencontrer un conseiller principal de Bush. Il a évoqué le mécontentement de la Maison Blanche, puis il m'a dit quelque chose qu'à l'époque je n'ai pas complètement saisi - mais dont je crois maintenant qu'il s'agit du cœur même de la présidence Bush.

L'assistant m'a dit que les gars comme moi étaient « dans ce que nous appelons la communauté basée sur la réalité », ce qu'il définissait comme des gens qui « croient que les solutions surgissent de votre étude judicieuse de la réalité perceptible. » J'acquiesçai et je murmurai quelque chose sur les principes des Lumières et de l'empirisme [Ndt : en référence au Siècles des Lumières]. Il me coupa. « Le monde ne fonctionne plus vraiment de cette façon », a t-il poursuivi. « Nous sommes désormais un empire, et quand nous agissons, nous créons notre propre réalité. Et pendant que vous étudiez cette réalité - judicieusement, si vous voulez - nous allons de nouveau agir, créant d'autres nouvelles réalités, que vous pouvez étudier également, et c'est comme cela que les choses vont se régler. Nous sommes les acteurs de l'histoire... et vous, vous tous, vous ne serez bons qu'à étudier ce que nous faisons. " [28] »
Avec une arrogance flagrante et une clarté remarquable, ce conseiller principal résumait sa participation à l'état profond. En fait, les agents de l'état profond, qu'ils soient fonctionnaires ou les élites des entreprises ou des banques de notre pays, ou leurs mandataires, sont ceux qui seraient nécessairement impliqués dans les crimes d'État contre la démocratie - les SCADs historiques mentionnés ci-dessus aussi bien que le 9/11 et les attaques à l'anthrax de 2001 qui ont suivi.[29] Main dans la main, pièce par pièce, ils détruisent la démocratie représentative dont nous avons hérité de nos ancêtres, qui, soit dit en passant, avaient prédit et nous avaient clairement mis en garde contre une telle trahison. [30]

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Un autre aspect contribuant à la destruction de notre République est l'ignorance (délibérée ou non) et / ou l'acquiescement (volontaire ou non) du citoyen lambda. C'est à ce niveau que l'importance du Mouvement pour la Vérité sur le 9/11, et d'autres mouvements oeuvrant pour la transparence et la démocratie, peut avoir un impact significatif. Il y a de nombreux groupes actifs à travers le monde dont les membres sont maintenant informés sur ces diverses questions. Ils travaillent avec assiduité dans le but d'informer et de transformer les sociétés afin que tous les peuples puissent accéder à des soins, à la prospérité, à la souveraineté, à un environnement durable, et à une information exacte leur permettant de prendre des décisions réfléchies.

Comment notre connaissance des SCADs et des politiques profondes peut influencer la façon dont nous abordons les personnes avec les éléments de preuve qui indiquent que notre gouvernement nous ment à propos du 9/11 ?

Eh bien, cet essai a établi que la connaissance préalable par une personne des graves crimes politiques est la clé qui conditionne s'ils vont rester silencieux ou non - ou pire - à propos du 9/11. Ainsi, nous, militants pour la Vérité sur le 9/11, nous aurons davantage de succès à convaincre les gens d'accepter notre information si nous évaluons d'abord ce que nos auditeurs savent déjà. Ensuite, nous pouvons entamer un dialogue avec eux, basé sur la quantité de connaissances qu'ils possèdent actuellement, plutôt que sur le niveau de connaissances que nous voudrions qu'ils aient.

De toute évidence, la connaissance préalable des crimes d'État contre la démocratie et une compréhension des politiques profondes sont des avantages galvanisants qui nous aident à détecter les signaux qui nous avertissent que nous avons été, une fois de plus, trompés. Cependant, comme nous le verrons dans le chapitre suivant, la détection de tels signaux peut affaiblir certaines personnes, et pas du tout les galvaniser. Ceci peut résider dans le fait qu'ils sont victimes de « l'impuissance acquise. »

Notes :

[0] SCAD : State Crime Against Democracy

[1] Lance DeHaven-Smith, « Au-delà la théorie du complot : esquisses des crimes graves au sein du gouvernement américain » American Behavioral Scientist 53, no. 6 (Février 2010) : 795-825 ; toute cette question est consacrée à la recherche sur les crimes d'Etat contre la démocratie.

Lance DeHaven-Smith, « Quand les crimes politiques sont des « boulots intérieurs » : Détection des crimes d'Etat contre la démocratie » Théorie et Praxis administratif, 28, no. 3 (2006) : 330-355.

Lance DeHaven-Smith, « Théorie du complot en en Amérique » (University of Texas Press, 2013).

[2] Daniel K. Sage, « un aperçu des crimes d'État contre la démocratie », 2013. Voir cet article pour d'autres opérations assimilées à des SCADs non mentionnées par DeHaven-Smith

[3] http://globalresearch.ca/.../LOB308A.html

[4] http://www.globalresearch.ca/the-tonkin-gulf-war-pretext.../5341718

[5] http://whatreallyhappened.com/.../northwoods.html

[6] Le terme « realpolitik » possède plusieurs sens. Il est à prendre ici au sens péjoratif pour souligner l'abandon des principes éthiques au profit d'intérêts nationaux (territoriaux, économiques...) Pour davantage d'information voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Realpolitik

[7] Mike Lofgren, " Anatomie de l'Etat profond."

[8] Peter Dale Scott, En route vers le 11 Septembre : Richesses, Empire et avenir de l'Amérique (University of California Press, 2007)

[9] Ibid. 2.

[10] Robert B. Stinnett, Jour de tromperie : La vérité sur les FDR et Pearl Harbor (Free Press ; édition Touchstone, 2001).

[11] http://whatreallyhappened.com/.../northwoods.html

[12] Alex Constantine, Le Gouvernement virtuel : les opéations de contrôle de l'esprit de la CIA en Amérique (Feral House, 1997), 35-66.

Carl Bernstein, « La CIA et les médias : comment les plus puissants médias de l'Amérique ont travaillé main dans la main avec la Central Intelligence Agency et Pourquoi la commission Church (http://fr.wikipedia.org/wiki/Commission_Church) l'a dissimulé »

William Casey, directeur de la CIA, 1981-1987, a dit naïvement : « Nous saurons que notre programme de désinformation sera terminé lorsque tout le public américain croira que c'est faux. »

[13] Constantine, Le gouvernement virtuel.

[14] http://en.wikipedia.org/.../Business_Plot

Un excellent article sur les complots démontrés : http://www.foreignpolicyjournal.com/.../rethinking-conspiracy.

[15] DeHaven-Smith, Conspiracy Theory en Amérique, 108.

[16] Ibid.

[17] Ibid. 200.

[18] Ibid. 107. Voir toute la dépêche ici.

[19] Un « mème » est un élément culturel reconnaissable répliqué et transmis par l'imitation du comportement d'un individu par d'autres individus. ... (voir http ://fr.wikipedia.org/wiki/Mème)

[20] Un article décrivant l'utilisation continue de plusieurs de ces points de discussion ici.

[21] le discours de Michael Ruppert sur ​​VHS, Vérité et mensonges au sujet de 9/11 est devenu disponible dès l'automne 2001, et le livre de Nafeez Mosaddeq Ahmed, La guerre de la liberté, a été publié en Juillet 2002

[22] Adnan Zuberi, Le 9/11 dans le milieu universitaire. Cet excellent film détaille le tabou du 11 Septembre dans les institutions d'enseignement supérieur.

[23] DeHaven-Smith, Au-delà Conspiracy Theory, 799.

[24] Ibid. 796.

[25] Ibid. 811.

[26] En politique, la « porte tambour » (du nom de la porte fonctionnant selon le principe du tourniquet dans les grands magasins) est une rotation de personnel entre un rôle de législateur et régulateur, et un poste dans l'industrie affecté par ces mêmes législation et régulation. (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Porte_tambour_(politique)

[27] Greg Palast, la meilleure démocratie que l'argent puisse acheter, (première impression Plume, 2003), 25.

[28] Ron Suskind : « La foi, la certitude et la présidence de George W. Bush New York Times Magazine, le 17 Octobre 2004.

[29] Graeme MacQueen, La tromperie de l'Anthrax en 2001 : le cas d'un complot national (Clarity Press, 2014).

[30] DeHaven-Smith, « Théorie du complot en Amérique ».