Commentaire : Précision : l'article ci-dessous est un canular. Apparemment il faut préciser, car certains n'ont pas compris, malgré l'évidence : déjà, Poutine a trop de classe pour proposer une chose pareille ! Et puis franchement, l'idée est saugrenue : une greffe de testicules ne prendrait jamais sur des poulpes.


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Dans son discours prononcé aujourd'hui, dans le cadre de la 70e session de l'Assemblée générale de l'ONU, le président russe Vladimir Poutine a demandé la création d'une « large coalition anti-terroriste » pour lutter contre les criminels de DAECH en Syrie et en Irak. Une coalition qu'il a déclarée « semblable à celle contre Hitler » au cours de la Seconde guerre mondiale, ajoutant que les pays arabes « y joueraient un rôle clé ».
Insistant sur ce dernier point, et face à l'immobilisme flagrant des pays arabes, Poutine a dit « comprendre » l'hésitation des pétromonarchies du Golfe -notamment le Qatar et l'Arabie saoudite- à bombarder ceux qu'ils ont jadis financés et armés, mais que la situation était devenue critique, et qu'une intervention décisive était plus que jamais indispensable.

Ne se contentant pas de blâmer ses homologues arabes, le président russe pensait même détenir le remède miracle face à leur inaction patente : « une greffe de testicules ! ». Cette initiative, qui serait entièrement prise en charge par l'état russe, permettrait à ces dirigeants de « retrouver la virilité et le sens des responsabilités » qui leurs manquaient tant, alors que les conséquences de leurs carences devenaient dramatiques pour des millions de syriens et d'irakiens, morts ou déplacés.

Obama et Hollande également invités, Merkel en donneur

En lançant cet appel, Vladimir Poutine n'a pas manqué d'inviter les présidents américain et français à subir cette même intervention, ajoutant au passage que le donneur d'organe -d'un testicule en l'occurrence- était tout trouvé en la personne d'Angela Merkel, qui, selon les propos du dirigeant russe, « en avait assez pour en donner à tous les dirigeants européens et arabes, et qu'il lui resterait probablement un petit bout pour M. Obama », des propos qui n'ont pas manqué d'émouvoir la dirigeante allemande, lui arrachant même une petit sourire gêné.