Commentaire : Pas de quoi s'extasier sur ce « Complément d'enquête » qui reste bien consensuel dans la forme et dans le fond. Pour clore le (petit) reportage, on nous dégote un grand professeur avec ses lunettes et sa belle blouse blanche, complètement inutile en la circonstance, le ton docte, paternaliste et condescendant, qui ne souffre pas la contradiction. Il a bien raison d'ailleurs puisqu'il n'y a pas contradicteur sur le plateau... Celui-ci enfile les poncifs habituels et nous déballe les invariables discours de « sureté vaccinale » et de statistiques rassurantes sur fond de contre-vérités et de désinformations lénifiantes. Avec la pointe de scientisme caractéristique des gens qui n'ont pas vécu dans leur chair les effets secondaires, pour le cas présent, des « remèdes » qu'ils proposent aux autres. Reportage intégral en bas de page.


Un extrait absolument sine qua non de l'émission "Complément d'enquête" sur les vaccins diffusée ce jeudi 25 février dernier sur France 2.


A noter toutefois que le taux d'effets secondaires GRAVES des vaccins est infiniment supérieur à ce qui est dit dans ce reportage en introduction (à savoir 2 sur 100 000)!! Pour se faire une idée, dans les essais cliniques du fabricant du vaccin Prevenar, il y en avait 3%. Dans une autre étude du fabricant GSK qui avait comparé la "sécurité" de son vaccin HPV Cervarix à un autre de ses vaccins (contre l'hépatite A, le Havrix), il y avait respectivement 9% d'effets secondaires qualifiés de graves par le fabricant dans le groupe Cervarix contre 8,9% dans le groupe Havrix... on est donc bien au-delà du 2 sur 100 000. Il faut aussi remarquer que pendant des décennies, et jusqu'il y a encore très peu de temps, on nous affirmait sans cesse que c'était "1 cas sur 1 million"! Là, on en vient à nous dire que ce serait 2/100 000 soit déjà 20 fois plus. La vérité est que ces chiffres sont encore des chiffres gratuits et déconnectés des données objectivables issues du terrain. Si on veut être rigoureux et s'en tenir aux chiffres réels, tenir compte de la sous-notification notoire telle qu'admise et évaluée de longue date dans les revues médicales officielles, on peut par exemple voir que les vaccins contre le méningocoque C sont des dizaines à des centaines de fois plus risqués que la maladie naturelle, et ce sur base des chiffres officiels!

Si les effets secondaires graves et invalidants de vaccins étaient si rares que cela, nous ne connaîtrions pas tous dans notre entourage un parent, un ami qui est victime... De même, les bénévoles des associations n'auraient pas vu à eux seuls passer des centaines de cas de scléroses en plaques post-vaccinales alors qu'avant les vaccinations de masse, ce type de maladies étaient considérées comme assez rares par les médecins de terrain qui, eux, voient des patients toute la journée! La Cour Suprême des États-Unis n'aurait pas non plus eu besoin d'accorder une impunité juridique aux fabricants de vaccins dans ce pays pour leur éviter de faire faillite sous le poids des poursuites. Car il faut aussi le rappeler, les autorités américaines ont déjà déboursé à ce jour plus de 3 MILLIARDS de dollars en indemnisation des victimes de vaccins (depuis 1986) alors que 2/3 des plaintes sont pourtant rejetées d'emblée! Il est donc devenu urgent de se réveiller et de comprendre que les véritables maladies les plus dangereuses sont les mensonges des "experts" officiels qui s'avèrent désormais beaucoup plus dangereux en eux-mêmes pour la santé de vos enfants que les maladies naturelles qui font partie du risque même de la vie (car vivre est par définition un risque).