La mort subite du nourrisson est, dans la majorité des cas, manifestement d'origine Nosocomiale et Iatrogène, comme le démontre l'aventure d'un médecin australien.

Dans son livre "Every second Child", le Dr Archie Kalokerinos, médecin formé à Londres, explique comment il est passé dans son petit hôpital de la plus forte mortalité infantile au monde (1 enfant sur deux) à la mortalité zéro. Ceci à partir du moment où il comprit le rôle néfaste des vaccins sur le taux de vitamine C.

Après avoir, pendant 9 ans, cherché explications et solutions, il demanda l'aide d'un spécialiste de Sydney. Il vit, sous ses yeux, un enfant dans le coma en sortir dans la demi-heure avec une seule injection intramusculaire de vitamine C.

Où est donc le principe de précaution dont la France se vante alors que le risque présenté par la présence de sels de mercure et d'aluminium dans de nombreux vaccins n'est pas pris en compte, spécialement lorsque ces vaccins sont administrés aux nouveaux-nés, en une seule fois, à des « doses équivalent à 30 vaccins administrés le même jour à un adulte de 70 kg » (Pr Boyd Haley).

Hélas, pour protéger les laboratoires, on parle de mort inexpliquée, ou bien on tente de faire condamner les parents pour mauvais traitements.

Chez les nourrissons, on verra des hémorragies cérébrales (Syndrome de l'enfant secoué), des lésions observées dans la macula, que l'on ne peut reproduire par des chocs, qui entraîneront l'injuste condamnation des parents. En Angleterre, 250 jugements semblables ont été cassés.

Le syndrome des os de verre, la maladie de Paget présentent un facteur d'origine scorbutique et sont améliorés spectaculairement par la supplémentation de vitamines C.

Document partiel, tiré d'une communication établie par le Dr Gilbert Crussol. Cette communication sera publiée dès le mois d'avril sur la revue trimestrielle Médecines Nouvelles.

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