Avoir de bons apports en vitamine D pourrait protéger de la maladie d'Alzheimer.

De plus en plus de recherches mettent en évidence un lien entre la consommation de poisson et le risque de développer la maladie d'Alzheimer. L'explication de ce lien pourrait être l'apport en oméga-3, aux nombreuses vertus, en particulier sur le cerveau. Mais il pourrait également s'agir de la vitamine D, bien présentes dans les poissons gras. Pour répondre à cette question des chercheurs de l'université d'Angers, en France, ont décidé d'examiner le lien entre l'apport alimentaire en vitamine D et le risque de développer la maladie d'Alzheimer.

Dans une étude Toulousaine intitulée EPIDOS, des femmes âgées de 79,8 ans en moyenne ont été suivies pendant 7 ans. Leurs habitudes alimentaires et leur état de santé ont été observés et les données repertoriées. Les habitudes d'expositions au soleil ont également été prises en compte.

Les résultats révèlent que les personnes qui ont les plus gros apports en vitamine D ont 4 fois moins de risque de développer la maladie d'Alzheimer que les autres. Un lien renforcé chez les personnes qui s'exposent régulièrement au soleil à la mi-journée avec un risque de développer la maladie diminué de moitié. En revanche, ni la vitamine D d'origine alimentaire ni l'exposition au soleil ne semblent influencer le risque de démence sénile.

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