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Voilà à présent que le Dalaï-Lama se mêle de vacciner les bébés indiens au mépris des Principes du Bouddhisme

Le 6 septembre 2012, Sayer Ji, directeur de la Nutrition au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

Je suis entièrement d'accord avec ses propos que je vous livre :

Le Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) - le site sacré où l'on pense que le Bouddha a reçu l'illumination il y a environ 2500 ans.

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d'Immunisation et à l'Initiative Mondiale d'Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d'autres articles.

« Le 14e Dalaï-Lama n'est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l'illumination. Il n'est dès lors pas banal pour lui d'administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l'endroit même où l'on pense que le Bouddha a atteint l'illumination. »

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

« Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d'autres religions de l'Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d'Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d'un animal pour sauver sa propre vie. C'est une des raisons pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens.

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d'autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l'ensemble de la société. Il s'agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n'est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

« Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s'applique à des interventions médicales ou à l'exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l'environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l'action en question.

« [...] La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n'est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l'information la plus complète sur la sécurité des vaccins n'est acquise qu'au travers d'études de surveillance post marketing et des déclarations d'effets secondaires rapportés par le public.

« En d'autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu'une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n'en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

« [...] Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d'une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer "un niveau acceptable de dommages". Si en fait il n'y a qu'un "faible pourcentage" d'enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l'Ahimsa évoqué plus haut. »

Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

« Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n'a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l'American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu'en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

« [...] Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l'accent et n'accorde-t-on pas autant de moyens pour l'alimentation et l'amélioration de l'hygiène ?

« On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n'a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

« Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n'est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

« Mais si c'est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

« Ne croyez rien juste parce qu'un certain sage l'a dit. Ne croyez rien juste parce que c'est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c'est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu'un d'autre le croit... Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d'y conformer votre vie.

« Ce qui est difficile à réaliser c'est qu'un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

« [...] Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c'est la science qui le dit ; il ne s'agit nullement d'opinions ou de croyances. »