Les Maîtres du MondeS


Star of David

Pour le chef de la commission d'enquête de l'ONU, « Netanyahou est la plus grande menace pour Israël »

William Schabas, expert canadien de droit international, s'est fait connaître par ses nombreuses critiques à l'encontre de la politique israélienne. Devenu chef de la commission d'enquête du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, il y a deux semaines, il a exprimé son opinion concernant les violations des lois humanitaires. C'est sans crainte qu'il a affirmé, le 13 août dernier, lors d'une assemblée à Genève, que le premier ministre israélien est « la plus grande menace pour la survie d'Israël ».


Bullseye

Ukraine : L'UE prise dans le piège Américain, la France doit en sortir

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Conformément à leur volonté de domination mondiale, avec ses fidèles larbins de l'Union Européenne, au premier desquels la France, après que les USA aient déstabilisé l'Ukraine et participé au renversement d'un gouvernement, certes controversé par ses pratiques affairistes et clientélistes, mais légalement et légitimement élu, dans un climat de russophobie qui submerge la presse Européenne, ils engagent des sanctions économiques contre l'URSS pour son prétendu soutien aux séparatistes ''pro Russes'' Ukrainiens. Alors que l'armée Ukrainienne fidèle aux ordres du Président milliardaire chocolatier bombarde et tue des populations civiles, dont le nombre ne cesse d'augmenter, dépassant les 2000 morts, dans les fiefs des insurgés que sont Donetsk et Lougansk, villes assiégées par l'armée ukrainienne.

Ni annexion de la Crimée, ni prise en otage par des « rebelles » pro- Russes.

Concernant la Russie, il faut avoir à l'esprit qu'elle ne compte que 143 millions d'habitants pour une superficie de 17 098 242 km², trente et une fois celle de la France. Cela signifie que si la densité de population Russe était similaire à celle de la France, vu sa superficie, elle compterait plus de deux milliards d'habitants, ce qui serait terrible et invivable. Parfois de façon autoritaire, car il n'y avait pas d'autres moyens, POUTINE a du mettre un terme l'ère ELSTINE, où tous les vautours de la finance et du monde des affaires s'abattaient sur elle avec sa cohorte de corruption et a commencer ainsi à relever la Russie du fonds de ses abîmes.

Star of David

Israël devant la CPI, les USA inquiets

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De concert avec les sionistes, Charles Schumer, sénateur américain a demandé la mise à l'écart de William Chabas, le président de la Commission d'Enquête des Nations-Unies sur les crimes de guerre commis par le régime sioniste dans la bande de Gaza. Charles Schumer a demandé vendredi soir au Conseil des droits de l'homme des Nations-Unies la destitution de William Chabas de cette mission car tenant compte de ses précédentes déclarations contre Israël il n'est pas, selon lui, considéré comme un magistrat intègre.

« Si Chabas n'est pas mis à l'écart les Etats-Unis devront arrêter leurs soutiens au Conseil des droits de l'homme des Nations-Unies et renoncer à leur participation à ce Conseil. En effet, le sénateur Charles Schumer a affirmé dans une lettre à Samantha Power, représentante des États-Unis auprès des Nations-unies, que Chabas doit être destitué faute de quoi les Etats-Unis devraient s'abstenir d'octroyer les 1/5 milliards dollars d'aide au Conseil des droits de l'homme de cette instance et d'y participer », a-t-il ajouté.

Bomb

Le tweet de l'EIIL qui menace les États-Unis pourrait être l'oeuvre du FBI et du Mossad

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Le tweet menaçant publié par le groupe de militants de l'EIIL dirigé contre les États-Unis pourrait être l'œuvre des services secrets israéliens du Mossad ou du FBI américain, selon Paul Street, analyste politique américain.

« J'ignore si c'est un message authentique et je ne pense pas qu'il soit possible de vérifier son authenticité », a déclaré Paul Street lors d'un entretien avec Press TV dimanche 17 août.

« Cela pourrait bien être un faux, une mise en scène. Cela pourrait tout aussi bien être vrai. Il se pourrait aussi que ce soit une création par le Mossad, le service de renseignement israélien, ou par le FBI, ou par le département de la Sécurité intérieure, ce qui va à l'encontre des intérêts de la sécurité nationale de la nation ; cela attise la peur. Ils adorent ce genre d'histoires car ils s'en servent pour justifier une surveillance accrue, une répression nationale accrue, et donc une augmentation des dépenses allouées au contrôle de la population », a-t-il ajouté.

« S'il s'avère qu'il s'agit de cette dernière possibilité, alors c'est réellement terrible. D'un autre côté, si c'est une vraie menace, pourquoi nous poserions-nous la question de savoir si c'est un canular ou pas ? », poursuit l'analyste.

« La politique des États-Unis est impliquée dans les meurtres directs ou indirects, lors des ces dernières décennies, de centaines de milliers de musulmans et de civils en tout genre au Moyen-Orient, et il est totalement imprudent de poursuivre ces politiques à l'étranger, dans les régions riches en ressources énergétiques du Moyen-Orient », explique Street.

« C'est incroyablement irresponsable sous bien des aspects, dont le risque que fait peser ce type de politique étrangère sur la population américaine. Bien évidement que certaines personnes vont riposter », affirme-t-il.

Le groupe takfiri a publié une photo de son drapeau prétendument pris en photo à l'extérieur de la Maison Blanche, mettant en garde le gouvernement des États-Unis de leur présence dans les villes américaines.

La photo montre une main portant une image du drapeau de l'EIIL affichée sur un téléphone devant une barrière de la Maison Blanche sur Pennsylvania Avenue. Elle a d'abord été tweetée le 9 août sur un compte Twitter qui a ensuite été effacé.

« [N]ous sommes ici #Amérique près de notre #Objectif :) Bientôôôôôt », pouvait-on lire dans le message publié avec la photo.

La photo a été retweetée par un autre utilisateur nommé @Sunna_rev, avec une mise en garde différente : « Nous somme dans votre pays. Nous sommes dans vos villes. Nous sommes dans vos rues. Vous êtes partout nos cibles ».

Traduit d'après l'article de PressTV par Fabio Coelho pour Croah.fr

Bizarro Earth

Seulement 11 pays dans le monde ne sont pas en guerre

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Vous avez l'impression que nous vivons une époque troublée, et qu'il y a une recrudescence des conflits dans le monde ? C'est tout à fait légitime, si l'on en croit les cartes de l'IEP, (Institute For Economics and Peace), un think tank international qui classe chaque année les pays en fonction d'un indice de paix globale, le "Global Peace Index" et qui vient d'en publier l'édition 2014. Il conclut qu'il n'y a guère que 11 pays dans le monde qui ne soient pas en conflit.

Pour figurer parmi les nations les plus pacifiques, chaque pays doit obtenir le meilleur palmarès sur un ensemble de 22 critères. Il ne doit pas être impliqué dans un différend politique ou territorial ayant suscité un recours aux armes occasionnant au moins 25 morts dans l'année, et il ne doit pas avoir de conflit à ses frontières (qu'il soit effectif ou latent).

Sur la base de ces critères, l'Organisation note que la tendance pacifique que l'on observait depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale s'est brutalement inversée en 2007 et que le monde est de moins en moins pacifique. « Depuis 2008, le niveau de la paix s'est dégradé dans 111 pays, alors qu'il ne s'est amélioré que dans 51 autres », note le think tank.

Handcuffs

L'Europe a perdu la guerre américano- russe

ukraine
La guerre, on la fait ou on ne la fait pas. On ne fait pas semblant. Pour avoir ignoré cette simple évidence, l'Europe est dans le tourbillon, complètement déboussolée, en recherche de repères qu'elle n'a plus.

La guerre que mènent les Etats-Unis contre la Russie est une guerre à mort. L'Europe, à la fois enjeu et actrice, ne veut pas de cette issue mais, victime de ses alliances protectrices et de son statut historique mais devenu artificiel, est obligée et même sommée de prendre parti par son Grand Protecteur. Cette guerre n'est pas la sienne, mais elle est obligée de la faire. Alors elle fait semblant, alors que les deux protagonistes savent, eux, que l'issue ne peut être que la défaite totale de l'un ou de l'autre, se traduisant soit par la soumission complète et entière de la Russie, soit par la perte de toute capacité d'hégémonie des Etats-Unis.

Dans ce combat de titans, un combattant non décidé, comme l'est l'Europe, est vite submergé. C'est ce qu'on constate dès la première contre-offensive russe. Pays par pays, l'Union Européenne manifeste progressivement son hostilité à une guerre qu'elle n'a pas voulue contre la Russie. Des voix s'élèvent pour rechercher une certaine forme d'armistice. Ils ne sont, pour l'instant, que 7 à 8 pays à s'être officiellement exprimés dans ce sens, mais leur nombre grossit de jour en jour. D'autres pays ne s'expriment pas, mais n'en pensent pas moins. Et tous ces pays réfractaires représentent certainement la majorité dans l'UE.

Bad Guys

Le convoi humanitaire russe ne peut pas être arrêté par la junte de Kiev !

convoi humanitaire russe
L'objectif de l'opération soi-disant « anti-terroriste » de l'armée ukrainienne est la démoralisation ou l'extermination de la population du Donbass, parce qu'elle a voté son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine par référendum. L'aide humanitaire fournie par la Russie empêche d'atteindre cet objectif.

Le Pentagone et la CIA ont ordonné aux marionnettes de Kiev, le président, son gouvernement et les chefs de l'armée ukrainienne, de faire d'abord une évaluation correcte de la situation dans les régions de Donetsk et de Lougansk. Ils sont arrivés à la conclusion, que dans ces régions, l'armée ukrainienne sera considérée avec hostilité et comme une armée d'occupation, par la population qui a voté à une très large majorité (plus de 70%) pour l'indépendance vis-à-vis de l'Ukraine, au référendum du 11 mai.

Target

John McCain, le chef d'orchestre du « printemps arabe », et le Calife

obama mccain
Barack Obama et John McCain sont-ils des adversaires politiques comme ils le prétendent ou collaborent-ils ensemble à la stratégie impérialiste de leur pays ?
Chacun a remarqué la contradiction de ceux qui qualifiaient récemment l'Émirat islamique de « combattants de la liberté » en Syrie et s'indignent aujourd'hui de ses exactions en Irak. Mais si ce discours est incohérent en soi, il est parfaitement logique au plan stratégique : les mêmes individus devaient être présentés comme des alliés hier et doivent l'être comme des ennemis aujourd'hui, même s'ils sont toujours aux ordres de Washington. Thierry Meyssan révèle les dessous de la politique US à travers le cas particulier du sénateur John McCain, chef d'orchestre du « printemps arabe » et interlocuteur de longue date du Calife Ibrahim.

John McCain est connu comme le chef de file des républicains, candidat malheureux à la présidence états-unienne, en 2008. Ce n'est, nous le verrons, que la partie de sa biographie réelle, celle qui lui sert de couverture pour conduire des actions secrètes au nom de son gouvernement.

Lorsque j'étais en Libye durant l'attaque « occidentale », j'ai pu consulter un rapport des services de renseignement extérieur. On pouvait y lire que l'Otan a organisé, le 4 février 2011 au Caire, une réunion pour lancer le « printemps arabe » en Libye et en Syrie. Selon ce document, elle était présidée par John McCain. Le rapport détaillait la liste des participants libyens, dont la délégation était conduite par le numéro 2 du gouvernement de l'époque, Mahmoud Jibril, ayant brusquement changé de bord à l'entrée de cette réunion pour devenir le chef de l'opposition en exil. Je me souviens que, parmi les délégués français présents, le rapport citait Bernard-Henry Lévy, bien qu'officiellement celui-ci n'ait jamais exercé de fonction au sein du gouvernement français. Bien d'autres personnalités participaient à ce symposium, dont une forte délégation de Syriens vivant à l'étranger.

Magnify

Le monde a t'il vraiment besoin des États-Unis ou d'Israël?

Traduction : Fabio Coelho pour Croah.fr

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© Inconnu
Washington, les capitales européennes et les pressetituées occidentales sonnent les tambours de guerre. La une du Asia Times titre d'ailleurs : « L'OTAN cherche désespérément une guerre ».

Les conséquences tragiques d'une telle guerre pourrait bien s'étendre au-delà de la Russie, de l'Europe et des États-Unis, et atteindre le reste du monde. L'emploi du mensonge de la part de l'Occident met en danger la vie sur Terre et révèle que l'Occident est à la fois téméraire et irresponsable. Pourtant, quelques voix s'élèvent contre cette impétuosité doublée d'irresponsabilité.

Ron Unz nous rapporte le témoignage important d'un journaliste néerlandais respectable, Karel Van Wolferen. Wolferen et Unz lui-même sont l'exception de ce que Unz appelle, selon moi très justement, « la corruption flagrante et le manque de fiabilité des médias de masse américains ».

Bad Guys

Ukraine, guerre froide, torture, Cuba, politique intérieure : petit panorama de la déliquescence états-unienne

Traduction : Les Crises

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© Inconnu
Pendant la Première Guerre froide, nous, la gauche radicale américaine, nous étions mis en situation de devoir défendre l'Union soviétique, parce que le gouvernement américain se servait de ce pays contre nous.
Aujourd'hui, il nous faut parfois défendre la Russie, car c'est peut-être le dernier et meilleur espoir d'arrêter l'EDM (L'Empire qui dévora le monde). Oui, pendant la Première Guerre froide nous en savions suffisamment sur Staline, les simulacres de procès et les goulags.
Mais nous en savions tout autant sur la politique étrangère des États-Unis.


Courrier électronique envoyé au Washington Post, le 23 juillet, 2014 à propos de la destruction du vol 17 de Malaysia Airlines :