Les Maîtres du MondeS


Star of David

Jacob Cohen sur les juifs, Dieudonné et Alain Soral

Jacob Cohen
© Capture YouTube


Jacob Cohen est l'auteur du roman
Le Printemps des sayanim. Pour ERTV, il revient sur les juifs du quotidien en France, sur l'affaire Dieudonné, et sur Alain Soral.


Quenelle - Golden

La Quenelle de Dieudonné - Un Auditeur « Formidable » rend Jean-Jacques Bourdin « Fort MINABLE » sur RMC

J'ai écouté quelques temps cette émission (« Bourdin & Co » sur RMC), il y a plusieurs années. Je ne me rappelle même plus pourquoi, mais je crois que j'ai arrêté de l'écouter dès que j'ai eu autre chose à foutre...

Bourdin & Co
© Inconnu
Depuis que j'ai découvert à quel point le Journalisme est une vaste supercherie, j'ai remarqué que ce Jean-Jacques Bourdin n'était (et n'est toujours) qu'un représentant parmi tant d'autres, du « Journalisme Étatique » totalement financé, contrôlé, et donc soumit à la « ligne éditoriale » de ceux qui pour qui il travaille.

Une fois qu'on a compris ça, on n'est plus étonné, d'entendre ce « Journaliste » s'embourber, se dépatouiller comme il peut face à...
Face à la Vérité (tout simplement).

Vérité déversée par cet auditeur (Gregory) qui a donc développé son argumentaire plutôt « brillant » en faveur de Dieudonné, et Jean Jacques Bourdin se trouvait en quelque sorte... « obligé » d'être en désaccord avec lui. Sauf ! sur le fait qu'il soit contre une interdiction du « spectacle polémique » de Dieudonné (qui s'intitule Le Mur). Enfin... c'est ce qu'il dit, mais est ce qu'il le pense vraiment ? ou plutôt, sera t-il capable de donner (et de défendre) cet avis « publiquement » et face aux « gens du pouvoir » ?

Autrement, Bourdin a fait comme la doxa l'impose à tout le monde en ce moment, il a tenté de discréditer en « antisémitisant » Dieudonné. Et cela, avec les mêmes arguments « à la mode » que tous les « contradicteurs à distance » de Dieudonné nous ont sorti dans les médias.


USA

Les États-Unis menacent les entreprises françaises de sanctions au sujet de l'Iran

Une délégation de patrons français venue à Téhéran cette semaine a été « mise en garde » par des responsables américains que des sanctions seraient infligées en cas d'infraction au régime de sanctions américain contre l'Iran. Cette menace directe souligne la détermination du gouvernement Obama de faire en sorte que les intérêts économiques et stratégiques des Etats-Unis prévalent au moment où la perspective d'un rapprochement semble émerger dans les pourparlers internationaux avec l'Iran au sujet de son programme nucléaire.

US imperialism
© Inconnu
En novembre, un accord intérimaire avait été trouvé entre le groupe P5+1 (les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Russie et l'Allemagne) et l'Iran et qui comportait le gel et la réduction du programme nucléaire civil de Téhéran en échange d'une levée « limitée, ciblée et réversibles » des sanctions. L'accord était entré en vigueur le mois dernier lorsque le premier versement d'à peine 550 millions de dollars, issus des avoirs gelés de l'Iran a été débloqué.

La délégation de patrons français qui est arrivée lundi à Téhéran, cherchait manifestement à positionner les entreprises françaises dans la perspective où un accord exhaustif levant toutes les sanctions serait conclu d'ici juillet. Un responsable du Medef, l'association patronale qui a organisé le voyage, a dit à la presse que bien que le récent accord nucléaire n'offre qu'une levée restreinte des sanctions, il y a une dynamique nouvelle. La possibilité d'un accès à un marché comptant 80 millions de consommateurs potentiels est très attractif.

TV

Les médias ne sont-ils qu'un moyen de contrôle comme un autre ?

Traduit de l'anglais par VD pour Le Grand Soir

médias contrôle opinion illustration
© Inconnu

Un récent sondage en Grande-Bretagne demandait combien d'Irakiens avaient été tués à la suite de l'invasion de l'Irak en 2003. Les réponses données étaient choquantes. Une majorité a déclaré que moins de 10 000 personnes avaient été tuées. Des études scientifiques indiquent que jusqu'à un million d'hommes irakiens, femmes et enfants sont morts dans un brasier allumé par le gouvernement britannique et son allié à Washington. C'est l'équivalent du génocide au Rwanda. Et le carnage continue. Sans relâche.


Ceci démontre à quel point nous avons été trompés par ceux dont le travail consiste à préserver la narrative officielle. L'écrivain et universitaire américain Edward Herman appelle cela « la normalisation de l'impensable ». Il décrit deux types de victimes dans le monde de l'information : les « victimes dignes » d'intérêt et les « victimes indignes ». Les « victimes dignes » sont ceux qui souffrent aux mains de nos ennemis : les Assad, Kadhafi, Saddam Hussein. Les « victimes dignes » sont qualifiés pour bénéficier de ce que nous appelons des « interventions humanitaires ». Les « victimes indignes » sont ceux qui se mettent en travers de notre force punitive et de tous les « bons dictateurs » à notre solde. Saddam Hussein était jadis un « bon dictateur », mais il est devenu arrogant et rebelle et a été relégué à la catégorie « mauvais dictateur ».

En Indonésie, le général Suharto était un « bon dictateur », indépendamment du massacre de peut-être un million de personnes, aidé par les gouvernements de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis. Il a également éliminé un tiers de la population du Timor oriental à l'aide d'avions de chasse et de mitrailleuses britanniques. Suharto a même été accueilli à Londres par la Reine et quand il est mort paisiblement dans son lit, il a été salué comme un dirigeant éclairé, un modernisateur, l'un d'entre nous. Contrairement à Saddam Hussein, il n'a jamais été arrogant.

Network

Le mythe commode de l'internet non régulé

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Pourvoyeurs de justice et d'équité. Pourvu que vous ayez l'argent.
Internet, tout le monde le sait, à commencer par les politiciens et les journalistes mainstream, est une vaste zone de non-droit où tout est permis, toutes les libertés peuvent être prises et tout le monde fait n'importe quoi, n'importe comment, comme jadis les cow-boys au Far West. Mais en France, cela a assez duré, et il va falloir y mettre un terme. Et pour cela, on peut compter sur deux armes, de plus en plus utilisées en France.

La première sera celle du droit.

Oui, ce droit - qui n'existerait pas sur les intertubes avec des lolcats qui font rien qu'à embêter les gentils enfants - on va tout de même s'en servir. C'est paradoxal, mais oui, alors qu'internet serait une zone de non-droit qu'il faudrait réguler (toujours un peu plus), on va tout de même utiliser fort commodément les lois qui existent déjà pour taper un peu à droite, un peu à gauche, un peu partout et finalement n'importe qui et n'importe comment.

Par exemple, on va décider que si, en utilisant un moteur de recherche public, pour accéder à des documents publics, sur un site public, vous allez jusqu'à télécharger ces documents et qu'il s'avère, plus tard, que ces documents sont un brin confidentiel et que ceux qui les ont rendus publics ont, pour le dire gentiment, merdé grave, le blâme vous retombera dessus, sur le mode « Fallait pas googler, mon brave ! » .

C'est l'aventure arrivé à un blogueur, Bluetouff, qui est tombé, en août 2012, de façon banale sinon fortuite, sur un répertoire de l'extranet de l'Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments pour les humains et les animaux (l'ANSES) contenant plusieurs milliers de fichiers sur un serveur non sécurisé. Évidemment, le problème ne provient ni de Google, ni de la requête du blogueur, mais du fait que ces documents privés se retrouvent ainsi déposés sur une zone non sécurisée, qui plus est autorisée à l'indexation Google. Jusque là, c'est parfaitement pathétique et ridicule. Le blogueur, tombant sur ces documents qui ont été, de facto, publiés, s'empresse d'en prendre copie et de mentionner l'énorme boulette de sécurité sur son blog.

USA

Un « OTAN asiatique » pour contrer la menace chinoise ?

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L'éventuelle création d'un OTAN asiatique est un des sujets les plus discutés par les experts sur Internet. Le débat a été soulevé par un récent article du Washington Times intitulé « Il est temps de créer un OTAN asiatique ».

Ses auteurs sont James A. Lyons, ancien commandant en chef de la Flotte américaine du Pacifique et représentant militaire des Etats-Unis à l'ONU, et Richard D. Fisher du Centre international des estimations stratégiques. Les auteurs, préoccupés par « l'agressivité croissante de la politique de la Chine », estiment que les Etats-Unis ont besoin d'une stratégie nouvelle pour conserver la « situation dominante dans le maintien de la paix et de la stabilité dans la partie occidentale de l'océan Pacifique ». « L'OTAN en Asie » aurait été une solution optimale, bien que cela soit peu probable dans les conditions actuelles, regrettent les auteurs sous-entendant des contradictions violentes entre plusieurs pays de la région Asie-Pacifique.

Star of David

KKL, Magav, LDJ... ces organisations sionistes établies sans gêne à Paris

Le Magav, une branche de l'armée israélienne, prend ses quartiers à Paris le 9 février avec le soutien de la LDJ. Une semaine plus tôt, c'est le KKL qui organisait son gala dans le Palais Brogniart. Autant de groupes qui, tout en revendiquant le sionisme comme cadre politique, exercent sans mal leurs activités à Paris avec l'aide des autorités françaises. Les défenseurs des droits des Palestiniens dénoncent.

LDJ
© inconnu
Le Magav prend ses aises à Paris. Le gala annuel en faveur de la police des « frontières » israélienne est à nouveau organisé, dimanche 9 février, par l'association française Migdal sous le patronage du ministère israélien de la Défense. Son but est tout affiché : récolter des fonds au profit du Magav, une branche de l'armée d'Israël où s'était d'ailleurs engagé Arno Klarsfeld, aujourd'hui au Conseil d'Etat.

Une vingtaine d'organisations antiracistes et d'associations de défense des droits des Palestiniens ont dénoncé la tenue d'un événement qui fait la promotion de l'occupation et de la colonisation en Palestine, ceci en banalisant la présence du Magav et de ses représentants dans la capitale française, dans un lieu encore tenu secret.

Crusader

Grand oral au B'nai B'rith pour Anne Hidalgo

Grand oral au B’nai B’rith pour Anne Hidalgo
© InconnuGrand oral au B’nai B’rith pour Anne Hidalgo

Le B'nai B'rith France a reçu le 6 février dernier Anne Hidalgo, candidate PS à la mairie de Paris.


Devant le président du B'nai B'rith de France Serge Dahan et le vice-président du CRIF Gil Taieb, Anne Hidalgo a donné tous les gages, soulignant « l'importance de la composante juive de Paris et de l'apport de l'histoire, de la culture et des valeurs juives dans la vie de la capitale ». Questionnée sur l'affaire Dieudonné et la manifestation Jour de colère, Anne Hidalgo s'est dite, à en croire le communiqué officiel du B'nai B'rith, « révoltée face à ces dérives antisémites et déterminée à contribuer à les combattre sans compromis, sous toutes ses formes, notamment cet antisionisme qui cache en réalité un antisémitisme viscéral ».

La première adjointe à la mairie de Paris a rappelé qu'elle est une amie proche d'Israël (elle s'y est rendu trois jours en décembre 2013) et a condamné le boycott des produits israéliens, « inacceptable » selon elle.

Le 5 mars 2014, c'est Nathalie Kosciusko-Morizet (candidate UMP) qui sera soumise à la question par les « fils de l'alliance ». Wallerand de Saint-Just (FN), également candidat à la mairie de Paris, n'est quant à lui pas prévu au programme de ce « Cycle rencontre & dialogue ».

Commentaire:
L'Ordre indépendant du B'nai B'rith (בני ברית, de l'hébreu : « Les fils de l'Alliance ») est la plus vieille organisation juive toujours en activité dans le monde. Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843... Le BB agit aussi en tant qu'organisation non gouvernementale et intervient à l'ONU, à l'Unesco, au Mercosur et au Conseil de l'Europe. L'organisation est exclusivement réservée aux israélites et comprend plus de 500 000 frères et sœurs dans une cinquantaine de pays. En plus de ses activités caritatives, le B'nai B'rith soutient la politique et la pérennité de l'État d'Israël et le mouvement sioniste.

Source : Wikipédia
A noter également qu'Anne Hidalgo, candidate PS à la mairie de Paris a la double nationalité franco-espagnole depuis 2003.


Eye 1

La Turquie renforce le contrôle d'internet

Le parlement turc vient d'approuver un projet de loi renforçant le contrôle d'internet par l'Etat. Selon le texte, une décision judiciaire n'est plus nécessaire pour fermer un site et les opérateurs doivent fournir aux autorités des informations sur les utilisateurs dès la première demande.

Les Turcs craignent des violations flagrantes de la liberté d'expression, et certains accusent même les autorités de fascisme, écrit vendredi le quotidien Kommersant.

La nouvelle loi élargit considérablement les pouvoirs du Bureau turc des télécommunications (TIB), qui pourra désormais bloquer des sites sans décision judiciaire s'il estime qu'ils empiètent sur la vie privée des citoyens ou si leur contenu est offensant. Les opérateurs sont désormais contraints de supprimer le contenu et les pages interdites en quatre heures, sous peine d'une amende pouvant aller jusqu'à 44 500 dollars.

Bad Guys

Un haut gradé de la police parisienne mis en examen pour corruption

Ancien responsable de la sécurité publique parisienne, Jean-Yves Adam, est notamment poursuivi pour «corruption» et «abus de biens sociaux».

Il est contrôleur général de la police de Paris, l'un des grades les plus importants. Jean-Yves Adam, policier chevronné passé par de hauts postes stratégiques, a été mis en examen ce vendredi, pour «corruption», «abus de biens sociaux» mais aussi pour «violation du secret professionnel» et «banqueroute par dissimulation d'actifs».

Ancien responsable de la sécurité publique parisienne, l'homme de 61 ans, arrivé à la préfecture de police de la capitale en 2005, a été interpellé mercredi à son domicile - qui a été perquisitionné - sur commission rogatoire d'un juge d'instruction parisien, saisi depuis novembre d'une information judiciaire. Il a ensuite été placé en garde à vue dans les locaux de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices, où il a nié les accusations portées contre lui.