Les Maîtres du MondeS


Gingerbread

Gaza : les États-Unis se chargent de réapprovisionner Israël en munitions

Les États-Unis ont confirmé mercredi avoir réapprovisionné Israël en munitions, quelques heures après avoir fermement condamné l'attaque d'une école de l'ONU à Gaza.
gaza
L'armée israélienne avait demandé un réapprovisionnement le 20 juillet afin de remédier à la baisse de ses stocks, a indiqué le Pentagone. Le ministère américain de la Défense a approuvé la vente trois jours plus tard. « Les États-Unis se sont engagés à garantir la sécurité d'Israël, et il est crucial pour les intérêts nationaux américains d'aider Israël à développer et à maintenir une capacité d'autodéfense forte et réactive », a déclaré John Kirby, un porte-parole du Pentagone, dans un communiqué.

« Cette vente d'armement est cohérente avec ces objectifs », a-t-il estimé. Une partie des munitions provient d'un stock entreposé par l'armée américaine sur le sol israélien à l'usage de Tsahal pour les cas d'urgence, d'une valeur d'environ un milliard de dollars (746 millions d'euros). John Kirby a souligné que ces munitions étaient stockées là « depuis plusieurs années, bien avant la crise actuelle ».

Star of David

Gaza : de quel côté se tient l'Italie ?

Federica Mogherini
Pour satisfaire Washington, l’Italie s’est engagée depuis 2005 dans un soutien militaire à Israël (ici Federica Mogherini avec le secrétaire général de l’Otan).
Les paroles apaisantes de la ministre italiennes des Affaires étrangères, Federica Mogherini, pour éviter d'étendre en Europe le conflit de Gaza n'y changeront rien : l'Italie - mais aussi l'Allemagne et bien d'autres membres de l'Otan avec eux - a conclu des accords militaires qui l'associe de fait au massacre en cours.

Intervenant à la Chambre sur la « crise à Gaza », la ministre des Affaires étrangères Federica Mogherini a invité le parlement et l'opinion publique italienne à « ne pas céder à la logique de la partialité, à l'idée qu'on doive se diviser entre amis d'Israël et amis de la Palestine, qu'on doive choisir de quel côté du conflit se tenir ». En réalité l'Italie a déjà depuis longtemps choisi, en institutionnalisant sous forme de loi (avec une large entente bipartisanne) la coopération militaire avec Israël.

Le mémorandum d'entente sur la coopération italo-israélienne, ratifié en 2005 au Sénat (grâce aux votes du groupe Democratici di sinistra-Ulivo rangé avec le centre-droit) et de la Chambre, est devenu la Loi du 17 mai 2005 n° 94. La coopération entre le ministère de la Défense et les forces armées d'Italie et Israël concerne « l'importation, exportation et transit de matériels militaires », « l'organisation des forces armées », la « formation/entraînement ». Sont prévues à cet effet des « réunions des ministres de la Défense et des chefs d'état-major » des deux pays, « échange d'expériences entre les experts », « organisations des activités d'entraînement et des manœuvres », « participation d'observateurs aux manœuvres militaires ». La loi prévoit aussi la « coopération dans la recherche, dans le développement et dans la production » de technologies militaires par l'intermédiaire de « l'échange de données techniques, informations et hardware ». Sont en outre encouragées « les industries respectives dans la recherche de projets et matériels » d'intérêt commun.

Bomb

1 heure, le temps pour Israël afin de détruire un quartier de Gaza

Israël détruit un quartier de Gaza en 1 heure le 28/07/14


Bell

L'Égypte à la tête des régimes arabes qui facilitent l'assaut d'Israël contre Gaza

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L'hécatombe organisée par Israël à Gaza ne pourrait se faire sans la complicité des régimes arabes. LÉgypte, l'État arabe le plus peuplé et le plus puissant, a joué un rôle crucial pour ce qui est de rendre possible le lancement de cette offensive génocidiaire contre une population palestinienne sans défense.

Depuis qu'il a chassé le président Mohamed Morsi des Frères musulmans (FM) et commencé en juillet dernier un régime de terreur, le dictateur militaire égyptien Abdoul Fattah al-Sissi a suivi l'exemple de ses prédécesseurs, Hosni Moubarak et Morsi quant au contrôle du point de passage de Rafah à la frontière Sud de Gaza. En bloquant l'unique point d'entrée de l'enclave appauvrie qui ne soit pas contrôlé par Israel, il a transformé Gaza en une prison à ciel ouvert pour ses 1,8 millions d'habitants.

Chess

Israël classé Etat terroriste par la Bolivie tandis que le Pérou, l'Equateur, le Chili et le Brésil rappellent leur ambassadeur

Israel
La Bolivie a annoncé sa décision de placer Israël sur sa liste d'Etats terroristes en signe de protestation contre l'offensive militaire israélienne dans la bande de Gaza. « Le gouvernement d'Israël ne respecte ni les conventions internationales ni les droits de l'homme », a déclaré ce mercredi 30 juillet, Eva Morales, président bolivien.

En 2009, après l'opération militaire israélienne Plomb durci, la Bolivie avait déjà rompu, tout comme le Venezuela, ses relations diplomatiques avec Israël et mis fin à un accord datant de 1972 qui permettait aux Israéliens de se rendre librement en Bolivie sans visa.

Star of David

Crime (Israël) et Châtiment (Russie)

Traduit par VD

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L'horrible, dans ces Deux Minutes de la Haine, était, non qu'on fût obligé d'y jouer un rôle, mais que l'on ne pouvait, au contraire, éviter de s'y joindre. Au bout de trente secondes, toute feinte, toute dérobade devenait inutile. Une hideuse extase, faite de frayeur et de rancune, un désir de tuer, de torturer, d'écraser des visages sous un marteau, semblait se répandre dans l'assistance comme un courant électrique et transformer chacun, même contre sa volonté, en un fou vociférant et grimaçant.
George Orwell, 1984
Donc, Obama, Merkel, Cameron, Hollande et le Premier ministre italien Matteo Renzi - appelons-les le Club des Cinq - s'organisent une petite conférence pour rassembler leur courage et « augmenter la pression » pour demander un cessez-le-feu à Gaza. Plus tard dans la journée, Benjamin « Bibi » Netanyahu expédie sa réponse, dans un langage clair : il reste inflexible sur son projet d'achever sa version d'une solution finale à Gaza. [1] Avec ou sans « pression ».

Alors, que font le Club des Cinq après avoir eu leurs illustres fesses collectives occidentales bottées avec application ? Ils décident de laisser tomber Gaza et de sanctionner la Russie - encore ! Quelle brillante stratégie de sortie,

Le spectaculairement fade Tony Blinken, qui sert aussi de conseiller adjoint à la sécurité nationale de Barack Obama, a tenu à souligner dans les grands médias occidentaux que la meute indisciplinée de Europoubelle est désormais « déterminée à agir ». Non, pas contre Israël à cause de Gaza mais contre la Russie à cause de l'Ukraine. Quelle belle symétrie orwellienne : les Deux Minutes prolongées de Haine d'Israël envers les habitants de Gaza se transforment en Deux Minutes prolongées de Haine de « l'Occident » envers la Russie, à l'image des Deux Minutes de Haine de Kiev envers les Ukrainiens de l'Est.

Même Hollywood n'aurait pu pondre un tel scénario ; Israël s'en tire pour un assassinat en masse avec préméditation contre des civils, alors que la Russie tombe victime d'un coup monté autour d'un assassinat en masse (de moindre envergure) aérien de civils qui a tous les ingrédients d'avoir été organisé par les vassaux à Kiev des « partenaires » occidentaux de la Russie.

Star of David

Nouveau carnage à Gaza : 17 Palestiniens, dont des enfants, tués sur un marché

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Des corps mutilés, ensanglantés, inertes, des survivants paniqués, du sang au sol : au moins 17 Palestiniens ont été tués mercredi dans un nouveau carnage, survenu sur un marché de Gaza touché par une frappe israélienne, selon les secours locaux.

Avec plus de 100 morts, cette journée est l'une des plus meurtrières, depuis le déclenchement par l'armée israélienne le 8 juillet d'une offensive d'envergure qui a tué plus de 1 300 Palestiniens, très majoritairement civils. Avant le bain de sang du marché de Chajaya, une banlieue est de la ville de Gaza, survenu en fin d'après-midi, au moins 16 personnes, dont de nombreux enfants, avaient été tuées à l'aube par deux obus tombés sur une école de l'ONU qui servait de refuge à des Gazaouis chassés de leur maison par les combats.

Dans les rues autour du marché, les scènes sont insoutenables. Tandis que s'échappe de bâtiments une épaisse fumée noire, des passants évacuent en catastrophe, sur des couvertures tendues ou des brancards, des corps inanimés, vers les ambulances ou des véhicules particuliers, comme cet enfant qui ne bouge pas dans les bras d'un homme. Certains sont blessés, d'autres morts. Les victimes sont ensanglantées, parfois mutilées, comme celui-ci, emmené sur un brancard, la jambe en partie arrachée. Du sang dégouline d'un escalier en une longue traînée. Un homme, la tête écrasée, gît dans une mare d'essence et de boue mêlées. D'autres sont étendus dans la rue, immobiles, notamment un enfant ou cet homme sur le dos, muni d'un gilet pare-balles et d'un casque. Le porte-parole des secours, Achraf al-Qodra, a confirmé qu'un journaliste palestinien, Rami Rayan, travaillant pour une agence locale, comptait parmi les morts.

Des survivants appellent au secours au milieu de scènes de panique, des rescapés courent dans toutes les directions, pendant que les ambulances arrivent sur les lieux. Les secouristes s'activent autour des blessés et des morts. "Le premier obus est tombé et les gens ont immédiatement commencé à évacuer les blessés", dit Abou Maysarah, qui ne veut pas donner son identité complète et ne sait pas s'il s'agissait d'un obus de tank ou d'un missile venu des airs. L'armée a "encore frappé". "Nous voulons la guerre !" crie-t-il soudain. "Nous voulons que Qassam (la branche militaire du Hamas) riposte au coeur de Tel-Aviv !"

Bad Guys

Du crash du vol MH17, à la 3e guerre mondiale : « La guerre arrive »

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Au moment où les Etats-Unis publient des preuves de l'appui militaire russe aux séparatistes, Paul Craig Roberts dénonce un "hoax" .

"Pendant plusieurs jours, les journalistes ont demandé au porte-parole du bureau de presse Département d'Etat du Marie Harf des preuves affirmant que l'armée russe avait attaqué les forces ukrainiennes, pour la soutenir. Harf a dit aux journalistes qu'elle ne pouvait pas fournir les preuves. En d'autres termes, la preuve de Harf , c'est comme le témoignage de John Kerry qu'il ne pourrait jamais prouver que Assad avait utilisé des armes chimiques.

Soudain, la preuve apparaît dans un e-mail et se propageant via les réseaux sociaux. Ce n'est pas crédible. Ces éléments de preuve si ils existaient réellement, serait publiés dans une conférence de presse à Washington par de hauts responsables gouvernementaux avec des experts présents pour expliquer le sens des photos pour les journalistes et pour répondre aux questions.

Aucun vrai journaliste , s'il en reste, ne croirait que ces informations chaudes soient divulgués dans un e-mail. De plus, les photos n'ont pas de sens pour les non-initiés, et il n'existe aucun moyen de juger de leur authenticité.

En outre, il n'est pas crédible que cette information importante fut libérée à un temps mort des nouvelles à 8: 45 AM EDT un dimanche matin, quand la côte Ouest était encore endormi.

Que devons-nous faire de tout cela ?

Commentaire: Il est cependant peu probable que la guerre, dans ce contexte, soit « autorisée » étant donné qu'un conflit impliquerait l'utilisation de l'arme nucléaire, ce qui éliminerait une grande partie de la population et entrainerait la fin de notre « civilisation ». Le pouvoir en place ne souhaite pas qu'un tel scénario se produise. Un bon éleveur ne tue pas tout son troupeau, il le « gère », et à l'échelle de notre société humaine, cette gestion passe par l'information, ou du moins, par les mensonges et la manipulation, afin d'orienter les individus vers un « côté obscur » où ils abandonnent leur humanité au profit d'un mensonge confortable.


Bomb

À l'aube d'une nouvelle guerre

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« Les élites occidentales et les gouvernements ne sont pas seulement totalement corrompues, elles sont aussi folles ». (Paul Craig Roberts)

L'extraordinaire propagande conduite contre la Russie par les gouvernements étatsunien et britannique et par les ministères de la propagande connus comme « médias occidentaux » va mener le monde à une guerre que personne ne pourra gagner.

Les gouvernements européens doivent se secouer de leur négligence, parce que l'Europe sera la première à être évaporée à cause des bases de missiles étatsuniens qu'elle héberge pour garantir sa « sécurité ».

Comme rapporté par Tyler Durden de Zero Edge, la réponse russe à la sentence extra-judiciaire d'un tribunal hollandais corrompu, qui n'avait aucune juridiction sur le cas qu'il a arbitré, sentence qui ordonne au gouvernement russe de payer 50 milliards de dollars aux actionnaires de la Yukos (une société corrompue qui était en train de mettre à sac la Russie tout en fraudant le fisc), est très significative. Lorsqu'on lui a demandé comment la Russie se comportera concernant la sentence, un conseiller du président Poutine a répondu : « Il y a une guerre qui est en train d'arriver en Europe. Croyez-vous vraiment que cette sentence ait de l'importance ? ».

Pistol

Gaza : l'armée israélienne demande à ses soldats de se suicider

soldats israelien
Bande de Gaza - « La panique au sein de l'armée israélienne est tellement immense qu'elle a émis un ordre confidentiel à ses soldats de se suicider avant d'être capturés », a révélé une source israélienne cité par Al-Charq al-Awsat.

« Par crainte de la capture de leurs soldats, les commandants de l'armée israélienne leur ont donné une consigne confidentielle de se suicider avant d'être capturés » a divulgué cette source.

« Dans certains, les commandants israéliens procèdent, eux-mêmes, à tuer les soldats qui risquent de se laisser capturer » ; toujours selon cette source. « Il faut empêcher à tout prix la capture des soldats », insistent les commandants de l'armée israélienne.

Selon ce rapport, suite à la capture d'un soldat israélien par les brigades d'Al-Qassam, branche militaire du Hamas, à la frontière de Gaza, les chars israéliens ont bombardé ce lieu pour que le soldat concerné ne soit pas capturé vivant, par les forces de la résistance palestinienne.