Commentaire : En faisant un petit pas de côté, nous savons éviter le ballon que nous avons lancé au-dessus de notre tête ; celui qui aurait dû nous retomber sur le coin de la figure. Mais de petits pas, nous n'avons plus trop la place d'en faire. De nos jours, la dégradation de notre environnement est telle que nous pouvons ressentir les conséquences d'une pollution à l'autre bout du monde. Notre espace vital, au niveau individuel, est saturé de choses plus ou moins néfastes, dangereuses. Il devient périlleux de respirer, de boire, de se nourrir. Si l'on comprend bien, par une amusante réflexion, que « la vie est un risque », on aimerait bien que celui-ci ne soit pas provoqué par ces scientifiques et ces industriels sans conscience pour qui le profit passe avant la Vie et son infinie diversité ; par ces politiciens psychopathes qui ne se soucient pas du bien-être des populations ; par ces médias menteurs aux influences hypnotiques qui initient cette soif inextinguible de consommation, celle qui endort notre conscience, nous empêchant au final de réaliser pleinement que nous sommes nous aussi, et après eux, les ultimes responsables du délabrement de notre monde.
Cancérologue bien connu et président de l'Association pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse (Artac), le Pr. Dominique Belpomme estime que l'accroissement du nombre de maladies graves (dont les cancers ainsi que des maladies dégénératives) vient de la dégradation accélérée de l'environnement dans les pays fortement industrialisés - donc « a priori pollués »...
Ainsi, nos pathologies peuvent s'expliquer par notre exposition à des polluants variés comme les perturbateurs endocriniens (ces « substances étrangères produisant dans l'organisme des effets délétères en raison d'une modification du système hormonal »), les pesticides, les particules fines et nanoparticules dans les poussières ou les métaux lourds comme le mercure des amalgames dentaires ou le plomb dans l'eau de boisson. Sans oublier les vaccins avec leurs adjuvants aluminiques dont l'utilisation a été rendue obligatoire « alors même que leur efficacité et leur innocuité n'avaient pas été sérieusement éprouvées ». Et que dire du « rôle mutagène et cancérigène des champs électromagnétiques », mis en évidence dès 1984 par les travaux du Dr. Roger Santini ?
Commentaire: Il n'y a pas d'« opposition modérée ». Il s'agit de terroristes et d'un groupe d'envahisseurs qui tuent de sang froid, torturent et détruisent. À nous faire penser que l'histoire se répète, que ceux qui gouvernent cette planète n'ont absolument rien appris et que quand ils ont affirmé, à la fin de la Seconde Guerre mondiale devant les charniers des camps de la mort des Nazis : « Plus jamais » ... ils nous ont menti.
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