Enfant de la SociétéS


People 2

Les familles reviennent à Alep retrouver enfin leur foyer natal

Avec la libération de leur ville natale, des centaines de familles d'Alep ont désormais la chance de quitter les camps de tentes pour les réfugiés à Lattaquié, où ils habitent depuis quelques années, et de rentrer chez eux.
Aleppo alepo Syria
© InconnuLes habitants d'Alep rentrent enfin chez eux !
La guerre a forcé des milliers d'habitants de la ville syrienne d'Alep à fuir leurs maisons. Et bien qu'ils aient vécu dans de bonnes conditions, ayant à leur disposition nourriture, soins médicaux et même écoles pour leurs enfants, le foyer natal signifie beaucoup pour eux, surtout dans un contexte de guerre.

Maintenant que les combattants d'Alep quittent la ville, ceux qui y avaient habité avant que la guerre ne la gangrène démantèlent leurs maisons temporaires et rentrent chez eux.

Blackbox

Et si Trump perdait ?

C'est un point de non-retour dans l'élection présidentielle. Le collège électoral américain, composé de 538 grands électeurs, doit confirmer lundi le républicain Donald Trump au poste de président des États-Unis. Mais peuvent-ils voter contre la volonté du peuple? Tout est possible... Bien que le vote des grands électeurs représente la dernière étape permettant de connaître la véritable issue de la course présidentielle, le collège électoral reste une instance assez formelle.
trump
© GoogleLe Collège électoral
538 politiciens inconnus devraient simplement soutenir la volonté du peuple. Pour emporter la présidentielle, il suffit au candidat d'obtenir 270 électeurs. À l'issue du scrutin du 8 novembre, Donald Trump en a engrangé encore plus, à savoir 306 électeurs. Mais si 37 « électeurs infidèles » décidaient d'abandonner Donald Trump ? Le vote du collège électoral promet d'être imprévisible.

Commentaire: Lire aussi :


Newspaper

« Fausses nouvelles » : de la pathologisation de la dissidence politique à la fabrique de la normalité

fake news mainstream media
Auparavant plus anecdotique et marginale sous le pouvoir d'hommes politiques efficacement secondés par des médias bienveillants, la chasse aux sorcières 2.0 - autrefois hésitante et balbutiante - s'affirme et prend une ampleur gargantuesque sous des airs à peine dissimulés de police de la pensée.

Toutes matraques dehors, cette police intellectuelle entend bien faire rentrer dans le rang toute voix contestataire aux déclarations des médias dominants dont la parole évangéliste et manichéenne ne doit être remise en cause. Sous couvert d'épurer le web des « fakes news » (ou « fausses nouvelles »), nos décideurs s'engagent dans la voie de la pathologisation, voir même de la criminalisation du doute, confirmant une nouvelle fois s'il en était besoin l'avènement d'une dictature sous de faux airs démocratiques.

Cet engouement contre les médias dissidents s'est nettement accentué durant des élection présidentielles américaines, et à l'issue desquelles l'establishment a constaté avec effroi que la défaite de leur protégée, Hillary Clinton, était en grande partie due a une lassitude croissante du public face aux déclarations de la presse officielle qui se voit délaissée au profit des médias alternatifs. De plus, la cinglante et inattendue victoire de Donald Trump à l'issue des votes a eu pour effet d'accentuer ce processus, aidé en cela par le fait que le nouveau président affiche clairement son intérêt aux médias alternatifs, au détriment de la presse mainstream.

Ambulance

Fusillade dans la ville jordanienne de Karak, des policiers et une touriste canadienne tués

Une fusillade a éclaté à Karak, en Jordanie et serait toujours en cours. Les tirs, ayant pris pour cible un commissariat, auraient au moins cinq morts, dont une touriste canadienne et quatre policiers.

jordanie
© GooglePlusieurs morts dans une fusillade en Jordanie
Des hommes encore non-identifiés ont ouvert le feu sur des policiers dans la ville de Karak, au Sud de la Jordanie. Au moins cinq policiers auraient perdu la vie dans l'attaque, ainsi qu'une touriste canadienne. Un bilan provisoire fait également état de 9 blessés.

Commentaire: Vous pouvez lire aussi :


Newspaper

« Que tous ces prétentieux retournent donc à leurs antres » : manipulation et imposture médiatique sur la Syrie

La guerre qui ravage la Syrie depuis près de 6 ans est un sinistre exemple de plus de la désinformation organisée et systématique de la part des tenants du pouvoir des pays occidentaux et de leurs médias aux ordres, menant le monde à toujours plus de barbarie. Et cela, dès le début de ce conflit, présenté comme un « soulèvement populaire » alors qu'il fait partie de ces complots qui finissent en guerres, fomentés et orchestrés de l'extérieur par les USA et leurs alliés (lire : Le jour avant Deraa : Comment la guerre a éclaté en Syrie - La véritable histoire).

medias
© Google
Dans son irrésistible et légitime reconquête du pays, ces derniers jours l'armée officielle syrienne soutenue par son allié russe a entamé la reprise d'Alep - seconde ville du pays après Damas - face aux mercenaires djihadistes qualifiés régulièrement par nos médias de « rebelles modérés » - ceux-là mêmes qui égorgent, violent et massacrent les civils quand ils ne les prennent pas pour « boucliers humains » - et à cette heure, la ville semble enfin libérée de ses tortionnaires. Or, que lit-on et qu'entend-on dans ces médias orientés : que la ville d'Alep est « tombée »... une terminologie qui en dit long sur la désinformation !

Commentaire: Lire aussi :


Yoda

Alors nous nous battrons dans l'ombre...

La bataille en cours entre les médias indépendants et alternatifs, et les médias de propagande parrainés par le gouvernement d'entreprise, est en pleine effervescence après la victoire de Donald Trump aux élections de 2016. Bien que je ne sois pas un grand fan de Trump, sa victoire a tellement endommagé émotionnellement le statu quo des États-Unis qu'ils ont commencé à attaquer, d'une manière hystérique et imprudente, tous ceux qu'ils accusent d'avoir empêché son Altesse Hillary Clinton de monter sur le trône.

Michael Krieger
L'escalade de ce combat, que j'ai qualifié de « Guerre des médias » depuis l'été, était facile à prévoir. Comme je l'ai noté dans l'article intitulé Questionner la santé de Hillary n'est pas de la conspiration :
«En contemplant aujourd'hui le paysage de 2016, je constate des signes émergents que les médias alternatifs ont enfin commencé à prendre le relais des médias de l'héritage traditionnel, quand il s'agit de l'impact et de l'influence. Les médias traditionnels - contrairement à John McCain en 2008 - , avaient décidé que la santé de Hillary Clinton n'était pas un problème et ont choisi de ne pas l'évoquer. Beaucoup dans le monde des médias alternatifs ont pris une position différente et, en raison de l'incapacité des médias traditionnels à informer le public américain depuis des décennies, les médias alternatifs ont conduit cette question en tête des nouvelles. Ça, c'est le pouvoir.

C'est une affaire extrêmement importante, et les médias dominants savent intuitivement ce que cela signifie. Cela signifie une perte totale de légitimité, de prestige et de pouvoir. Tout cela est évidemment bien mérité.

Voici donc la conclusion. 2016 représente le véritable début de ce que j'appellerais la Guerre des Médias. Les médias alternatifs sont maintenant capables de régler le rythme des nouvelles. Les médias traditionnels n'ont maintenant plus d'autre choix que de se battre, et ils le feront. Il vont se défendre, et salement. Cela va devenir très laid, mais au moment où la poussière retombera, je pense qu'une grande partie des médias traditionnels seront abandonnés comme les fossiles de ce qu'ils furent.»
2016 a été l'année où les médias alternatifs indépendants sont passés d'un rôle simplement influent à la possibilité d'affecter le résultat d'une élection présidentielle. Comme cela a été largement commenté, pratiquement tous les journaux de la nation ont soutenu Hillary Clinton pour la présidence. Le fait qu'elle a, malgré tout, perdu a été le plus grand bras d'honneur signifié aux médias - et au statu quo en général - par le public américain depuis au moins une génération.


Commentaire : Oui, enfin il faut raison garder, s'il n'y avait pas eu un candidat sachant parler au cœur des gens, Clinton aurait gagné sans l'ombre d'un doute.


Binoculars

Fentanyl fait des ravages au Canada

Neufs personnes ont perdu la vie dans la nuit du 15 au 16 décembre à Vancouver suite à des overdoses de Fentanyl. Le puissant sédatif fait des ravages au Canada. Les parents d'une victime tirent la sonnette d'alarme. C'est une opiacé encore plus puissant que la morphine. Et au Canada, elle est responsable d'un nombre de décès qui inquiète sérieusement autorités et parents. Le 16 décembre, Gregor Robertson, maire de Vancouver, n'a eu d'autre choix que d'informer la population que neuf personnes avaient trouvé la mort la nuit précédente à la suite de surdoses de fentanyl.

Fentanyl
© GoogleOn s'inquiète et on inquiète : Fentanyl
«Pouvez-vous imaginer la mort de neuf personnes par n'importe quelle autre cause ?», s'est interrogé Adam Palmer, chef de la police de Vancouver.

Commentaire: Les ravages et le danger de ces drogues mortelles sont aussi une manière subtile de contrôle sur la population par la peur et l'insécurité puisque les forces de sécurité, qui contrôlent tout, ne peuvent, on le voit bien, contrôler le trafic de drogues ni les trafiquants ...

Lire aussi :


Eye 1

France : bref aperçu de ses petits cadeaux de fin d'année


Commentaire : Avec le chapon nourri aux OGM de notre repas de fin d'année, les bijoux hightech qu'on nous offre en cadeau, rouges du sang africain et humides de la sueur des esclaves travailleurs asiatiques, déposés au pied d'un sapin agonisant qu'on cultive et arrache pour notre plus grande joie, sommes-nous à une pilule amère près, celle que nous faisons avaler à autrui pour notre plus grand plaisir ? Il ne semble pas. La nôtre, de pilule, puisqu'il faut aussi savoir recevoir, ce sont nos amis politiciens, médias, industriels et autres qui nous la font ingurgiter. Elle a un effet subtil et possède une action prolongée : elle modifie notre perception de la réalité et parvient à nous faire croire que notre liberté s'accroit lorsqu'on la diminue. Avec toujours plus de lois, de restrictions, de contrôles, d'encadrement, d'incitation à la délation, à la consommation, à l'obsession.


flic repression
© Inconnu
Tandis que François Hollande, comme un despote qui craint le peuple, se barricade au palais de l'Élysée en interdisant la rue Saint Honoré aux voitures, son gouvernement aux abois s'emploie à multiplier les mesures tendant à museler l'expression des Français et jusqu'à leur conscience avant que ne sonne l'hallali. Il faut s'opposer à toutes ces attaques !

Le gouvernement veut limiter la liberté d'éducation avec les attaques violentes et répétées de Mme Najat Vallaud-Belkacem pour empêcher l'ouverture des écoles indépendantes en les soumettant à un régime d'autorisation liberticide et contrôler leurs programmes pour les obliger à s'aligner sur ceux de l'Éducation nationale, au mépris de la loi.

Il veut supprimer l'indépendance de la justice en soumettant la Cour de cassation, la plus haute juridiction française, au contrôle direct du gouvernement par un décret du 05/12/2016. Prise à l'insu de la Cour et de son Président, cette mesure bafoue le principe de séparation des pouvoirs qui est un des piliers de la République française et garantit aux Français le respect de leur liberté et l'égalité de tous devant la loi. D'ores et déjà d'ailleurs, vous pouvez réagir en signant la pétition qui s'élève à l'encontre de cette disposition scélérate.

People 2

Meilleur du Web: Syriennes - Le reportage choc sur la vie à Damas aujourd'hui

Syria girl Damascus
Dima, professeur de musique à Damas et étudiante en médecine.
Reportage réalisé en Syrie par Julien Rochedy pour TV Libertés. On y découvre le point de vue de femmes et filles syriennes, libres de faire leurs études, de pratiquer leurs passions ou d'exercer leur profession, dans la peur qu'elles ressentent tous les jours depuis le début du conflit Syrien de voir les rebelles islamistes triompher. Ce reportage permet d'offrir un autre angle sur le conflit le plus sanglant de ce début de XXIe siècle, afin de comprendre une réalité bien plus complexe que celle qui nous est montrée par les grands médias traditionnels.

Syria friends Damascus
Des jeunes gens dans un bar à Damas

Bullseye

Eva Bartlett : en deux minutes elle démolit la rhétorique des médias traditionnels sur la Syrie (vidéo)

Nous savons déjà, mais apparemment certains journalistes l'ignorent. Les médias occidentaux se basent-ils toujours sur des sources crédibles dans leur reportages sur la Syrie ? La réponse de cette journaliste canadienne a laissé sans voix son interlocuteur. Christopher Rothenberg, du journal norvégien Aftenposten pose 2 questions à Eva Bartlelt et commence par dire ceci : « En tant que journaliste je ne suis pas sûr de pouvoir apprécier d'autres considérations, que les considérations empiriques du terrain. »

evaaaaaa
© GoogleEva Bartlett
Sauf que nous mon Chris, on n'est pas sûrs de pouvoir apprécier vos prétendues considérations empiriques du terrain, à cause de vos nombreux bidonnages les plus innovants de l'année 2016.

Commentaire: Écouter aussi : En Anglais et plus long :