OF THE
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On n'a pas besoin des glucides pour avoir de l'énergie. Les graisses fournissent plus d'énergie qu'une quantité comparable de glucides, et les régimes pauvres en glucides ont tendance à améliorer votre système de production énergétique. De plus, de nombreux organes préfèrent les graisses comme source d'énergie.Plus précisément :
S'il n'y avait pas de mitochondries, le métabolisme des graisses pour l'énergie serait limité et pas très efficace. Mais la nature nous a fourni des mitochondries durant notre évolution, qui utilisent spécialement les graisses comme source d'énergie. Les graisses sont le carburant que les animaux utilisent pour voyager sur de longues distances, chasser, et jouer, puisque les graisses procure plus d'ATP remplies d'énergie que les glucides. D'un point de vue biochimique, il est logique que comme nous sommes des mammifères supérieurs ayant des mitochondries, nous avons besoin de manger de la graisse. Alors que le métabolisme des glucides produit 36 molécules d'ATP à partir d'une molécule de glucose, le métabolisme des graisses produit 48 molécules d'ATP à partir d'une molécule d'acide gras, dans la mitochondrie. En comparaison aux glucides, les graisses fournissent beaucoup plus d'énergie pour la même quantité de nourriture. En plus de cela, la combustion des graisses par les mitochondries - la bêta-oxydation - produit des corps cétoniques qui stabilisent la surexcitation et le stress oxydatif dans le cerveau (liés à toutes les maladies), et elle produit aussi des changements épigénétiques qui - entre autres - produisent des mitochondries énergétiques saines, et diminuent la surproduction de radicaux libres nocifs et inflammatoires !La science nous prouve même que les hydrates de carbone, sous presque toutes leurs formes, sont nocifs pour la santé ; qu'une vie entière passée à stimuler quotidiennement la production d'insuline du pancréas nous rapproche tout aussi surement de la tombe que les maladies modernes les plus graves... elles-mêmes en partie dues à cette sollicitation mortifère. Des ancêtres en meilleure santé que nous ? Sans aucun doute, en particulier quand on sait à quel point la nourriture moderne, en plus d'être "inadaptée", est foncièrement dénaturée : appauvrissement génétique, appauvrissement nutritionnel causé par une agriculture productiviste qui ne respecte plus l'équilibre des sols, OGM, pesticides, fongicides et herbicides, aliments irradiés, surchauffés, saturés de conservateurs, d'exhausteurs de gout et d'agents de texture en tous genres, le tout conditionné dans des emballages alimentaires qui autorisent les migrations chimiques de toutes sortes, BPA, phtalates, métaux lourds, PCB... Doit-on encore parler du combat à mener pour toute personne simplement désireuse de respirer un air sain ou boire une eau pure ? Telle est la réalité de notre monde moderne, que l'on nous dit préférable à l'ancien ; une réalité qui nous montre pourtant à coup de boutoir, jusqu'à ce que le ciel nous tombe sur la tête, qui sait, que le chemin que nous empruntons nous conduit vers l'enfer.
(...) depuis quelques années, on constate une augmentation du recours à ces pratiques sans que cela ne soit justifié sur un plan thérapeutique. Et là, on entre dans les zones d'ombre de la psychiatrie. L'humiliation n'est jamais un acte de soin. Et priver un patient de sa liberté, l'attacher sans que cela ne soit justifié, c'est une manière de l'humilier.
(...) Cela reflète le poids de la toute-puissance médicale. Dans certains endroits, ce discours a une telle force que les patients sont complètement soumis à l'autorité médicale. Ils trouvent normal que ce soit le médecin qui décide pour eux parce que durant toute leur vie, c'est toujours le médecin qui a décidé pour eux. Et parfois, on transforme ainsi en « enfants » des adultes qui sont juste des gens en grande souffrance. Béatrice Borrel, présidente de l'Unafam.
"Notre but est de faire toute la lumière. C'est bien pour les victimes que nous travaillons"Heureusement que Fenech est là pour nous recadrer, nous qui avions l'audace lexicale et syntaxique de croire que "faire toute la lumière" voulait dire déterminer les raisons d'une situation ou encore découvrir la vérité sur, ou encore éclairer et faire disparaître les incompréhensions ou les malentendus au sujet de.
« En revanche, rien n'indiquait que la population d'Ifni se considérait comme autre chose que marocaine, ou qu'elle ne voudrait pas être intégrée au Maroc. Lors de la session extraordinaire de ce même comité des 24 à Addis-Abeba en juin 1966, les délégations marocaine et mauritanienne maintiennent les exigences de leurs pays sur le Sahara Occidental, mais acceptèrent que ses habitants aient le droit de choisir leur destinée. Donc, Le 20 décembre 1966, l'Assemblée Générale de l'ONU adopta par 105 voix, contre 2 (l'Espagne et le Portugal), et 9 abstentions, une résolution qui définissait clairement les mesures à prendre pour décoloniser le Sahara Occidental (...). » Tony ODGES in « Sahara Occidental : Origines et Enjeux d'une guerre du désert.
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