Le 20 février, Linda Thomas-Greenfield, ambassadrice des États-Unis auprès de l'Organisation des Nations Unies (ONU), a eu la terrible tâche d'opposer son veto à la résolution de l'Algérie en faveur d'un cessez-le-feu à Gaza. L'ambassadeur de l'Algérie à l'ONU, Amar Bendjama,
a déclaré que la résolution avait été établie sur la base d'échanges entre les 15 membres du Conseil de sécurité de l'ONU.
Une petite fille à Gaza
On lui a néanmoins demandé de retarder la présentation de la résolution, mais son pays a refusé. « Le silence n'est pas une option viable », a-t-il réagi. « Aujourd'hui, c'est l'heure de l'action et l'heure de la vérité ». Lorsque l'
ordonnance de la Cour Internationale de Justice (CIJ) du 26 janvier a suggéré que les actions d'Israël à Gaza constituaient un génocide « plausible », l'Algérie s'est
engagée à prendre des mesures immédiates par l'intermédiaire du Conseil de sécurité de l'ONU.
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