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Syrie : les terroristes ont commencé les répressions contre les habitants d'Alep

L'opposition syrienne a miné toutes les sorties pour les habitants de la ville d'Alep et a commencé les répressions contre ceux qui s'y opposent, a déclaré le ministre adjoint russe de la Défense Anatoli Antonov. Selon la déclaration du ministre adjoint russe de la Défense Anatoli Antonov qui s'exprimait devant les journalistes, l'opposition syrienne a miné toutes les sorties pour les habitants de la ville d'Alep et a commencé les répressions contre ceux qui ne sont pas d'accord avec ces mesures.

syrie
© Google Anatoli Antonov
« Deux fois les 15 et 16 septembre, les unités de l'armée syrienne ont entamé le retrait de leurs forces de la route du Castello. Cependant, les États-Unis n'ont pas réussi à organiser le retrait des détachements de l'opposition armée de la route du Castello et les unités des forces gouvernementales sont revenues », a expliqué aux journalistes Anatoli Antonov.

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Hillary Clinton à Orlando ou l'absurde paroxysme du selfie

clinton a orlando
Une photo prise par la photographe de campagne de la candidate démocrate et postée sur Twitter résume bien comment le selfie a transformé notre rapport au monde.

Sur la droite de la photo, Hillary Clinton est debout sur une estrade, contre un mur. Devant elle, une foule de jeunes supporters lui tourne le dos. Pourquoi ? Pour mieux prendre un selfie avec la candidate démocrate. La photo a été postée sur Twitter par Victor Ng, alias @victomato, membre de l'équipe de campagne de Hillary Clinton. Elle a été prise par la photographe officielle de la candidate, Barbara Kinney, le 21 septembre 2016, à Orlando.

Avoir une photo de la candidate ne suffit plus

"Avons-nous atteint le paroxysme du selfie ?" se demande The Australian face à cette photo déroutante. La spécialiste des réseaux sociaux du journal poursuit :
« S'il y a bien une image qui résume l'obsession de la génération actuelle pour les selfies, c'est celle-ci. [...] Avoir une photo de la candidate démocrate seule ne suffit plus. Il faut que vous soyez sur la photo pour impressionner vos amis sur les réseaux sociaux. »

Commentaire: On aurait pu mettre l'article dans la section "Ne paniquez pas ! Rigolez !" mais c'est définitivement plus triste qu'amusant.


Eye 1

Projet de loi liberticide pour la presse et internet : abusons contre l'abus de la liberté d'expression


Commentaire : Avec ces projets de lois passées en douce, on comprend aussi que les vilains ne sont pas uniquement ceux que l'ont voit à la télé ou qui font la une des journaux : il y a cette ribambelle de députés, de sénateurs, d'élus quasi-anonymes, grassement payés à ne rien faire si ce n'est à saper les fondements des dernières petites libertés que nous avons encore et à rendre ainsi notre vie de citoyen toujours plus contraignante, débitrice, impossible. Une loi donc, si elle est votée, qui incitera à toujours plus d'auto-censure, pour faire d'internet, véritable cauchemar du politicien, un espace enfin de plus en plus contrôlé. Quelques pistes de réflexions :

liberté de la presse
Les sociétés des journalistes signataires font part de leur vive inquiétude à propos du projet de loi intitulé « égalité et citoyenneté » qui pourrait réduire dangereusement la liberté de la presse (voir ici l'article de Mediapart à ce sujet). Ce texte est examiné par le Sénat depuis mardi. Il entend vider de son contenu la loi du 29 juillet 1881, sous couvert de lutter contre les abus d'internet. Le Sénat s'apprête à remettre en cause ce texte fondateur sans concertation préalable avec les représentants des journalistes.


De quoi s'agit-il ? Les sénateurs envisagent notamment de jeter à la poubelle le principe de la prescription des délits de presse - à commencer par la diffamation - au bout de trois mois, à compter de la date de publication : sur le support internet, ces infractions deviendraient, de fait, imprescriptibles, au même titre que les crimes contre l'humanité.Ainsi, les contenus audiovisuels rediffusés ou disponibles conjointement en ligne (podcasts, replays, etc...), pourront être poursuivis indéfiniment, ce qui introduit une discrimination manifeste entre les médias et les supports.


Hardhat

La Russie se prépare ? 40 millions de Russes vont participer à un exercice de « Désastre Nucléaire »

La Russie se prépare à un « exercice de protection civile », du 4 au 7 octobre, en envoyant ses 40 millions de citoyens dans 5000 abris souterrains et en réunissant 200 000 professionnels d'unités de sauvetage et 50 000 pièces d'équipement: c'est du sérieux ! J'ai rapporté au cours des 16 dernières années de nombreux exercices de simulation de catastrophes et d'attaques terroristes, mais là, cet exercice de la Russie est clairement et sérieusement un signe précurseur d'une confrontation militaire imminente avec les États-Unis.

russie
C'est du sérieux en Russie
La logistique de cette opération de mise à l'abri de 40 millions de citoyens est d'une ampleur gigantesque et elle ne peut que s'effectuer dans un objectif bien précis: préparer le sauvetage de la population et exercer les unités de secours et militaires à la prise en charge du pays.

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Magnify

Quelques éléments-clés pour les (sur)excités du réchauffement climatique


Commentaire : Ce qui s'échauffe, c'est sûr, c'est la bile des prosélytes du climat qui aimeraient bien, on le sait , faire enfermer tout ceux qui osent douter que, même si l'on ne s'en rend pas compte, on transpire de plus en plus. La bile donc, mais apparemment pas les neurones. Au passage, avant les quelques éléments-clés mentionnés dans le titre, éléments qui font aussi appel à notre bon sens, celui dont voudrait nous priver la politicaille opportuniste, une petite remarque :
Il fut un temps où les climatologues nous expliquaient qu'il ne fallait pas confondre la météo et le climat, la première concernant le temps qu'il fait « au quotidien » tandis que le second concernait les tendances. Ils nous expliquaient aussi qu'il fallait regarder les choses de façon globale, sans se limiter à notre petit coin de terre. Apparemment, il semble que le « message d'urgence » ait fait disparaître ce besoin de profondeur temporelle et spatiale.

climat
- Le paradis climatique originel n'a jamais existé.Le climat a toujours fortement changé, à toutes les échelles de temps et d'espace, et de façons très diverses. Parler de « dérèglement climatique » n'a donc aucun sens : il n'existe pas de « règlement climatique ».

- Il n'y a aucun emballement des températures. Après un épisode de refroidissement (le Petit Âge glaciaire) qui s'est achevé au milieu du XIXe siècle, la Terre est entrée dans une période de réchauffement modéré. Les températures actuelles sont comparables à celles d'autres époques récentes(optimums minoen, romain et médiéval). L'évolution actuelle, modeste, ne suit pas celle des émissions de gaz à effet de serre. Ainsi, au XXIe siècle, nous n'avons connu pratiquement aucun réchauffement (hormis un pic récent en 2015-2016 dû à un phénomène naturel, El Niño, qui est en passe de se dissiper), alors que les émissions de gaz à effet de serre n'ont jamais été aussi importantes.

- La hausse du niveau marin est très régulière depuis plus d'un siècle, comme le montrent aussi bien les mesures des marégraphes que celles des satellites. Au XXe siècle, nous n'avons eu aucun mal à nous adapter à une hausse d'environ 20 cm. Au XXIe , nous saurons aisément faire face à une hausse comparable.

- Les événements météorologiques ne sont ni plus extrêmes ni plus fréquents. L'intensité cyclonique des dix dernières années a même été exceptionnellement basse aux États-Unis. Les surcoûts de certaines catastrophes naturelles tiennent à la démographie et à l'urbanisation sauvage en zones à risques, notamment dans les pays les moins développés.

- La banquise est loin d'avoir fondu, contrairement aux alertes récurrentes sur le sujet. En Arctique, le plus bas estival de 2016 a encore été de plus de 4 millions de km2 de glace. La tendance baissière qui s'observe demeure toute relative. D'autre part, autour de l'Antarctique, la tendance est à la hausse, avec un record absolu établi en 2014 (plus de 20 millions de km2 ).

- Le CO2 n'est présent dans l'atmosphère qu'à l'état de trace. Il est passé en un siècle de 0,03% à 0,04%. C'est en réalité la vapeur d'eau qui est, de très loin, le principal gaz à effet de serre. Son rôle, notamment au travers des nuages, est l'une des grandes inconnues du système climatique.

- Le CO2 est l'exact contraire d'un polluant : c'est le gaz de la vie ! Il y a d'excellentes raisons de vouloir limiter les émissions polluantes, mais le CO2 n'a rien à voir avec la pollution. Non seulement il ne présente aucun risque pour la santé publique aux concentrations actuelles ou futures, mais il est absolument indispensable au développement de la végétation terrestre et maritime. Les agriculteurs qui l'utilisent dans leurs serres le savent bien. Les images satellites ont même montré en 2016 que la Terre a gagné en seulement 30 ans l'équivalent d'un nouveau continent vert, principalement grâce au CO2 supplémentaire dans l'atmosphère !

- Les prévisions alarmistes ne se sont pas réalisées. Beaucoup de travail reste à faire pour disposer d'une théorie fiable du climat, mais aussi pour valider les modèles climatiques, qui sont trop récents pour avoir jamais pu faire la preuve de leur capacité à prévoir le climat à l'échelle de 50 ou 100 ans.

- Le consensus affiché sur un « dérèglement climatique d'origine humaine » n'existe pas. De nombreux scientifiques de premier plan expriment leurs réserves sur la théorie promue par le GIEC , et ont publié des centaines d'articles dans des revues scientifiques. En France, plusieurs membres de l'Académie des Sciences ont exprimé leurs doutes, tels que Claude Allègre, Vincent Courtillot, Catherine Bréchignac ou encore Paul Deheuvels.

- Les coûts de la politique climatique sont pharaoniques et sans effet. Cent milliards d'euros à lever annuellement rien que pour le « Fonds vert », des politiques de transition énergétique intermittente coûteuses, complexes et perturbatrices, du temps et de la matière grise mobilisés dans quantité d'actions diverses... tout ça pour des effets hypothétiques dérisoires selon les propres modèles utilisés à la COP21 : une limitation de 0,2°C de la hausse des températures en un siècle. C'est à peine plus que l'épaisseur du trait.

- Il n'est de développement durable qu'économiquement viable. L'électricité est un vecteur indispensable du progrès, de la santé et du confort. Trois milliards de personnes en sont aujourd'hui privées, et la politique climatique actuelle a pour effet de les empêcher d'y avoir accès à un coût raisonnable. Selon l'OMS ,plus de quatre millions de personnes meurent chaque année de maladies respiratoires causées par l'usage de foyers polluants (bois, bouses...). Plus près de nous, la transition énergétique a alourdi de 5 milliards d'euros la facture d'électricité des Français en 2016. Ce surcoût sera doublé d'ici 5 ans.

- Le grand public n'adhère pas à l'alarmisme climatique. Malgré les efforts incessants de promotion de la « cause climatique », un Français sur trois s'est déclaré climatosceptique dans une enquête du ministère de l'Écologie de 2013. Selon un sondage de l'ONU en 2015, la question climatique arrive bonne dernière dans la liste des centres d'intérêt des citoyens. Tout cela indépendamment du pays, de l'âge, du sexe et du milieu social. Les trois préoccupations majeures sont partout les mêmes : éducation, emploi, santé.

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Meilleur du Web: Le Système, la frontière, le porno ou la dissolution de notre monde


Commentaire : La désintégration de notre monde s'opère à une telle vitesse et avec une telle efficacité qu'on la croirait presque utile à un plus grand dessein ; aussi triste, en colère, ou résigné qu'on peut l'être. Une contrainte exercée sur nos consciences nous obligeant à revoir nos fondamentaux, en quelque sorte. Pour savoir différencier le blanc du noir, la création de la destruction, l'amour de la haine, le bien du mal. Et se positionner en connaissance de cause, qui sait, tant il est vrai que notre réalité, dans sa manifestation actuelle, semble être le reflet d'un déséquilibre qu'on jugerait de nature quasi-cosmique.

Fort heureusement, cela peut donc faire ressortir le meilleur de nous-mêmes :

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Dans cette grande entreprise d'abolition de l'Homme qui définit notre contre-civilisation, la frontière est l'ennemi. Pas seulement la frontière qui dessine les contours de la Nation, mais la frontière au sens large, qui différencie le beau du laid, le bon du mauvais, le bien du mal. La frontière aussi quand elle se fait membrane autour des cellules, où se niche le plus intime de la Vie. La frontière encore entre la chair et la technologie, entre l'homme et la machine. Toutes ces frontières subissent les assauts haineux du Système néolibéral dans sa volonté de tout niveler, de tout soumettre. Mais c'est probablement la frontière entre les genres, en tant qu'ultime verrou à l'atomisation complète de la société, qui subit l'attaque la plus massive, la plus dévastatrice, la plus prometteuse en matière de désintégration du corps social. Libération détournée de la femme, théorie du genre, culture porno : ou comment il ne sera bientôt plus possible aux hommes et aux femmes de s'aimer, pour le plus grand profit du Marché. Petit essai.

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Grèce : les retraités manifestent et les policiers les aspergent avec du gaz irritant


Commentaire : C'est triste et à la fois désespérant de voir jusqu'à quel point l'État maltraite ses citoyens. Arrogant et pervers, celui-ci se montre de plus en plus implacable face à une population qui commence tout simplement a en avoir marre. Marre de l'arrogance et du mépris, marre de la perversité, marre des mensonges, des vols, de l'inhumanité de ces personnes qui sont au pouvoir, ces psychopathes effrénés. Quand on asperge avec du gaz irritant des retraités fatigués et écœurés de se faire voler, rompus de vivre chaque jour avec toujours moins d'argent pour payer leurs dettes à des banques fraudeuses, on peut se poser la question : pourquoi cet acharnement de l'État envers ses citoyens les plus vieux, les plus démunis ? Regardons un peu ce qui se passe en Grèce, cela pourrait bien se reproduire un peu partout en Occident. Et très prochainement.


grece
Des retraités manifestent en Grèce
Alors que le gouvernement grec s'apprête à présenter le budget de l'année 2017, près de 1 500 retraités se sont mobilisés à Athènes afin de protester contre la réduction de leurs pensions, et ont été durement réprimés par les forces de l'ordre. La police grecque a fait usage (de manière limitée) de gaz lacrymogène contre des retraités manifestant à Athènes contre la compression de leurs pensions, a rapporté l'agence Reuters. La scène s'est déroulée dans la matinée du lundi 3 octobre, une demi-journée avant la présentation par le gouvernement du futur budget annuel, prévue dans la soirée.

Commentaire: Lire aussi :


War Whore

Le tireur de Houston à l'uniforme nazi était membre d'une fraternité juive

Nathan DeSai
Le 26 septembre dernier, Houston est le théâtre d'une nouvelle fusillade devenue banale aujourd'hui aux Etats-Unis. Un homme vêtu d'un uniforme nazi tire sur plusieurs automobilistes roulant aux abords d'un centre commercial dans le quartier très fréquenté de West University Place aux alentours de 6h30 du matin.

Muni de deux armes et de 2500 balles réelles, il vise sur tous ceux qui ont le malheur de croiser son chemin ce lundi matin, il va blesser neuf personnes dont une grièvement avant de se faire abattre par la police. Pourtant l'homme n'est ni un terroriste au sens ordinaire du terme, ni même l'un de ces nombreux citoyens laissés sur le carreau par les gouvernements successifs américains. L'assaillant est un avocat de Houston et c'est en porsche qu'il est venu commettre son méfait.

Le FBI dévoile l'identité du tireur, il s'agit de Nathan DeSai 46 ans, il ne serait lié à aucun groupe radical, voilà pour la version officielle.

Commentaire: En quelques dizaines d'années les loups ont su se déguiser en agneaux.


Ambulance

Explosion au gaz en Espagne : au moins 90 blessés

90 personnes ont été blessées dans l'explosion qui a retenti samedi soir dans la ville espagnole de Velez-Malaga. L'explosion qui s'est produite samedi soir dans un café de la ville de Velez-Malaga, dans le sud de l'Espagne, a fait 90 blessés. Le bilan précédent faisait état de 77 blessés.

malaga
© GoogleForte explosion de gaz en Espagne fait de nombreux blessés
​Selon les secouristes, 50 des 90 blessés ont été hospitalisés. Les médecins qualifient de grave l'état de cinq personnes qui se trouvent aux soins intensifs.

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Point de vue d'un « déplorable »

demonstration
Nos sociétés se disloquent. Les consensus s'effondrent. Nos arrangements politiques vacillent. Les gouvernants ou prétendants au pouvoir n'ont d'autre recours que de monter les citoyens et les peuples les uns contre les autres.

On monte les gens contre « les déplorables », contre les « racistes », contre les extrémistes, contre les « fascistes », contre les Russes, contre les Chinois, que sais-je encore.

Pour gouverner, pour maintenir un désordre qui leur est profitable, « ils » divisent, ils sèment, soufflent la haine entre les gens et, ensuite, ils en tirent argument pour rejeter une partie des populations, entre un tiers et la moitié, hors du jeu démocratique, ce qui permet de conserver le pouvoir en étant minoritaire. On fabrique les pseudo-majorités en éliminant les « minoritaires ».

Ayant échoué sur presque tout, en particulier sur l'emploi, le pouvoir d'achat, la sécurité et la dignité, ils s'en prennent aux libertés et espèrent conserver le pouvoir par défaut. Ils n'ont plus d'autre programme que de montrer du doigt ceux qui refusent d'être largués, laissés pour compte d'un monde de plus en plus inégalitaire et injuste. Ils créent des parias et leur programme politique se résume à ceci: faire en sorte que les parias ne soient pas entendus, qu'ils soient ghettoïsés, non visibles, muselés. Le programme, c'est de produire une société à deux ou trois vitesses et de faire en sorte que l'une de ces composantes, l'une de ces sociétés, celle du milieu, cesse de compter dans le jeu démocratique.