Le mouvement pour la remigration, dirigé par Laurent Ozon, a traduit un rapport accablant rédigé sur le site Global initiatives against transnational organized crimes.
Et si la fabrication de réfugiés n'était qu'un secteur de la criminalité comme les autres ?C'est en substance la conclusion de ce document explosif. Que les motivations soient politiques, religieuses ou purement crapuleuses, les convergences d'intérêts entre les groupes armés de la moitié nord de l'Afrique et du Moyen-Orient sont au cœur du problème migratoire. Faisant feu de tous les trafics ; cigarettes, armes, drogues et surtout migrants, les criminels répartissent et élargissent leurs zones d'action.
Loin des insinuations journalistiques, ce rapport tisse également les liens entre le trafic migratoire et le terrorisme qu'il finance, anéantissant par-là même les considérations humanitaires de ceux qui veulent nous imposer toujours plus de clandestins, alors que survivent, seulement en France 150 000 SDF et plus de 8 millions de précaires.
Les réseaux criminels sont en réalité les premiers bénéficiaires de la générosité européenne, car chaque point de passage est l'occasion de rançonner les candidats à l'exil. Sous des mots pudiques, se dessine la violence à laquelle sont soumises ces poules aux œufs d'or : racket, traite d'êtres humains, exploitation sexuelle.
Par une stratégie de dominos, les groupes armés « recrutent » ainsi toujours plus de réfugiés. Ces « migrants » deviennent à leur insu les banquiers du crime et du terrorisme, finançant du matériel, des hommes, et des armes. Et ceux qui les encouragent, les « associés » de ces trafics.Ce rapport prouve que l'approche politique de la crise migratoire doit radicalement changer et l'on distingue pour ce faire deux solutions à mettre en oeuvre simultanément. D'une part, il faut anéantir tous les espoirs d'accueil en Europe pour tarir les routes migratoires tenues par les criminels. D'autre part, il est également crucial de réaffirmer l'ancrage des réfugiés sur leur propre territoire pour ne pas céder de terrain aux terroristes.
Le rapport ne vise pas à mesurer les responsabilités politiques dans le chaos libyen mais à tracer une ébauche des voies d'action offertes aux politiques qui veulent vraiment agir. Preuve est ainsi faite que toute manœuvre gouvernementale ne suivant pas ces prescriptions ne fait que se rendre complice de ces trafics, y compris humains.
Face à l'inaction de dirigeants englués dans les bons sentiments et le marketing à visée électorale, il revient donc aux citoyens de réagir vigoureusement pour briser les pompes aspirantes migratoires qui ne servent que les mafias ; et aux élus et représentants du peuple fidèles à l'intérêt collectif, de s'associer à ce sursaut vital en partageant et en faisant connaître ce travail.
Le véritable courage, c'est de ne plus les accueillir ici pour les aider là-bas. Il fallait le démontrer, c'est maintenant fait !
Commentaire: Ne pas oublier la cause réelle du pourquoi ces gens fuient leur pays. Qui a mis le chaos chez eux ?