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Black Cat

Malheur à tout Turc qui ose insulter Son Excellence, le président Recep Tayyip Erdogan

L'autoritarisme du président turc Recep Tayyip Erdogan de plus en plus se transforme en une dictature. Les citoyens turcs indésirables sont en prison, et le président, lui-même se cramponne au pouvoir et est prêt à aller très loin pour parvenir à ses fins, même changer la constitution, rapporte le DailyTelegraph.

erdogan
© AP Photo/ Thanassis Stavrakis
Le chef de la Turquie habite dans le plus grand palais résidentiel du monde avec 1.000 chambres et une surface de plancher quatre fois plus grands que la taille de Versailles. Il se plaît à donner des instructions à son peuple, notamment aux femmes turques en leur recommandant de faire naître au moins trois bébés chacune. Il qualifie le dirigeant israélien Benjamin Netanyahu de "meurtrier" et Bachar el-Assad de "tueur impitoyable". Mais malheur à tout Turc qui ose insulter Son Excellence, le président Recep Tayyip Erdogan.

Commentaire: Ce dictateur est pourtant un grand ami de l'UE...

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Colosseum

Sauver à tout prix le patrimoine syrien, patrimoine de notre civilisation

Le directeur général des antiquités et des musées au ministère de la culture, Maamoun Abdelkarim, a appelé la communauté internationale à œuvrer pour mettre fin au pillage par les réseaux terroristes du patrimoine syrien et pour appliquer la résolution onusienne N°2199 de l'an 2015 qui criminalise le trafic des pièces antiques et du pétrole avec les deux réseaux de "Daech" et du "Front Nosra" et les autres réseaux terroristes.

syrie
© Manuel CohenEn 129, l'empereur romain Hadrien fait de Palmyre une cité libre et elle prend le nom d'Adriana Palmyra. C'est à cette époque que les principaux temples, comme celui de Bel, ou l'Agora ont été construits.
Dans une allocution prononcée lors d'une réunion organisée par le Secrétariat général d'Interpol pour le groupe des experts d'Interpol sur "les biens culturels volés" et qui a pris fin aujourd'hui en France, Abdelkarim a réclamé aux pays voisins de contrôler les frontières pour interdire le trafic des biens culturels syriens.

Commentaire: Cette tragédie du patrimoine syrien concerne toute l'humanité. Comment se fait-il que les pays du monde entier ne fassent rien pour aider la Syrie à sauvegarder ses monuments historiques et ses œuvres d'art ? Est-ce là un signe du déclin de notre civilisation, à l'instar de ces vestiges historiques presque disparus ? Ces pierres de jadis, témoins du chemin parcouru par l'humanité, et maintenant détruites, à l'image de notre civilisation qui se décompose...

N'y aurait-il pas une volonté délibérée de laisser une partie de l'histoire s'effacer définitivement afin de mieux pouvoir la réécrire ?

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Stormtrooper

Brûlés, décapités : RT révèle le génocide de l'armée d'Erdogan sur des civils kurdes


Des histoires effrayantes du massacre présumé de dizaines de civils kurdes dans la ville de Cizre, en Turquie, ont été recueillis par le correspondant de RT William Whiteman, qui s'y est rendu suite à des rumeurs de répression de la population.

Les premières informations révélant que les troupes turques ont brûlé des centaines de civils piégés dans des sous-sols à Cizre, dans la province de Sirnak, sont tout d'abord apparues en février. 150 personnes auraient été brûlées vives dans l'un d'eux.

Cette affirmation a été faite par le député turc Feleknas Uca, du parti démocratique des peuples (HDP), pro-kurde, dans une interview à l'agence Sputnik. Les habitants de cette ville ont vu leur approvisionnement en nourriture et en eau, ainsi qu'en médicaments, restreints, voire coupés. Cependant, jusqu'à maintenant, les atrocités présument commises par les forces turques, ne pouvaient être étayées par des preuves sur le terrain.

William Whiteman, correspondant de RT, est allé sur place et a trouvé des survivants de l'offensive capables de lui montrer l'endroit exact où l'exécution de masse a eu lieu, et ont fourni des détails terrifiants sur ce qu'il s'est passé.

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SOTT Logo

Bienvenue en enfer ! Amnesty International affirme que les gardes-frontières turcs tirent sur des réfugiés syriens

Alors qu'un sommet entre l'Union européenne et la Turquie sur la question des migrants est en cours à Bruxelles, de nombreuses sources indiquent qu'Ankara accueille les réfugiés à l'arme de guerre. « Dès 2014, on recevait des rapports indiquant que les garde-frontières turcs tiraient sur les réfugiés. » Andrew Gardner vit à Istanbul depuis dix ans. Ce chercheur pour Amnesty International connaît bien le dossier.

syriens
© ReutersLes otages des pourparlers, des guerres, des politiciens, de l'UE seront toujours les réfugiés pris dans un engrenage qui ne semble pas avoir de solution
Depuis des mois, des témoignages de réfugiés, ONG et médecins syriens font état d'exactions commises à la frontière syrio-turque. Les familles qui fuient le conflit en Syrie seraient régulièrement accueillies par tirs et coups. Les rapports font froids dans le dos.

La position officielle turque veut que sa frontière soit ouverte aux réfugiés syriens. Dans les faits, il semble que les choses soient un peu différentes. «La Turquie laisse majoritairement passer les syriens qui ont des passeports. Cela représente peu de monde» souligne Andrew Gardner. Avec plus de 2,5 millions de réfugiés syriens sur son territoire, il semble qu'Ankara ait décidé de fermer la porte. Récemment, un pic d'incidents à été observé à la frontière selon l'activiste.

Commentaire: Cette tragédie prend des tournures vraiment désespérées et on peut se questionner sur la décision de donner de l'argent à la Turquie pour qu'elle résolve le problème des réfugiés quand la Turquie est une dictature où les droits humains sont absents et bafoués. Ne voudrait-on pas simplement s'en laver les mains à crédit ? Que va-t-il se passer avec les réfugiés, abandonnés par l'UE, et pris dans une sorte d'engrenage qui ne semble pas avoir de solution pour eux ?

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Che Guevara

Police de la pensée : le professeur dont les élèves ont été interrogés par la gendarmerie s'explique

De retour de vacances, Pascal Geneste, professeur d'histoire en langue bretonne, a appris que ses élèves avaient été interrogés par la gendarmerie locale sur le contenu de ses cours, plus particulièrement sur ce qu'il avait dit sur la Russie et Vladimir Poutine. Le professeur a lui aussi dû répondre aux questions du procureur.


La scène se passe en France, un pays qui, comme chacun sait, ne contrôle pas ses citoyens, comme certains s'y emploient ailleurs. Il est d'autant plus étonnant d'apprendre que le 17 février dernier, six élèves du collège Sainte-Anne d'Auray, en Bretagne, ont été convoqués par la gendarmerie pour subir un interrogatoire sur les cours dispensés par leur professeur d'histoire.

Les enquêteurs voulaient savoir ce qu'avait déclaré l'enseignant "au sujet de la Russie et de Vladimir Poutine" durant les cours d'histoire dispensés en langue bretonne par ce dernier.

Commentaire: Voir aussi :
  • Hallucinant : des élèves interrogés par la gendarmerie sur les cours de leur professeur sur la Russie et Poutine !



Nuke

Fukushima : un gouvernement qui pousse au retour des habitants sur des terres irradiées



Fuku­shima
© JPDSLa radioactivité n’a plus de secret pour bon nombre d’habitants qui traquent les concentrations de particules dans les quartiers de leur ville, leur jardin et jusque dans leur assiette
Le gouvernement japonais pousse les habitants évacués en 2011 à rentrer chez eux, sur des terres fortement contaminées. Le début d'une catastrophe humanitaire et sanitaire.

Le compteur Geiger reste en bonne place dans le « kit de survie » des Japonais, entre la bouteille d'eau et le chargeur de secours pour le téléphone portable. Cinq ans après la catastrophe nucléaire de Fuku­shima, une partie de la population ne baisse toujours pas la garde face à la radioactivité. A commencer par les mères et les étrangers. « Je me rends régulièrement dans les villes de la Préfecture de Fuku­shima pour mesurer les taux avec mon compteur afin d'informer les gens sur internet », confie Janick Magne.

Ce professeur de français dans une université de Tokyo, également conseillère consulaire élue par les Français du Japon en 2014, a relevé récemment des niveaux de radioactivité élevés dans la ville de Fukushima, située à 60 kilomètres de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi méchamment endommagée le 11 mars 2011 par un séisme de magnitude 9 qui a entraîné un tsunami meurtrier. Bilan de la réaction en chaîne : plus de 15 890 morts et près de 2570 disparus. « Il y a encore par endroits 2 microsieverts par heure (μSv/h), dix fois plus que ce qui est admissible. »

Cult

Nouvelles révélations sur l'affaire Dutroux : « Marc Dutroux voulait créer une colonie souterraine d'enfants »

Dutroux
© BELGAJulien Pierre (ici à gauche, en 2001) avait été le premier avocat de Dutroux dès le moment où l’affaire a éclaté en 1995
Plus de 20 ans après les faits, de nouvelles révélations sur Marc Dutroux. C'est Julien Pierre, son ancien avocat, qui s'exprime dans Le Soir Mag. D'après lui, l'idée de Marc Dutroux était de créer une colonie souterraine d'enfants enlevés. L'avocat raconte que Dutroux lui avait une fois déclaré : « Est-ce que vous vous rendez compte que personne ne s'est jamais demandé pourquoi j'avais choisi cette maison-là, dans cette région-là ? ».

« On est passé à côté de la personnalité de Dutroux »

Le pédophile aurait encore ajouté qu'il y avait « beaucoup de galeries et de mines dans cette région », avant de dire à son avocat que son idée était « de commettre énormément d'enlèvements d'enfants et créer dans les souterrains là-bas, dans ces galeries de mines, une sorte de cité souterraine où régnerait le bien, l'harmonie, la sécurité ».

« C'était impressionnant d'entendre Dutroux raconter cela. Croyez-moi, aujourd'hui, je sais vraiment ce qu'est un psychopathe, probablement mieux que beaucoup de psychiatres », confie l'avocat. « On est passé à côté de la personnalité de Dutroux. » Julien Pierre avait été choisi pour défendre Dutroux au moment de l'éclatement de l'affaire qui porte son nom, en 1995. Il était resté son avocat durant six ans, avant que Dutroux ne s'en sépare parce qu'il ne voulait pas défendre la thèse des réseaux.

Commentaire: Et dire que Dutroux est encore officiellement considéré comme un prédateur isolé...


Propaganda

Propagande climatique : cette fois on en est sûr, en 2050, 529 000 morts de faim à cause du réchauffement...

2050
L'important, pour une peur millénaire, c'est que chacun soit au courant ; et là où l'alarmisme, seul dans son coin, n'est qu'une forme particulière de paranoïa, il devient judicieux voire nécessaire dès lors qu'il s'appuie sur un mouvement de masse, relayé à grand bruit par d'indispensables opuscules journalistiques. En France, au moins, cet aspect est admirablement couvert par Le Monde et Libération.

Pour l'un comme pour l'autre, aveuglément acquis à l'amusante thèse d'un réchauffement climatique anthropique, il ne peut se passer une semaine sans que soit fait un rappel lacrymophile de l'épouvantable situation dans laquelle ces deux épaves journalistiques nous croient tous embringués. Quand ce n'est pas un palpitant reportage sur des glaciers évaporés, un ours famélique ou le compte-rendu biaisé de la COP21, ils nous offrent un grand moment de bravoure journaleuse en repompant une étude du Lancet, quitte, pour l'occasion, à sortir de la titraille de 12.7 et conclure, avant même le chapeau, à un « effet mortifère » du réchauffement climatique, à hauteur d'un demi-million de morts tout de même.

Pourtant, l'étude initiale prend quelques précautions, à commencer par son titre qui explicite plutôt clairement qu'il s'agit d'une étude sur un modèle, ce qui impose la plus grande humilité quant aux résultats trouvés, tant les « modèles » ont, pour le moment, prouvé leur relative inefficacité en matière de climat. Heureusement, tant Le Monde que Libération en profitent pour rappeler au lecteur, avec un sens de l'éthique qui les honore, que « modèle » ne veut pas dire « faits observés », ce qui permet de... Ah tiens, on me fait savoir que l'un et l'autre ont omis cet élément. Bah. Ça arrive aux meilleurs.


Megaphone

En Turquie elles n'ont pas le droit de manifester pour la Journée Internationale des droits de la femme

Plusieurs centaines de militantes ont manifesté dans le centre d'Istanbul, portant des bannières violettes, symbole du mouvement pour les droits des femmes. La manifestation avait pour but d'attirer l'attention sur la situation des femmes dans la société turque. La police turque a utilisé des balles en caoutchouc contre les manifestantes qui se sont rassemblées sur la place centrale d'Istanbul à la veille de la Journée internationale de la femme, rapporte l'agence Reuters.

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© GoogleLes femmes turques en ont marre

Commentaire : Il n'est pas surprenant qu'un pays qui ne donne pas le droit à ses journalistes de critiquer le régime, qui les emprisonne quand ils le font, qui massacre les Kurdes, qui tue ceux qui défendent les Kurdes, qui aide en ravitaillement l'Etat Islamique, qui fait du chantage à l'Europe question réfugiés... empêche donc à ses femmes de crier dans la rue leur mécontentement. Les femmes turques, témoins des injustices au quotidien, sont une autre voix qu'il faut taire à coup de bombes lacrymogènes et balles de caoutchouc.


Selon l'agence, plusieurs centaines de femmes scandant des slogans se sont regroupées sur la place, portant des bannières violettes, symbole de la lutte pour les droits des femmes. Les manifestantes souhaitaient attirer l'attention sur la situation de la femme dans la société turque.

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Tunisie, l'Etat islamique lance une attaque sans précédent à la frontière libyenne

« Sans précédent. » Les commentaires étaient sur toutes les lèvres, lundi 7 mars, en Tunisie pour qualifier les affrontements spectaculaires, le matin même, entre assaillants djihadistes et forces de l'ordre, ayant fait cinquante-quatre morts à Ben Gardane, ville tunisienne située à 25 kilomètres de la frontière avec la Libye. Depuis que le pays a commencé à être frappé par le terrorisme, après la révolution de 2011, jamais, en effet, une ville tunisienne n'avait été le théâtre de telles scènes de guerre. A l'aube, des groupes liés à l'organisation Etat islamique (EI), dont les effectifs devaient osciller entre cinquante et soixante membres avaient lancé des assauts coordonnés contre une caserne de l'armée, un poste de police et le quartier général de la garde nationale.

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© Google
Profitant de l'effet de surprise, ils ont pu sillonner le centre-ville de Ben Gardane, établir des points de contrôle, s'adresser aux passants afin de les rassurer - « Nous ne sommes pas contre vous, mais contre l'armée et la police », selon un habitant rapportant leurs propos - et se livrer même à des assassinats de représentants des forces de l'ordre, surpris à leur domicile.

Commentaire: A quoi servent donc les services de renseignements quand il s'agit de contrer des actions de Daesh ?

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