Histoire SecrèteS


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Préhistoire : des peintures rupestres essentiellement réalisées par des femmes ?

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Publiée dans la revue American Antiquity, une étude américaine, basée sur la morphologie des nombreuses empreintes de mains apposées par nos ancêtres sur les parois des grottes, suggère que les artistes préhistoriques auraient pu être en majorité des femmes.

On les appelle des mains négatives, car l'Homme préhistorique, pour orner l'intérieur des grottes, apposait sa main sur la paroi avant d'y souffler un jet de colorant qui, maculait la surface rocheuse tout autour de ce pochoir naturel, en dessinait le contour.

L'homme préhistorique... ou la femme, car ces œuvres pariétales paléolithiques, connues en Argentine, en Afrique, à Bornéo, en Australie et en Europe, pourraient bien avoir été réalisées surtout par des femmes. Ainsi - pourquoi pas ? - que les autres formes d'art rupestre, peut-être.

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Une frontière romaine perdue, découverte grâce à des photographies d'espionnage déclassifiées

Des recherches menées par les archéologues des universités de Glasgow et d'Exeter ont permis l'identification d'un mur long de 60 kilomètres du Danube jusqu'à la mer Noire sur ce qui est aujourd'hui la Roumanie.

Une frontière romaine perdue, découverte grâce à des photographies d'espionnage déclassifiées
© University of GlasgowImage montrant le mur, prise par le satellite espion Corona.
Ce serait l'une des frontières artificielles les plus orientales de l'Empire romain.

Construit au milieu du deuxième siècle de notre ère, le « rempart de Trajan », comme on l'appelle localement, faisait autrefois 8.5 mètres de large et 3,5 mètres de haut et comportait au moins 32 forts et 31 petits fortins le long de son parcours.

On pense qu'il a servi dans un but identique aux autres murs frontières romains, comme le mur d'Hadrien, construit pour défendre l'Empire contre les menaces extérieures.

Le rempart de Trajan se compose en fait de trois murs distincts de différentes périodes : le « Petit mur terrestre », le « Grand mur en terre » et le « Mur de pierres ».

Ces constructions étaient déjà connues des environs, mais on pensait, à tort, qu'elles dataient de la période byzantine ou du début de la période médiévale.

Camera

Pourquoi les personnes ne souriaient pas sur les photos d'époque

De nos jours, sourire face à l'objectif de l'appareil photo est un réflexe mais cela n'a pas toujours été ainsi. Anciennement, sur les photos d'époque, les sujets n'avaient pas pour habitude de produire de rictus.

Old photos
© Inconnu
Les raisons de cette sobriété sont techniques mais également morales, explique ABC.es. Au début de l'ère de la photographie, au 19ème siècle, les sujets devaient rester immobiles pendant un laps de temps relativement long (environ dix minutes) pour que le daguerréotype soit en mesure de capter l'image et la lumière. Par ailleurs, il existait plusieurs astuces afin d'éviter l'engourdissement musculaire. Ces raisons techniques n'invitaient donc pas à l'allégresse.

Mais d'un autre côté, la raison principale pour laquelle les sujets ne souriaient pas était morale. Le sourire était considéré traditionnellement en Occident comme un geste infantile et dédaigneux. Pour la culture artistique européenne, le rire et le sourire étaient réservés aux fous, aux personnes ivres, aux enfants, aux gens de spectacle et aux prostituées.

Comme l'écrit The Public Domain Review, l'écrivain Mark Twain, à propos de la photographie, s'exprimait ainsi : « Une photographie est un document très important et rien de tel pour la dégrader qu'un stupide sourire immortalisé devant la postérité ». « Le sourire est réservé aux dames et aux messieurs qui ne soucient guère de paraître intelligent », affirmait Charles Dickens. En outre, la photographie était chère et réservée à une classe aisée, soucieuse de montrer une image responsable d'elle-même. A l'époque, on pensait également, dans les arts plastiques, que la meilleure manière de figer le caractère de l'individu résidait dans une attitude posée.

Cet état de fait a perduré jusqu'au début du 20e siècle. Par après, Hollywood a renversé la tendance avec l'éclosion d'un cinéma où les acteurs ont posé face à la caméra dans des attitudes joyeuses. Les techniques photographiques se sont ensuite perfectionnées et ont permis de capter plus rapidement les instants. De nos jours, la photographie s'intéresse aux émotions. « Toutefois, cette préoccupation ne semble pas concerner les sociétés moins occidentalisées », affirme l'historien français Colin Jones. « Chez celles-ci, le sourire n'est pas tellement valorisé socialement et les visages timides ou sérieux continuent de prédominer, comme sur n'importe quelle photo d'époque ».

Dollar

La dette humaine

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On en parle sans arrêt, mais on la connaît mal. Dans «Dette, cinq mille ans d'histoire», véritable best-seller aux Etats-Unis, l'anthropologue David Graeber décrypte le fonctionnement de la dette. Une analyse passionnante par l'un des initiateurs d'Occupy Wall Street.

Qui de nous a fait attention au nouveau billet de 5 euros ? Un simple petit biffeton de presque rien. Aussi moche et sans saveur que son prédécesseur et ses grands frères de 10, 20, 50, 100, 200 et même 500 (rarissimes dans nos contrées). Apparemment, il n'y a aucune raison de considérer ce minuscule rejeton de la famille, aux couleurs pisseuses et illustré d'un motif volontairement sans signification, donc sans intérêt.

Pourtant, en regardant bien, on distingue une sorte de griffonnage qu'on imagine réalisé avec une pointe Bic : « MDraghi ». Ce MDraghi, pour Mario Draghi, a remplacé récemment « JcTrichet », pour Jean-Claude Trichet. Le paraphe de « SuperMario » signifie : « Moi, président (de la BCE), je m'engage à rembourser 5 euros dès qu'on présentera ce billet au guichet de ma banque. » Il s'agit donc d'une reconnaissance de dette ! Et c'est justement parce que c'est une dette que nous nous disons, en rangeant le billet dans notre portefeuille : « C'est du sûr. »

Car, à moins d'habiter à Chypre, nous sommes certains que Mario Draghi paiera les 5 euros. Mais pourquoi avons-nous confiance dans la signature d'un homme que nous connaissons à peine, et pas dans le sigle de l'institution imposante qu'est la Banque centrale européenne, comme les Américains attachent de la valeur à l'improbable signature de Jack Lew, le secrétaire d'Etat au Trésor des Etats-Unis, imprimée sur les dollars ?

Video

« 11-Septembre : Le Nouveau Pearl Harbor » - 2e partie

11-Septembre - Le nouveau Pearl Harbor
Près de 40 000 vues en 15 jours (sur Dailymotion et différents comptes Youtube) pour la première partie du documentaire « 11-Septembre : Le Nouveau Pearl Harbor » de Massimo Mazzucco. Voilà une belle réponse apportée à ceux qui voudraient clore le débat, au prétexte que le grand public, douze ans après les faits, s'en désintéresserait.

Vous avez pu constater le silence assourdissant des médias sur ce sujet à l'occasion des récentes commémorations, et comment, alors que des bénévoles organisaient par leurs propres moyens une campagne d'information de grande ampleur, la parole était donnée aux rares partisans de la censure plutôt qu'à l'un des milliers d'experts de différents domaines qui remettent en cause le récit officiel.

Alors que la 1re partie se focalisait sur l'aspect « aviation » (absence de défense aérienne, affaire Mineta, boîtes noires, appels téléphoniques..), nous avons le plaisir de vous présenter aujourd'hui la seconde partie, consacrée aux questions que pose la version officielle des événements survenus au Pentagone et en Pennsylvanie où le Vol 93 d'United Airlines se serait écrasé.

Commentaire: 1re partie : 11-Septembre : Le Nouveau Pearl Harbor


Books

« JFK et l'Indicible » de Douglass et « Histoire et Mystifications » de Parenti, à paraître aux Editions Demi Lune

Ouvrages à paraître le 7 octobre...

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Titre : JFK & l'Indicible
Sous-titre : Pourquoi Kennedy a été assassiné...
Auteur : James W. DOUGLASS
«Le meilleur récit que j'ai lu sur cette tragédie et ses conséquences (...) Mais ne me croyez pas sur parole : lisez ce livre extraordinaire et tirez-en vos propres conclusions. »

- Oliver STONE, réalisateur de films controversés, à succès, dont JFK, en 1991 d'après l'enquête du procureur Jim Garrison
Au plus fort de la guerre froide, JFK fut à deux doigts de commettre le plus grand crime possible contre l'humanité : déclencher un conflit nucléaire. Horrifié par cette perspective, Kennedy s'est graduellement éloigné de ses convictions premières pour s'engager vers l'établissement d'une paix durable. Mais ce changement d'orientation constituait une menace directe pour les autorités militaires et les agences de renseignement, résolues à gagner la guerre froide, à n'importe quel prix. Convaincues que Kennedy agissait à l'encontre de leurs intérêts, ces forces obscures, « indicibles », le considérèrent comme un traître dangereux, projetèrent son assassinat et en organisèrent la dissimulation.

L'auteur nous introduit dans le bureau ovale de la Maison Blanche lors des journées intenses de la crise des missiles cubains, nous invite à suivre l'étrange parcours de Lee Harvey Oswald et de ses manipulateurs cachés, et nous transporte sur l'avenue sinueuse de Dallas où la limousine du Président était attendue. Documents à l'appui, l'auteur démontre de façon convaincante la présence de ces forces obscures à l'œuvre, déplaçant les personnages tels des pièces sur un échiquier pour réaliser leur funeste projet. Ce livre de DOUGLASS a tout d'un thriller politique - dont les enjeux sont considérables.

Une relecture stupéfiante de l'assassinat de JFK et sa signification aujourd'hui
« Probablement le livre le plus important jamais écrit sur un Président américain (...) Sa lecture doit être conseillée à tous les étudiants, et à quiconque possède une carte d'électeur. »

- John PERKINS, auteur de Confessions d'un assassin financier.
Traduit de l'américain par Thierry LHOMME.

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Des fouilles confirment que Stonehenge a été construit sur l'axe des solstices

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La voie, connue sous le nom d'Avenue, fait 2.4km de long depuis le monument. Après la fermeture de la route A344, les archéologues ont pu y faire des fouilles pour la première fois. Le Professeur Parker Pearson a identifié des fissures d'origines naturelles qui se trouvaient entre les bords situés le long de la voie.
D'après les archéologues, l'ancien peuple qui a construit Stonehenge a choisi le site dans le Wiltshire moderne en raison de sa signification solaire.

Dans ce qui est décrit comme une "pièce manquante du puzzle" dans la compréhension du plus grand site préhistorique d'Angleterre, les fouilles confirment la théorie selon laquelle l'ancienne voie processionnelle a été construite le long d'un relief glaciaire qui était naturellement sur ​​l'axe du solstice, selon le professeur Mike Parker Pearson, un des principaux experts sur Stonehenge: "Le but original du monument reste encore auréolé de mystère, mais c'est un indice très important".

Le parcours, connu sous le nom d'Avenue, s'étend sur 2.4km de l'entrée nord-est des menhirs à l'Ouest d'Amesbury. Il a été comparé à l'avenue londonienne The Mall menant à Buckingham Palace.

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Semir Osmanagich : les pyramides bosniaques sont des machines énergétiques complexes


Il y a une dizaine de jour nous rencontrions Semir Osmanagich, le découvreur de la vallée des pyramides bosniaques, à Paris dans le cadre d'une conférence où il était convié. On ne présente plus Semir Osmanagich mais, pour rappel, il est Docteur en sciences sociales portant sur la civilisation Maya et en anthropologie mais aussi le fondateur et président de la Bosnian Pyramid of the Sun Foundation.

Dans cet entretien il revient sur les dernières découvertes faites sur le site de Visoko ainsi que sur les mesures effectuées cet été par Dominique Jongbloed
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Pour rappel nous étions censés interviewer également le même jour Klaus Dona mais, à la suite d'un imprévu, ce dernier a pris du retard et n'a pu nous accorder le temps nécessaire en marge de la conférence. Nous espérons pouvoir réitérer l'opération lors de l'une de ses autres visites en France.

Pour tout commentaires, merci de vous rendre sur notre forum de discussions.

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Comment TOUS nos politiques ont trahi la France depuis 1973 : Pierre-Yves Rougeyron, interrogé par Pierre Jovanovic

Tous des traitres depuis De Gaulle! Je n'ai pas pu auparavant vous présenter de manière plus détaillée ce livre que j'ai eu la chance d'avoir entre les mains, faute de temps, mais me rattrape ce soir avec une interview que TOUS les français devraient voir, à défaut de pouvoir lire le livre. Je tiens rarement de tels propos, mais nous avons là une interview À VOIR ABSOLUMENT!

Vous pourrez y découvrir le véritable rôle qu'ont tenu nos politiques, quel fut leur choix: vendre le pays et de pactiser avec la finance plutôt que de s'inquiéter pour la population et de la protéger du chômage, vous apprendrez comment ont souhaité la création de l'Europe pour s'en emparer financièrement et ainsi créer un « bloc » face à la Russie (à l'époque URSS), ou encore les raisons qu'ils avaient de vouloir détruire De Gaulle, seul rempart à leur folie mondialiste, entre autres trahisons pour lesquelles ils devraient un jour être mis face à leur responsabilités.


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De nouvelles découvertes dans un tumulus sarmate du sud de la Russie

Traduit par NOT

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Tumulus sarmate, Monticule 1 à Filippovka 1, Russie
Un tumulus sarmate fouillé l'été dernier dans les steppes du sud de la Russie a révélé un trésor magnifique qui pourrait être capital pour mieux comprendre les Sarmates, et la période peu connue de leur culture nomade qui a prospéré sur la steppe eurasienne au 1er millénaire av. J.C. L'étude archéologique de cette tombe antique remarquable, ou kourgane, a été réalisée par l'expédition de l'Institut d'Archéologie (Académie russe des sciences), du professeur Leonid T. Yablonsky.

Pas de langue écrite

Les peuples nomades tels que les Sarmates n'avaient pas de langue écrite, les scientifiques ne peuvent donc connaître leurs cultures et leurs traditions qu'à travers des données archéologiques.

Les kourganes, disséminés dans les steppes, contiennent beaucoup de reliques scythes et sarmates et bien que les nomades eurent une collaboration fructueuse avec les achéménides perses et les civilisations grecques, ils conservèrent une culture unique qui leur est propre.