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Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, Français et Américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.
Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d'une étude sur le cancer qu'il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l'avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l'intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement [1]. » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais été réfutées. (Walter Last,
The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)
Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à
L'Express : «
Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu'on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu'il appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anticancéreux » (cf.
Le Monde, 4 mai 1988). à son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article «
Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : «
Certains cancérologues informent leurs patients du manque d'évidence que ce traitement soit utile, d'autres sont sans doute égarés par l'optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D'autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu'en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf.
Los Angeles Times, 1
er septembre 1987).
Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d'Argent qui estiment que la chimiothérapie « n'est qu'un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l'hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse » (
Leçons de cancérologie pratique).
Commentaire: Le Mythe végétarien est disponible en français sur le site des Editions Pilule Rouge.
Quelques extraits du livre de Lierre Keith ont été traduits par Sott en 2012 :
Le Mythe végétarien - Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien - Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien - Nourriture, justice et pérennité (3e partie)