Santé et Bien-êtreS


Health

La vitamine D pourrait accélérer la cicatrisation des plaies

Vit D illustration
© Inconnu

Des chercheurs Brésiliens ont voulu examiner le lien entre le taux de vitamine D dans le sang et la vitesse de cicatrisation. Ils ont étudié 52 malades âgés en moyenne de 57 ans dont la moitié était touchés par des ulcères aux jambes.

Leur taux de vitamine D a été mesuré au début, pendant et à la fin de l'étude. Au début de l'étude presque tous les participants avaient un déficit en vitamine D, les chercheurs ont donc administré de la vitamine D (50 000 UI par semaine) à la moitié des personnes touchées par un ulcère et un placebo aux autres.

Au bout de deux mois la taille de l'ulcère est passée de 25 cm² à 18 cm² pour le groupe ayant pris de la vitamine D contre 27 cm² à 24,5 cm² pour le groupe ayant pris le placebo. Les chercheurs expliquent que le bénéfice apparaît encore plus marqué lorsqu'on tient compte des grandes variations des tailles des ulcères et concluent que la vitamine D semble accélérer la cicatrisation.

Syringe

Une étude démontre que les bébés qui reçoivent le plus de vaccins ont plus de chances d'être hospitalisés et de mourir

Traduit par Les Chroniques de Rorschach

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Une nouvelle étude, publiée dans " toxicologie humaine et expérimentale", une revue scientifique indexée par la National Library of Medicine, a analysé plus de 38.000 rapports d'hospitalisations et de décès infantiles à la suite de vaccinations. Les chercheurs ont trouvé des corrélations statistiquement significatives entre le nombre de doses de vaccins administrés à des nourrissons et leur taux d'hospitalisation et de mortalité : les bébés qui reçoivent le plus de vaccins ont tendance à avoir de plus hauts d'hospitalisation et de mortalité.

Les nourrissons qui ont reçu 2 vaccins en même temps étaient beaucoup moins susceptibles d'être hospitalisés que les nourrissons en ayant reçu 3 en même temps. Les nourrissons qui ont reçu 3 vaccins en même temps étaient beaucoup moins susceptibles d'être hospitalisés que les nourrissons qui en ont reçu plus de 4 en même temps. Les bébés qui ont reçu 6, 7, ou 8 vaccins au cours d'une seule séance de contrôle pédiatrique étaient les plus susceptibles d'être hospitalisés à la suite de leurs injections. En fait, le taux d'hospitalisation augmente de façon linéaire, passant de 11,0% pour les nourrissons recevant 2 doses du vaccin à 23,5% pour les enfants de réception 8 doses de vaccin.

Health

Une nouvelle étude révèle que l'intimidation par les pairs laisse une trace pouvant changer l'expression d'un gène relié à l'humeur

Expressions d'humeur visages
© Louis Boilly, 35 têtes d’expressions

L'intimidation chez les enfants : une menace a leur sante mentale future ?

Une récente étude réalisée par une chercheure du Centre d'études sur le stress humain (CESH) de l'Hôpital Louis-H. Lafontaine et professeure à l'Université de Montréal suggère que l'intimidation par les pairs change la structure entourant un gène impliqué dans la régulation de l'humeur, ce qui rendrait les victimes plus vulnérables aux problèmes de santé mentale en vieillissant.

L'étude parue dans la revue Psychological Medicine visait à mieux connaître les mécanismes qui expliquent comment les expériences difficiles dérèglent notre réponse à une situation stressante. « Beaucoup de gens pensent que nos gènes sont immuables. Or, cette étude suggère que l'environnement, même social, peut influer sur leur fonctionnement. C'est en particulier le cas d'une expérience de victimisation à l'enfance qui modifierait à la fois notre réponse au stress mais aussi le fonctionnement de gènes impliqués dans la régulation de l'humeur » explique Isabelle Ouellet-Morin, auteure principale de l'étude.

Candy Cane

Les index glycémiques élevés favoriseraient les anomalies congénitales

Tous les glucides alimentaires ne se digèrent pas de la même manière. La consommation régulière d'aliments à index glycémique élevés pendant la grossesse augmenterait le risque de malformations congénitales chez l'enfant.

De précédentes études ont déjà montré que les femmes enceintes obèses ou atteintes d'un diabète de type 2 ayant des perturbations des niveaux de glucose et d'insuline dans le sang avaient beaucoup plus de risque de donner naissance à un enfant atteint de malformations graves. Des chercheurs Américains se sont donc demandés si les variations des taux de sucre et d'insuline chez les personnes en bonne santé présentaient les mêmes dangers. Pour cela ils ont observé l'alimentation de plus de 35 000 femmes et ont mis en relation les habitudes alimentaires avec le risque de malformations congénitales.

Heart

Le régime paléo à l'assaut des maladies de civilisation

Selon une étude récente du scientifique européen le plus calé sur la question, un régime de type paléo pourrait prévenir, voire même traiter, les maladies de civilisation les plus connues : diabète de type 2, maladies cardiovasculaires et même certains cancers.

Le Dr Staffan Lindeberg de l'université Lund en Suède a examiné toutes les études scientifiques ayant trait à l'alimentation paléolithique en Afrique et à la nutrition préventive actuelle. Son but : déterminer si le régime de nos ancêtres pouvait aider à prévenir les maladies de civilisation, précisément celles qui sont apparues avec l'agriculture et la sédentarité.

Focus sur les aliments paléo

Les principaux aliments à la disposition de nos ancêtres bipèdes africains étaient des fruits mûrs et sucrés, des plantes (pousses, fleurs, bourgeons, jeunes feuilles et racines), viande, os à moelle, abats, poisson, fruits de mer, insectes, larves, œufs, noix et graines (hors graminées). Comme le souligne le Dr Lindeberg, ces aliments qui constituaient les seules sources de calories disponibles pendant des millions d'années ne représentent aujourd'hui qu'un quart de l'apport calorique d'un Occidental moyen.

À l'encontre des idées reçues

Ce qui surprend le plus dans l'alimentation de nos ancêtres par rapport aux connaissances actuelles en nutrition, c'est qu'ils ingéraient au final beaucoup de fructose via les fruits et le miel. Or, des études montrent que le fructose peut provoquer des troubles métaboliques (diabète de type 2, hypertension artérielle, etc.) et une prise de poids abdominale. Malgré tout, les scientifiques s'accordent pour dire qu'au-dessous de 60 g de fructose par jour, il n'y a pas de risque. Et le Dr Lindeberg de rappeler que le fructose consommé aujourd'hui ne provient pas d'aliments frais mais d'aliments et d'additifs industriels.

Health

Le système immunitaire pourrait bien ne pas s'affaiblir avec l'âge

personnes âgées
© Inconnu

Une étude remet en doute l'affaiblissement du système immunitaire lors du vieillissement.

C'est toute une nouvelle que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu'une étude qui remet en doute l'affaiblissement du système immunitaire lors du vieillissement vient de paraître.

C'est du moins ce que croient les chercheurs canadiens à l'origine de l'étude, qui déclarent que les gens âgés sont encore assez forts pour combattre et terrasser les virus connus.

Encore une fois, ce sont les fameuses cellules T qui sont à l'honneur. Ces cellules de défense permettent de lutter contre les infections virales avec la même vigueur et force chez un jeune que chez une personne plus âgée.

Red Flag

Flashback L'Américain mange son poids en OGM

Les Américains mangent, chaque année, une moyenne de 88 kilogrammes d'OGM, soit plus que leur propre poids (81 kg), a calculé l'association Environmental Working Group (EWG). Comme une piqûre de rappel avant un vote crucial: lors d'un scrutin du 6 novembre, au cours duquel ils éliront les grands électeurs pour la présidentielle américaine, les Californiens devront aussi se prononcer sur la proposition 37, qui obligera les fabricants à mentionner la présence d'OGM dans les aliments (voir le JDLE).

Une mesure dont l'EWG se pose en «fervent supporter». «Ce qui est le plus choquant, c'est que les Américains mangent autant d'aliments à base d'OGM, alors qu'il n'y a eu aucune étude à long terme, publique ou privée, afin de déterminer un éventuel risque sanitaire», s'indigne Renee Sharp, directrice de l'EWG en Californie, dans un communiqué.

Heart

Mieux que l'endurance pour perdre du gras : les entraînements en intervalles

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Cela fait des années qu'on nous répète que, quand on fait du sport dans le but de maigrir et perdre de la graisse, il faut faire des sports d'endurance pendant au moins 30 ou 40 minutes.

Mais ce concept est maintenant en perte de vitesse et la popularité va vers les entraînements en intervalles.

Les sports d'endurance, c'est bien connu, sont le meilleur moyen pour perdre du gras avec le sport. Pour cela, il faut pratiquer l'activité pendant un minimum de 30 ou 40 minutes pour que l'organisme commence à puiser de façon importante dans ses réserves de graisses.

Or, des études ont montré que l'endurance n'était pas le moyen sportif le plus efficace pour perdre sa masse grasse, mais que les entraînements en intervalles donnent de bien meilleurs résultats.

Heart - Black

On vit plus longtemps certes, mais plus malade

Principale conclusion de la Global Burden of Disease Study 2010 (GBD 2010), un projet collaboratif mené par l'Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) de l'Université de Washington, les progrès en santé permettent de réduire les décès prématurés, de vivre plus longtemps, mais plus souvent malade aussi. En synthèse, la priorité en santé est de plus en plus définie par ce qui nous rend malade plutôt que par ce qui nous tue. Cette analyse, publiée dans une édition spéciale du Lancet fonde une nouvelle base de réflexion et d'évaluation des priorités de santé, dans le monde et région par région et suggère parfois les meilleurs moyens d'y remédier.

Ce sont des changements massifs dans les évolutions de la santé à travers le monde depuis 1990, qui sont révélés par cette série d'études et en, particulier cette analyse des longévités. Avec le vieillissement des populations, alors que les maladies infectieuses et infantiles liées à la malnutrition étaient autrefois les principales causes de décès et sources d'inquiétude, aujourd'hui, dans de nombreuses régions du monde, c'est l'adulte typique au mode de vie plutôt malsain, plutôt surnutri que dénutri, qui inquiète.

Syringe

Aluminium et mercure des vaccins liés à des maladies neurologiques selon des scientifiques et des associations

Jeudi, des associations ont reitéré leur appel aux autorités sanitaires concernant la présence de sels d'aluminium dans les vaccins. Deux membres de l'assocation E3M (malades de la myofasciite à macrophages et leurs proches) en étaient à leur 17e journée de grève de la faim.

Vaccins on baby
© Inconnu
Un communiqué du Réseau Environnement Santé (RES), invitant à une conférence de presse, se lisait comme suit :
« Depuis de nombreuses années, les métaux utilisés comme adjuvants vaccinaux défraient régulièrement la chronique. En effet, l'hydroxyde d'aluminiumest utilisé comme adjuvant dans de nombreux vaccins, à commencer par ceux qui sont obligatoires (diphtérie, tétanos et polio) et ceux qui protègent contre les hépatites A et B. L'éthylmercure connu sous le nom de thiomersal, sert quant à lui de conservateur, en particulier dans les vaccins contre la grippe.

Or ces deux métaux sont des neurotoxiques. Depuis de nombreuses années, les éléments scientifiques concernant ces deux substances s'accumulent. Des faisceaux de présomption indiquent même que l'aluminium et le mercure des vaccins pourraient être impliqués dans l'explosion spectaculaire des maladies neurologiques à laquelle nous assistons depuis ces dernières années, comme l'autisme ou la maladie d'Alzheimer. De nombreuses recherches montrent également l'implication de ces métaux dans l'apparition de nombreuses pathologies comme la myofasciite à macrophages, le syndrome de fatigue chronique etc. »