Commentaire : Inutile de dire que ce qui est valable en Angleterre l'est aussi pour le reste du monde. Les labos pharmaceutiques, frontières ou pas, législations ou pas, effets secondaires ou pas, c'est kif-kif bourricot. Avec une bonne science corrompue, des bons scientifiques sans scrupules, des hommes de lois psychopathes, et une population inconsciente du mal qu'on peut lui souhaiter, pourquoi hésiter ?
Quel est le rapport entre le gouvernement du Royaume-Uni, le syndrome de Münchausen par procuration, le syndrome de la Guerre du Golfe et les obscures politiques gouvernementales de vaccination ? Se basant sur un large choix d'études, d'articles, de documents publiés en vertu du « Freedom of Information Act » ( Loi sur l'accès à l'information), deux chercheurs de premier plan ont découvert comment, en donnant la priorité à la politique de vaccination plutôt qu'à la sécurité des vaccins, le Comité Mixte de la Vaccination et de l'Immunisation (JCVI), le Ministère de la Santé (DH), le Comité chargé de la Sécurité des Médicaments (CSM) et le Ministère de la Défense peuvent avoir contribué à endommager la santé de millions de personnes dans le monde.
Rédigé en deux parties le document de Lucija Tomljenovic et de Christina England traite de problèmes importants qui pourraient affecter la vie de centaines de milliers de familles dans le monde entier.
Dans la première partie, Christina.England présente l'histoire du Syndrome de Münchausen par Procuration en étudiant très attentivement les documents de recherches douteuses qui se cachent derrière l'étiquette. Au cours d'une recherche très approfondie, elle a esquissé un historique détaillé du Syndrome de Münchausen par Proximité, et a pu découvrir pourquoi il semble que ce diagnostic ait été donné aux familles dont la santé des enfants avait été endommagée par les vaccinations, et pourquoi la profession médicale a choisi de blâmer les parents au lieu d'admettre la vérité au sujet des vaccins. En se basant sur des documents gouvernementaux, Christina England a apporté les preuves que les professionnels qui se cachent derrière ce faux diagnostic ont des liens avec l'industrie pharmaceutique et avec le programme des vaccinations.
Commentaire: Lire aussi: