Santé et Bien-êtreS


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Un peu de nanotubes dans vos poumons ?

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© Evan Bench, Flickr, CC by 2.0Les nanotubes de carbone présents dans les poumons des enfants se trouvent ailleurs dans la capitale.
Des chercheurs de l'université de Paris-Saclay ont trouvé des nanotubes de carbone dans les cellules des voies respiratoires d'enfants asthmatiques vivant en région parisienne. Ces nanotubes pourraient provenir d'émissions de gaz d'échappement et entrer dans les poumons de chacun d'entre nous.

Parmi les polluants présents dans l'atmosphère, les particules fines qui mesurent moins de 2,5 µm de diamètre (appelées PM 2,5) peuvent pénétrer dans les voies respiratoires et entraîner des effets négatifs sur la santé. Ces particules fines seraient une cause majeure de décès et de maladies dans le monde : des études ont montré une association entre l'exposition à ces particules à long terme et la mortalité, même à des concentrations inférieures à celles recommandées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L'exposition à long terme à de fortes concentrations de particules fines augmenterait le risque cardiovasculaire, les maladies respiratoires, le diabète et le cancer du poumon ; une exposition à court terme pourrait exacerber ou favoriser l'apparition de maladies respiratoires comme l'asthme.

Dans un article paru dans EBioMedicine, des scientifiques français et de l'université Rice (Houston, États-Unis) ont caractérisé les particules présentes dans les liquides de lavage broncho-alvéolaire d'enfants asthmatiques. Les chercheurs ont choisi de travailler sur de tels patients car la bronchoscopie est un examen de routine pour le diagnostic de l'asthme en France alors que, du point de vue éthique, il est difficile d'envisager d'utiliser cette technique invasive sur des sujets en bonne santé.

Commentaire: Vu que le principe de précaution ne se voit pas appliqué concernant les nanotechnologies, nous sommes, une fois de plus, mis devant le fait accompli et subissons les conséquences des décisions prises par des personnes uniquement intéressés par les profits immédiats.

Un extrait d'un article de Pièces et main d'œuvre concernant l'affaire :
Les technocrates nous diront comme d'habitude que le risque zéro (alias dysfonctionnement, effet pervers, etc) n'existe pas. Nous vous disons qu'à partir du moment où l'on développe les nanotechnologies, on crée les pollutions et les accidents nanotechnologiques.(...) À Paris, et sans doute dans toutes les villes, nous respirons des nanotubes de carbone issus de la pollution industrielle. C'est la moindre des choses, puisque ces nanoparticules infestent tous les écrans électroniques, les pneus, les cadres de vélo modernes et de multiples marchandises.

Rappel aux nouveaux venus : dès 2004, nous avons signalé les inquiétudes des toxicologues à propos des nanotubes de carbone, qui provoquent des effets semblables à ceux de l'amiante. À l'époque, les rats exposés à ces nanoparticules dans les labos de la Nasa, de la Rice University ou de l'industriel DuPont, et les lapins de chez L'Oréal ne faisaient pas de vieux os et présentaient, nous disait-on « des lésions atypiques ».

(...) À l'époque, lorsque nous interpellions les nanocrates lors de leurs conférences, ils répondaient avec un large sourire : « Mais les nanoparticules existent depuis la nuit des temps ! Elles sont présentes dans les peintures des Mayas, les vitraux et dans les fumées de diesel, c'est vous dire s'il n'y a pas lieu de s'inquiéter. » On cite de mémoire Jean-Louis Pautrat, le premier VRP des nanotechnologies envoyé par le CEA pour séduire les foules. Le physicien Pautrat, chargé de la communication de Minatec, nous traitait d'obscurantistes dans Télérama. (4) Il n'a pas écrit la suite de son ouvrage de propagande Demain le nanomonde. Dommage. Le nanomonde, nous y sommes, et il ne dément aucune de nos alertes depuis plus d'une décennie.

En 2004, les chercheurs assénaient cet argument-massue : les nanoparticules ne sont pas plus dangereuses que les particules fines du diesel. Dans le même temps, en bons cyniques scientistes, ils vantaient devant les autorités susceptibles de les subventionner l'intérêt des nanoparticules... pour limiter la pollution des moteurs diesel. Les marchands de mort de chez Rhodia (ex-Rhône Poulenc) faisaient ainsi de la retape devant le Sénat : « Vous introduisez dans le gas-oil des nanoparticules d'oxyde de cérium pour diviser par un facteur de 100 environ la production de suies et ce pendant plus de 80 000 km. Peugeot développe cela avec nos produits. »

(...) Résumons. En octobre 2011, le CEA avouait que, conformément à que nous écrivions depuis dix ans, les nanoparticules de dioxyde de titane pouvaient provoquer des inflammations cérébro-vasculaires et perturber certaines fonctions cérébrales. (7) Une aubaine pour Clinatec et la recherche en neurotechnologies, un vaste marché en expansion pour les dispositifs neuro-électroniques.

En octobre 2015, nous apprenons que les nanotubes de carbone, réputés pour leurs effets voisins de ceux de l'amiante, envahissent nos poumons. Une aubaine pour les nanotechnologues du rayon « Cancer », un vaste marché en expansion pour leurs futures molécules innovantes à base de nanoparticules et autres nanorobots tueurs de tumeurs.

En somme, rien de neuf sous le soleil de l'innovation.
Les nanotechnologies :

- La nanotechnologie, la nouvelle menace alimentaire
- L'ADN endommagé par les nano-particules
- Risque «nano» au travail: comment se protéger ?
- Nanotechnologies : petits ingrédients mais gros risques
- Les nanoparticules peuvent endommager le cerveau


Cheesecake

Sucre : le doux mensonge ou le doux poison

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L'Homme n'a jamais consommé autant de sucre de toute l'Histoire. Pourtant, tous les ans, de nouvelles études pointent son implication dans de multiples pathologies : diabète, maladies cardiovasculaires, cancers... L'industrie sucrière continue de nier l'évidence et sème la confusion à travers des stratégies de communication où le scepticisme serait financé à coup de millions afin de brouiller le débat. Un reportage diffusé sur Arte lève le voile sur ce business très lucratif.

Sucre : tendance lourde et excès alarmants

« Sucre : le doux mensonge » est un documentaire récemment diffusé sur Arte tentant de lever le voile sur la problématique de la trop forte consommation de sucre dans le monde. Quelques quelques chiffres-clés : depuis 30 ans, le nombre de diabétiques dans le monde a triplé pour atteindre aujourd'hui 347 millions de personnes. Chaque année, nous ingurgitons 160 millions de tonnes de sucre. Par la même, le nombre d'obèses a doublé, passant de 300 à 600 millions de personnes. Cette tendance lourde coïncide avec une dégradation du régime alimentaire occidental, toujours plus saturé de graisses (saturées), de sel, de viande mais surtout de sucres. Face à ce constat, les lobbys arguent qu'une « grosse suspicion » ne suffit pas à incriminer le sucre. Que disent les chercheurs ?


Commentaire : Le régime adopté par la plupart des gens en Occident (et dans la majorité des autres pays) est effectivement très néfaste pour la santé, mais les graisses saturées n'y sont pour rien, puisque leur consommation a en réalité baissé drastiquement depuis qu'elles ont été diabolisées par les « autorités médicales » au profit d'une alimentation riche en glucides (pain, pâtes, céréales...) et saturée, non de graisses saturées/animales, mais de graisses artificielles et végétales (huiles de colza, de tournesol, margarine et autres poisons « transfat »). À ce sujet, voir notre article/vidéo : La controverse des graisses : ce que vous ignorez sur les bonnes graisses. Quant au sel, contrairement à ce que nous raconte la propagande, il est essentiel à une bonne santé.


Cow

Meilleur du Web: Nouvelle vague d'hystérie de la très sérieuse OMS (et des journalistes idiots) à propos de la viande rouge

Traduction : SOTT

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© Wired.com
L'Organisation Mondiale pour la Santé (OMS) vient juste d'annoncer que la viande rouge « est probablement cancérigène pour les êtres humains ».

Ouaip - au même titre que le glyphosate, les cigarettes, l'alcool et l'amiante.

facepalm picard
https://fr.wikipedia.org/wiki/Facepalm

Cette annonce est grotesquement malavisée et fondée sur les deux formes de science les moins fiables que nous possédions :

1) les études observationnelles basées sur...

2) des questionnaires alimentaires

(Au fait, qu'avez-VOUS mangé au déjeuner jeudi de la semaine dernière/du mois dernier ?)

Tout est entièrement fondé sur le concept de « culpabilité par faible association », et toute personne rationnelle sait que corrélation n'est PAS causalité.

Pouah - Nous voilà de retour au Moyen-Age de la nutrition...

L'OMS semble citer principalement des preuves issues de recherches fondées sur des études observationnelles et des questionnaires alimentaires publiées dans les Archives of Internal Medicine en 2012, qui incluaient une analyse de « deux études de cohorte prospectives »[1] Comportant les mêmes défauts que la « méta-analyse »[2] mal conçue et pauvre au point d'en devenir embarrassante du Fonds Mondial de Recherche contre le Cancer 2011 - également entièrement basée sur des études observationnelles et des questionnaires - AUCUNE distinction n'a été faite entre viande issue d'élevages intensifs et viande de pâturage à 100 % (une distinction potentiellement énorme), et aucun réel effort n'a été fait pour distinguer l'effet de la viande rouge de tout ce que les gens pouvaient manger d'autres. Qu'ont-ils inclus sous la catégorie « viande rouge » ? Les hamburgers McDonald, la pizza, les hot-dog, les tacos, la bolognaise, le lard bourré de nitrates, et la viande d'élevage intensif (nourrie aux OGM et dieu sait quoi d'autre). Bien qu'ils aient courtoisement concédé que la viande rouge ne soit « que très légèrement moins dangereuse que la viande en conserve ». Et la consommation de viande rouge n'a en aucun cas été séparée de quoi que ce soit d'autre qui était ingéré ou infligé à la santé (consommation d'alcool, de sucre, de céréales, etc., ou autres facteurs liés au mode de vie). Et puisque 97 % de la production de viande provient d'élevages intensifs commerciaux, la viande de pâturage n'a probablement même pas dû peser dans ces résultats.

Cow Skull

Ebola transmissible par les personnes guéries

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© AFPUne patiente aurait été infectée à la suite de rapports sexuels entretenus avec son compagnon, plusieurs mois après sa guérison.
Des traces du virus ont été retrouvées dans le sperme de patients pourtant déclarés guéris et cela environ 9 mois après leur infection. Cela pose la question de la transmissibilité du virus par voies sexuelles.

La trêve pourrait n'avoir été que de courte durée. Quelques jours seulement après que l'OMS (organisation mondiale de la santé) a annoncé la première semaine sans nouvelle contamination par le virus Ebola en Afrique de l'Ouest, il semblerait que le panorama s'assombrisse.

Selon une étude menée en Sierra Leone sur 93 volontaires, infectés puis guéris, le virus pourrait persister dans le sperme au moins neuf mois, soit plus longtemps que ne le pensaient dans un premier temps les chercheurs. Ces traces du virus représentent donc un réel danger pour les partenaires sexuels des survivants qui peuvent, à leur tour, être contaminés, même après de longs mois.

Commentaire: Et ceci fait suite à la réactivation du virus chez une personne considérée comme guérie...

Histoire de (re)mettre aussi les choses en perspective :

- Francis Boyle : les laboratoires US de guerre biologique à l'origine de l'épidémie d'Ebola


Ambulance

Ebola réactivé chez une personne censément guérie

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© afp.com/Leon NealLes installations de protection contre le virus Ebola mises en place à l'hôpital Royal Free à Londres, le 6 août 2014.
C'est seulement le deuxième cas de réactivation d'Ebola. Pauline Cafferkey, infirmière de 39 ans, avait été déclarée "complètement rétablie" le 24 janvier 2015.

Guérie du virus Ebola en janvier, l'infirmière britannique Pauline Cafferkey est à nouveau dans un "état grave". Elle a été admise à l'hôpital londonien Royal Free en raison d'une "complication tardive inhabituelle", a annoncé cet établissement. L'infirmière de 39 ans y est traitée depuis ce vendredi matin dans une unité d'isolement.

Commentaire: Alors qu'on s'amuse déci-delà à réveiller ce qui ne devrait sans doute pas l'être ( D'anciens virus congelés peuvent se réveiller, Réveil d'un virus préhistorique découvert dans le permafrost en Sibérie ), la réactivation du virus Ebola montre que nous sommes bien loin de comprendre tous les mécanismes qui participent à la vie et à la mort des virus, malgré les discours rassurants des autorités :

- Ebola repart à la hausse
- Quand Ebola se réfugie dans les yeux de ses victimes
- Des symptômes inexpliqués frappe les survivants d'Ebola

Et sans compter ceux qui jouent aux apprentis-sorciers :

- Inventons un virus encore plus virulent, pour voir...
- Un nouveau virus mortel pour l'homme a été mis au point par des scientifiques dans le cadre d'un projet du gouvernement américain


Syringe

Danger : Appel urgent à un moratoire sur la vaccination contre les VPH

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© Photo: Jacques Nadeau Le DevoirLes campagnes de vaccination actuelles sont telles que ni les jeunes ni les parents ne peuvent donner de consentement éclairé.
Geneviève Rail, Luisa Molino et Abby Lippman sont chercheuses à l'Université Concordia et chercheuse et professeure émérite à l'Université McGill

Depuis 2008, le ministère québécois de la Santé finance des campagnes de vaccination contre les infections par les virus du papillome humain (VPH). Dès la 4e année du primaire, les jeunes Québécoises reçoivent gratuitement ce vaccin. Compte tenu des études en cours (dont la nôtre) et des événements actuels à l'échelle de la planète, nous croyons qu'il faut de toute urgence cesser d'administrer ce vaccin. Voici les raisons qui motivent notre demande d'un moratoire.

Une vaccination sans consentement éclairé: les campagnes de vaccination actuelles sont telles que ni les jeunes ni les parents ne peuvent donner de consentement éclairé puisqu'ils ne sont pas mis au courant des véritables bénéfices (s'ils existent) et des effets indésirables possibles du vaccin Gardasil©, énumérés par la compagnie Merck Frosst elle-même : anémie hémolytique auto-immune, purpura, embolie pulmonaire, pancréatite, asthénie, maladies auto-immunes, réactions d'hypersensibilité, réactions anaphylactiques, bronchospasmes, urticaire, arthralgie, myalgie, thrombose veineuse, encéphalomyélite aiguë, vertiges, syndrome de Guillain-Barré, maladies des motoneurones, paralysie, convulsions, syncopes, pseudo-épilepsie, myélite, mort.


Commentaire : Le papillomavirus n'a pas bonne presse et une politique de vaccination a été ainsi mise en place pour protéger les jeunes filles avant leur premier rapport sexuel. Ce virus existe pourtant sous plus de 100 formes différentes. Et d'après une recherche publiée par des scientifiques de l'université de Manchester, au moins l'une d'entre elles pourrait préserver les femmes du développement de la tumeur utérine. Le détail de l'expérience est dévoilé dans The Open Virology Journal.

Voir aussi et spécifiquement relatif au Gardasil :
Un médecin ose parler : Le dangereux vaccin Gardasil est complètement inutile pour prévenir le cancer du col de l'utérus
Gardasil : futur plus gros scandale médical de tous les temps ?
Cancer : le Gardasil, un vaccin à l'effet boomerang


Commentaire: On sait très bien que ceux qui profitent vraiment du vaccin sont les compagnies pharmaceutiques. Si vous désirez plus d'information sur la vaccination en général, nous vous recommandons ces articles :

- Vaccin : ce que tout parent doit savoir
- Virginie Belle en interview : alerte sur l'aluminium qui nous empoisonne
- Aluminium et mercure des vaccins liés à des maladies neurologiques selon des scientifiques et des associations
- La myofasciite à macrophages, une maladie qui serait liée à l'aluminium dans les vaccins
- « Silence, on vaccine »
- Les vaccins, mieux que la saignée ?
- Pandémies : l'Union européenne accroît son pouvoir pour sonner l'alerte et imposer la vaccination
- Les vaccins pourraient contenir une enzyme au pouvoir mutagène héréditaire
- Vaccins : des médecins parlent...
- 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d'être mis au grand jour


Bacon n Eggs

SOTT Focus: La controverse des graisses : ce que vous ignorez sur les bonnes graisses

Traduction : SOTT

Voici le texte intégral de la vidéo

La controverse des graisses : ce que vous ignorez sur les bonnes graisses. Nous savons tous que les graisses saturées sont mauvaises pour la santé. Elles nous tuent. Le gouvernement le dit, les experts le disent, et les professionnels de santé le disent. Mais est-ce réellement le cas ? Jetons un oeil aux arguments scientifiques sous-tendant cette affirmation.
Bacon et oeufs
© Inconnu
L'hypothèse selon laquelle les graisses saturées seraient mauvaises pour la santé a été développée en 1955 par un chercheur nommé Ancel Keys. Dans sa fameuse, ou plutôt son infâme étude « Seven Countries Study », il a montré que les pays qui consommaient le plus de graisses saturées avaient les taux les plus élevés de maladies cardiovasculaires. Le problème de cette étude a cependant été souligné par deux autres chercheurs, Yerushalmy et Hilleboe, deux ans plus tard : Keys avait seulement choisi sept pays sur un total de 22 pour lesquels ces données étaient disponibles.


Ambulance

Le sirop de maïs, ce poison vendu par les industriels

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© Inconnu
Le sirop de maïs utilisé abondamment par l'industrie agro-alimentaire serait une des causes les plus importantes du diabète (et de l'obésité) touchant en masse les États-Unis et les autres pays industrialisés.

Selon une nouvelle étude, le nombre de diabétiques n'aurait jamais été aussi élevé aux États-Unis. En effet, 40 % des Américains sont perçus comme « pré-diabétiques » tandis que 14 % de la population est déjà atteinte de diabète. Ces chiffres du diabète concernent plus de la moitié des Américains, constituant un véritable problème de santé publique. Est pointé du doigt l'isoglucose, qui n'est autre que le « sirop de maïs à haute teneur en fructose », un additif massivement utilisé par l'industrie agro-alimentaire. Les chercheurs indiquent que ce sirop augmente la résistance à l'insuline et peut provoquer des infarctus et autres accidents cardio-vasculaires.

Commentaire: Le sucre influe sur les niveaux de dopamine. Cette même dopamine dont la production est stimulée par l'alcool et certaines drogues dures, et qui entraine plaisir et dépendance... Une dépendance qui pousse à consommer toujours plus, pour la plus grande joie des industriels. Ces mêmes industriels qui font des pieds et des mains pour nous faire croire à l'innocuité de leurs produits. Ces produits dont la diffusion et la prolifération, facilitées par des traités du genre TAFTA, soutenues par une propagande diététique imparable et une industrie pharmaceutique corrompue, amènent à un affaiblissement généralisé de la population. Voyons voir de plus prés :

- Le sucre, l'ennemi « numéro 1 » de l'humanité
- Trop de sucre rend bête
- Le sucre « toxique » ?
- Le fructose mauvais pour nos enfants
- Le fructose fait manger davantage : la preuve par l'imagerie
- Sucre : le poison, et la bataille du Dr Robert Lustig
- L'abus de sucre est aussi mauvais pour la santé que l'alcool
- Santé : sucres, une douceur amère
- Le sucre dangereux pour la santé
- Sucre : comment l'industrie vous rend accros
- Un lien évident entre le sucre et le cancer


Megaphone

La reproduction humaine mise à mal par les produits chimiques

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© Didier Pallages AFPLa forte augmentation de l'exposition aux produits chimiques toxiques ces quarante dernières années menace la santé et la reproduction humaine
L'omniprésence des produits chimiques dans notre vie quotidienne a beaucoup d'impacts, donc certains très négatifs. La Fédération internationale de gynécologues-obstétriciens (Figo), qui regroupe des gynécologues-obstétriciens de 125 pays a lancé ce jeudi un un appel solennel pour dénoncer les menaces pour la santé et la reproduction humaine de la forte exposition à des produits chimiques toxiques.

« Nous sommes en train de noyer le monde dans des produits évalués et non sûrs, et nous en payons le prix fort en termes de santé reproductive » a déclaré Gian Carlo Di Renzo, l'auteur principal de l'appel.

L'appel, publié dans la revue International Journal of Gynecology and Obstetrics, met en cause des produits chimiques comme les pesticides, les polluants de l'air, les plastiques, les solvants, dans des pathologies comme les fausses couches et pertes fœtales, les troubles de la croissance fœtale, le faible poids à la naissance, les malformations congénitales, les atteintes des fonctions cognitives ou du neuro-développement, les cancers de l'appareil reproducteur, la baisse de la qualité du sperme et l'hyperactivité chez l'enfant.

Pills

Antidépresseurs et risque de suicide

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© Inconnu
L'étude nouvellement publiée du British Medical Journal a créé un nouveau scandale sanitaire au niveau international sur le risque suicidaire causé par les antidépresseurs ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), comme le Deroxat ou le Zoloft.

Il s'agit en fait d'une nouvelle analyse de données d'un essai clinique paru en 2001, resté très controversé car financé par le laboratoire GSK lui-même, et qui affirmait que la paroxétine (Paxil) était efficace et sans danger pour les enfants et adolescents.

Ce n'est qu'en 2004 que la Food and Drug Administration (équivalent de l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament en France) avait ordonné aux laboratoires de publier des mises en garde contre le risque accru de suicide pour ces antidépresseurs. En 2012, le laboratoire GSK avait reçu une amende record de 3 milliards de dollars pour la commercialisation frauduleuse de paroxétine et autres médicaments.

Il est écrit noir sur blanc dans le dictionnaire Vidal les effets secondaires qu'entraînent ces antidépresseurs. Parmi eux des hallucinations, pensées anormales, agressivité, troubles psychiques, idées suicidaires, etc. Malgré ces éléments alarmants, les antidépresseurs continuent d'être prescrits à des millions d'adultes et d'enfants dans le monde, les exposants à un risque mortel. En France, 64,5 millions de boîtes d'antidépresseurs ont été vendues en 2013. Nous constatons une part importante de prescriptions abusives, auprès de jeunes enfants, et parfois à vie. Des mesures doivent être entreprises de toute urgence pour limiter les prescriptions de ces drogues et les interdire aux mineurs.

Commentaire: À rapprocher d'un récent article : Antidépresseurs et pulsions meurtrières