Santé et Bien-êtreS


Syringe

Virus Zika, schizophrénie, trouble bipolaire et autisme


Commentaire : Nous apprenons que Zika peut-être le déclencheur de certaines maladies, dans certaines conditions. Ils se trouve que ces maladies font aussi partie des effets secondaires générés par les vaccins : épilepsie, schizophrénie, TDHA, autisme. Il serait intéressant de faire un comparatif entre les campagnes classiques de vaccination des populations, les zones ou le virus sévit, et l'apparition des maladies mentionnées ci-dessus...

zika
© Inconnu
Des experts préviennent que les microcéphalies peuvent n'être que la conséquence la plus visible de la propagation du virus Zika, rapporte Donald G. McNeil Jr., journaliste scientifique spécialisé dans les maladies transmissibles des pays pauvres, dans le New York Times.

Même les bébés qui semblent normaux à la naissance peuvent être à risque plus élevé de maladies mentales plus tard dans la vie si leurs mères ont été infectées pendant la grossesse, craignent de nombreux chercheurs.

Le virus Zika, disent-ils, ressemble étroitement à certains agents infectieux qui ont été liés au développement d'autisme, TDAH, schizophrénie, trouble bipolaire, épilepsie...

« Les conséquences (...) vont bien au-delà de microcéphalie », a déclaré le Dr W. Ian Lipkin, qui dirige The Center for Infection and Immunity de l'Université Columbia.

Une attaque virale en début de grossesse, explique-t-il, peut tuer un fœtus ou retarder le développement du cerveau, produisant une microcéphalie. Une infection plus tard dans le développement du fœtus, lorsque le cerveau est presque entièrement formé, peut faire des dommages qui sont moins évidents, mais importants.

En entrevues, des chercheurs en psychiatrie, spécialisés dans le développement du fœtus, étaient d'accord avec le pronostic pessimiste du Dr Lipkin.

Cow Skull

Vous mangerez bien un peu d'adn modifié ?


Commentaire : On sait que les transferts de gènes existent ; on sait également que les animaux d'élevages français sont nourris en grande partie avec des céréales génétiquement modifiées ; on sait que les animaux qui mangent des OGM ne sont pas des animaux en bonne santé ; on sait que les multinationales qui font la promotion des OGM mentent et magouillent à tout-va pour faire croire que leurs produits sont inoffensifs ; on sait que la culture de ces OGM a des conséquences catastrophiques pour l'environnement et pour les agriculteurs ; on sait enfin que les traités du style TAFTA ne sont absolument pas favorable à l'étiquetage des OGM et qu'ils contribueront à la prolifération de ces derniers, ici, en Europe.

Une multitude de bonnes raisons qui peut nous amener à prendre conscience qu'il se joue là une partie de notre avenir, ni plus, ni moins :

betail ogm
© Fotolia
Une plainte-recours a été déposée la semaine dernière devant la commission européenne par une association qui demande que tous les produits issus d'animaux nourris avec des organismes génétiquement modifiés soient clairement étiquetés. Une très grosse part de notre alimentation est concernée.

90 % du bétail élevé en France peut avoir été nourri avec des OGM. Si un animal a consommé du soja, du maïs ou du colza OGM importé pour sa nourriture, il est impossible de le savoir. Les œufs, le lait, le poisson d'élevage ou la viande sans label ou étiquetage spécifique peuvent être concernés.

C'est pourquoi la semaine dernière le collectif "Consommateurs, pas cobayes !" a déposé une plainte-recours devant la Commission européenne. Le collectif demande que tous les produits alimentaires issus d'animaux nourris aux OGM portent un étiquetage spécifique. "Consommateurs pas cobayes!" estime que les consommateurs sont mal informés. Pour l'instant, seuls les produits contenant volontairement des OGM, sont étiquetés.

Pour repérer les produits sans OGM on peut se fier au logo "nourris sans OGM" apposé volontairement par les producteurs. Le label bio donc, interdit les OGM, comme certains labels rouges dans leur cahier des charges. La solution la plus sure, mais radicale est de faire le choix du végétalisme... mais il faut en avoir envie.

Consommateurs pas cobayes est par ailleurs à l'origine d'une pétition qui a recueilli pour le moment 240.000 signatures son but : présenter une proposition législative à la Commission européenne.

Cow

Le lait, ce trait d'union entre maladies respiratoires récurrentes, allergies et mucus

Nous avons besoin d'une enzyme appelée lactase pour digérer le lactose présent dans le lait, mais entre l'âge de 18 mois et de 4 ans, nous perdons 90-95 % de cette enzyme. Donc, concrètement, nous sommes à peu près tous intolérants au lactose. En plus, selon le Dr. Ellis (spécialiste des produits laitiers et de leur action sur le sang), si l'on tient à avoir des allergies, il faut boire du lait. Pourquoi ? Et quel lien entre notre incapacité à digérer plusieurs composantes du lait (que nous verrons plus loin comme le lactose ou la caséine) et les allergies, le mucus, les sinusites ou infections ORL à répétition ?
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Alors que le lait de vache fait partie intégrante de notre paysage alimentaire et culturel actuel, le développement d'allergies, de sinusites, de toux, d'infections respiratoires récurrentes et fatigantes chez les plus jeunes mais aussi chez les adultes s'impose également comme une évidence. Mais, pourquoi souffrir de ces maladies cycliques alors que la solution se trouve peut-être, tout simplement, dans votre consommation cyclique de lait de vache ?

Oubliez un instant les antibiotiques, aspirines et expectorants auxquels vous recourez habituellement. Venez comprendre la logique du lait de vache dans votre corps.

Commentaire: Vous pouvez également consulter :


Hotdog

Arsenic, plomb, dioxines... Notre alimentation contaminée

De l'arsenic dans le café, du plomb dans votre pain, de l'aluminium dans vos pâtes... De nombreux aliments de consommation courante contiennent des substances ultra toxiques d'après un rapport de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses). Le point.
Looking for Food
© Christopher Boswell / Shutterstock
Du plomb dans le pain

Baguette, biscotte, pain de mie... Selon l'Anses, ces produits contiendraient des métaux comme le plomb et le cadmium, ainsi que des mycotoxines (substances émises par les champignons).

Ces substances sont-elles dangereuses ? Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. Le cadmium est un métal lourd classé comme cancérigène pour l'homme, mais aussi toxique pour les reins et la reproduction. Les mycotoxines sont des champignons pouvant être toxiques à certaines doses. Si celles retrouvées dans les aliments cités ci-dessus sont faibles, les niveaux d'exposition sont suffisamment importants pour qu'elles soient classées comme « substances pour lesquelles le risque toxicologique ne peut être écarté ».

D'où viennent ces contaminants ? « Le plomb et le cadmium sont captés par le blé via le sol et se retrouvent dans le pain. Ces métaux sont naturellement présents dans les sols, mais peuvent aussi résulter d'une pollution industrielle », explique le Dr Jean-Charles Leblanc, chef du département de l'évaluation des risques liés aux aliments à l'Anses et coordinateur de l'étude. Quant aux mycotoxines, elles sont émises par des champignons qui s'attaquent aux céréales.

Arrow Down

La moitié de l'humanité bientôt dans le flou ?


Commentaire : De façon générale, c'est peut-être une conjonction de plusieurs facteurs qui entraine cette dégradation progressive de la vision. Une alimentation médiocre insuffisamment riche en micro-nutriments pour commencer, un manque d'exercice des muscle oculomoteurs pour continuer, et pour finir, comme le souligne l'article, un manque de luminosité naturelle qui semble être un facteur très important à prendre en compte. Nous passons hélas toujours plus de temps enfermés dans nos maisons et dans nos bureaux, au lieu de profiter de la lumière du soleil, devenu, à force de propagande, notre ennemi certifié...

Voici un extrait tiré du livre Les bienfaits de la lumière sur votre santé de Fabio Marchesi :
À quelle lumière nos ancêtres étaient-ils exposés ? À une seule, celle du soleil. Nous vivons aujourd'hui dans des ambiances ou non seulement les valeurs de l'intensité lumineuse sont extrêmement réduites mais en plus les longueurs d'onde mises en jeu sont très différentes de celle du soleil. Les lampes de notre éclairage artificiel ne produisent pas d'ultraviolet ; à travers les vitres de nos fenêtres il en passe des quantités presque dérisoires ; lorsque nous sommes à l'extérieur nous portons des lunettes qui les arrêtent et nous enduisant de crème qui comporte des filtres chimiques toxiques et empêche l'entrepôt de profiter de ses effets bénéfiques. [...]

Le paradoxe est qu'une autre étude scientifique menée par Chow et ses collaborateurs ont démontré à l'inverse que des chimpanzés tenus dans des ambiances à basse luminosité voyaient leurs capacités visuelles dégénérées mais on a évidemment accordé aucune valeur à cette étude. Le résultat est qu'aujourd'hui, après que tout le monde ait été convaincu, en bien ou en mal, médecin compris, que les ultraviolets étaient nocifs, nous vivons tous avec de graves carences en lumière à large spectre et en ultraviolet.
Ne pas hésiter à consulter les articles suivants : On pourra, comme un jeu de l'esprit, s'amuser à trouver une explication métaphorique à cette myopie : l'humanité préfèrerait-elle, inconsciemment, rester dans le flou ? Un flou lointain, une netteté proche, un univers extérieur peu visible, une attention donc concentrée sur l'intérieur, sur soi, sur sa personne. Une interaction limitée et bancale avec la création , un peur générée par une incapacité à voir ce qui se profile dans le lointain. Et si les yeux sont le reflet de l'âme, que cela peut-il signifier ? Bref, nous avons de quoi nous amuser...


myopie
© iStockPhotos
Selon une étude publiée dans la revue de la Société américaine d'ophtalmologie, le nombre de myopes devrait être multiplié par sept entre 2000 et 2050 et à cette date, c'est la moitié de la planète qui souffrira de myopie. En outre, la myopie devrait devenir la première cause de cécité permanente dans le monde entier.

L'augmentation rapide de la prévalence de la myopie à l'échelle mondiale est attribuée à "des facteurs environnementaux, principalement le peu de temps que l'on passe à l'extérieur" expliquent les auteurs de l'étude, chercheurs à l'Institut de la vision de l'Université de New South Wales en Australie.

Pour ces chercheurs, il est urgent de mettre en place des stratégies de prévention à l'échelle mondiale en développant des traitements qui contrôlent la progression de la myopie et en s'assurant que les enfants subissent un examen régulier des yeux chez un ophtalmologiste, de préférence chaque année.

Ce n'est pas la première étude qui pointe du doigt le manque d'exposition à la lumière du jour comme facteur de risque de la myopie : on sait ainsi que passer moins de trois heures par jour dehors lorsque l'on est jeune augmente le risque de devenir myope.

Beaker

150 000 bonnes raisons de faire attention


Commentaire : Des résidus de pesticides issus d'une agriculture conventionnelle débilitante, des fragments d'adn migrants que l'on retrouve dans des aliments génétiquement modifiés presque impossibles à éviter, des molécules médicamenteuses nano-particulisées, bientôt micropucées, ingurgitées en quantité toujours plus importante, des milliers d'additifs alimentaires plus ou moins toxiques et plus ou moins réglementés, indispensables à la fabrication d'une nourriture industrielle, des métaux lourds présents dans les vaccins qui nous « soignent », dans les cosmétiques dont on se tartine, dans les poissons dont on se régale et dans l'eau qui nous désaltère ; des PCB, des phtalates, des bisphénols, des dioxines, et bien d'autres choses encore : à l'image de notre planète, notre corps abrite lui aussi ses multiples conflits.

Si la propagande et la désinformation ambiante pilonnent notre esprit pour le pervertir, cette pollution omniprésente qui détruit l'organisme ne poursuit-elle pas aussi les mêmes buts ? Une capitulation définitive de l'être humain, vaincu dans son corps et dans son âme ?

Perturbateurs endocriniens
© Joël Saget / AFPLes industriels du plastique souhaitent pouvoir vendre à nouveau des biberons et des tétines contenant du bisphénol A en France
Plus de 150 000 substances chimiques de synthèse sont répertoriées dans nos médicaments, nos aliments, les pesticides et de nombreux autres produits. Elles sont présentes dans notre environnement et dans nos organismes. Elles interagissent avec notre métabolisme et sont en partie responsables des épidémies de maladies chroniques telles que le cancer ou l'obésité. Une nouvelle découverte scientifique vient expliquer leur toxicité, malgré leur présence en faible quantité. Entretien avec William Bourguet, chercheur Inserm au Centre de biochimie structurale de Montpellier.

Pour la première fois, des chercheurs français du Centre de biochimie structurale et de l'Institut de recherche en cancérologie de Montpellier ont démontré "l'effet cocktail" des perturbateurs endocriniens : réunies, deux substances chimiques peuvent voir leurs effets multipliés par 10, 50 ou 100 fois par rapport à leurs seules actions individuelles. La découverte remet en cause les seuils de toxicité en vigueur. Elle pose également la question de la nocivité de certains produits, notamment quand ils entrent en interaction avec d'autres, comme des médicaments par exemple. C'est ce que nous explique William Bourguet, chercheur Inserm au Centre de biochimie structurale de Montpellier.

Attention

Nouveaux cadeaux pour les enfants : autisme , malformation cardiaque, absence de cerveau


Commentaire : On imagine le discours du toubib, après un sursaut d'honnêteté :

"En effet, ma bonne dame, ça n'a pas l'air d'aller fort. Voici ce que je vous propose : un bon antidépresseur qui ne vous soignera pas, non, mais qui soulagera, aussi longtemps que vous le prendrez, les symptômes de votre mal-être qui sont la manifestation évidente d'une affection et d'un trouble beaucoup plus profond, au sujet duquel nous ne savons pas grand-chose, au sujet duquel la médecine allopathique est impuissante, au sujet duquel nous ne voulons rien savoir, nous autres médecins, puisque les grandes firmes pharmaceutiques, qui se font des milliards de bénéfice chaque année à votre dépend, client, me permettent d'arrondir un peu mes fins de mois. Si, en prenant malgré tout la pilule que je vous propose, vous n'avez pas trop envie de vous suicider, et que vous maitrisez, en plus, votre possible envie de tuer vos voisins ou votre mari, occupée que seriez à prendre soin de votre cœur devenu défaillant, si donc il vous restait assez d'énergie et d'envie pour réfléchir, il faudrait alors envisager la possibilité de changer définitivement votre façon de vivre avec la naissance de votre futur enfant possiblement autiste, cardiaque ou dépourvu de cerveau.
Mais ne vous inquiétez pas, je vous prescris du bon lexomil pour atténuer votre légitime inquiétude de devoir faire face à tout ça."

femme enceinte
© Inconnu
La prise d'antidépresseurs type Prozac, Zoloft, Deroxat, Seropram pendant la grossesse augmente de 87 % le risque d'autisme chez l'enfant. Un lien était soupçonné depuis longtemps. Une grande étude parue lundi 14 décembre 2015 dans le JAMA Pediatrics (Journal of the American Medical Association) confirme les craintes les plus vives [1].

Malheureusement, la consommation d'antidépresseurs est en augmentation rapide parmi les femmes enceintes. 13 % des femmes enceintes en 2003 ont pris des antidépresseurs, contre seulement 6 % en 1999, soit une multiplication par deux en 4 ans [2] !

Ce phénomène est d'autant plus incompréhensible et dangereux que :
  • le Prozac et les autres antidépresseurs de sa catégorie (appelés ISRS pour « inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ») peuvent provoquer d'autres graves problèmes chez les bébés : le risque de malformation cardiaque augmente de 240 %, celui d'anencéphalie (absence de cerveau) de 350 % [3] !!!
  • Ces médicaments ne sont pas plus efficaces que les thérapies cognitives et comportementales (TCC). Les TCC sont une approche psychologique naturelle basée sur le dialogue et la réflexion. Elles ne nécessitent aucun médicament et sont dépourvues de tout effet secondaire. Une toute nouvelle étude parue dans le British Medical Journal le 8 décembre 2015 a encore confirmé que les TCC ont au moins le même effet que le Prozac et autres ISRS contre la dépression, y compris dans les cas les plus graves [4].

Health

Dépression : une inflammation cérébrale qui pourrait venir de l'intestin

Les bactéries intestinales sont susceptibles d'envoyer des signaux au cerveau par différentes voies et ainsi de l'influencer. Si bien que le microbiote participerait aux maladies psychiatriques.
conexión cerebro intestino
© Desconocido
Le microbiote intestinal peut agir sur le cerveau par voie nerveuse (1 ; voir schéma ci-dessous), en stimulant les terminaisons du système nerveux entérique qui communique avec le cerveau par l'intermédiaire du nerf vague. Les bactéries intestinales produisent aussi des métabolites (2) qui agissent sur le cerveau par voie sanguine. Certaines bactéries activent par ailleurs les cellules immunitaires intestinales (3) qui sécrètent à leur tour des cytokines. Par voie sanguine, celles-ci peuvent activer la microglie (système immunitaire du cerveau), créant une inflammation. D'autres bactéries activent les cellules endocrines qui produisent des neuropeptides (4) qui, véhiculés jusqu'au cerveau par le sang, peuvent modifier le fonctionnement de neurones (4).

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Une petite malformation du cortex cérébral serait responsable de l'autisme

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L'autisme dont la fréquence est d'environ une personne sur 100 atteint 5 fois plus les garçons que les filles et cette pathologie d'origine encore largement inconnue aurait tendance à augmenter mais cette observation peut être contestée en raison des progrès réalisés dans sa détection. Il n'existe aucun traitement pour améliorer ce trouble psychiatrique plus ou moins handicapant. Très brièvement l'autisme est un trouble apparaissant dès l'âge de six mois et bien établi à l'âge de deux ans dont le principal symptôme est un déficit communicationnel de l'enfant entrainant de ce fait un repli sur lui-même. Sur le plan génétique les tentatives d'explication de l'autisme se sont révélées décevantes. Quant aux facteurs environnementaux, y compris l'administration de vaccins, ayant pu interférer avec le développement cérébral avant ou après la naissance, il n'y a pas de conclusions claires qui puissent étayer une origine de l'autisme liée à ces derniers. Enfin, de nombreuses études ont fait état de discrètes modifications des replis du cortex chez les enfants autistes sans qu'une quelconque relation de cause à effet ait pu être avancée.

Une récente étude réalisée à l'Université Aix-Marseille en liaison avec l'Hôpital de la Timone à Marseille sous la direction du Docteur Christine Deruelle vient de lever un coin du voile mystérieux de l'autisme qui tendrait à prouver que l'origine de cette maladie psychiatrique est liée à un défaut du repli des circonvolutions du cortex cérébral au niveau des aires du langage en particulier l'aire de Broca.

Fire

Ces glucides qui menacent notre cerveau : pourquoi et comment limiter gluten, céréales, sucres et glucides raffinés

gluten, glucides, cerveau
Si l'état de notre cerveau dépend plus de l'alimentation que des gênes, comment le protéger des menaces ? Dans son livre Ces glucides qui menacent notre cerveau, les conseils du docteur Perlmutter, sommité reconnue, mettent à la portée de tous recettes et stratégies, sans gluten ni glucides nocifs.

Oui, le gluten et les sucres sont un danger pour notre cerveau! Le livre-phénomène qui a bouleversé les habitudes alimentaires de centaines de milliers de personnes !

On le sait, notre santé commence dans notre assiette. Ce qu'on ne savait pas encore, c'est que c'est le cas aussi pour notre cerveau.

En s'appuyant sur des données longtemps tues par la communauté scientifique, le neurologue David Perlmutter fait une révélation qui donne froid dans le dos. Certains glucides, et notamment le gluten et les sucres, sont liés à de nombreuses pathologies : Alzheimer, trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH), épilepsie, anxiété, maux de tête chroniques, dépression, insomnie, pour ne citer qu'eux.

Que se passe-t-il quand notre cerveau est exposé à ces ingrédients au quotidien ?