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Voir aussi sur le site :Le Mythe végétarien - Nourriture, justice et pérennité
Il nous a été dit qu'un régime végétarien peut nourrir les affamés, honorer les animaux et sauver la planète. Lierre Keith a cru à ce régime basé essentiellement sur la consommation de végétaux et a été végétalienne pendant vingt ans. Mais, dans Le Mythe végétarien, elle soutient que nous avons été induits en erreur - non pas pas nos aspirations d'un monde juste et durable - mais par notre ignorance.
La vérité, c'est que l'agriculture agresse perpétuellement la planète et en ajouter davantage ne nous sauvera pas. Inféodés à la culture des céréales annuelles, les êtres humains ont dévasté les prairies et les forêts, mené d'innombrables espèces à l'extinction, modifié le climat et détruit la couche arable - la base même de la vie. Keith soutient que si nous voulons sauver la planète, notre alimentation doit constituer un acte de réparation profond et permanent : elle doit être issue de l'intérieur des communautés vivantes et non leur être imposée.
En partie biographie, ABC nutritionnel et manifeste politique, Le Mythe végétarien mettra au défi tout ce que vous pensiez savoir sur les politiques alimentaires.
"Le grand enseignement de ces dernières années est que le focus s'est élargi : on ne parlait que de l'impact sur la reproduction, on parle aujourd'hui des systèmes immunitaires, de cofacteurs vis-à-vis de certains cancers (sein, prostate), de maladies métaboliques", observe Bernard Jegou, chercheur à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).Ces produits "sont un enjeu de santé publique", estiment de nombreux chercheurs. "On ne peut pas faire l'impasse sur le fait que depuis la dernière guerre mondiale, il y a des dizaines de milliers de produits chimiques qui ont été utilisés", non sans répercussions sur la santé, souligne M. Jegou.
« Ces résultats sont très encourageants dans la mesure où la vitamine D est un traitement peu onéreux, sûr et efficace chez les patients souffrant de SEP, explique Peter Calabresi. Nous allons poursuivre nos recherches sur une plus large cohorte afin de mieux comprendre les mécanismes en jeu. »Cette étude est parue dans la revue Neurology.
Commentaire: Pourquoi tout à coup Zika fait-il la une des journaux ? Chaque année un virus fait les gros titres de l'actualité. Comme s'il fallait tenir en haleine les populations, produire la peur et la psychose. Et il s'agit toujours d'une menace pour l'humanité entière. Sans minimiser la gravité de la maladie transmise par le moustique, il est aussi normal de s'interroger concernant cette attention portée au Zika... Son symbolisme est lourd de sens : le virus Zika ne s'attaque-t-il pas aux embryons qui représentent le futur de l'humanité ?
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