Histoire Secrète
Attention pourtant au "poids des mots" et au "choc des photos". Le blog Crates and Ribbons révèle une histoire plus sombre que ne le laissait percevoir cette photographie.
Longtemps non identifiés, les deux protagonistes immortalisés par le photographe Alfred Eisenstaedt, du magazine Life, ont, cette année, retrouvé leur identité respective. Il s'agirait, selon les auteurs de The Kissing Sailor, de Greta Zimmer Friedman, une assistante dentaire, et de George Mendonsa, un marin. Mais le couple à l'image ne l'est pas du tout dans la réalité. Les deux modèles seraient même de parfaits étrangers. Plus grave, le baiser "si romantique" cacherait une agression sexuelle.
Le blog Crates and Ribbon publie le témoignage de Greta Zimmer : "Je n'ai pas choisi d'être embrassée... Le mec est juste arrivé et m'a attrapée", révèle-t-elle. "Je ne l'ai pas vu approcher, et avant que je ne comprenne ce qui se passait, je me suis retrouvée enserrée dans un étau", raconte celle qui, au lieu d'un baiser romantique, aurait subi le baiser forcé d'un inconnu ivre. George Mendosa, présent à Times Square avec sa petite amie, avait semble-t-il bu pour célébrer la victoire.
Selon Slate, qui rapporte l'histoire, ce n'est pas la première fois qu'une photographie trompe notre vigilance : le célèbre cliché des ouvriers déjeunant sur une poutre métallique, les pieds dans le vide, était en réalité une publicité pour le Rockefeller Center.
Commentaires des Lecteurs
Et alimenter cette ingénieurie sociale qui consiste à culpabiliser les hommes, victimiser les femmes, aviver la prétendue "guerre des sexes" et supporter de près ou de loin tout la "théorie du genre", ce n'est pas pointer du doigt le degré de ponérisation de la société actuelle, c'est y participer et c'est politiquement correct de le faire.
"It wasn't my choice to be kissed. The guy just came over and grabbed!"
"I did not see him approaching, and before I knew it, I was in this vice grip."
"You don't forget this guy grabbing you."
"That man was very strong. I wasn't kissing him. He was kissing me."
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C'est suffisamment explicite, il me semble.
Je ne vois pas en quoi dire qu'empoigner un(e) inconnu(e) et l'embrasser de force relève de l'agression "culpabilise les hommes" et avive la "guerre des sexes". Imaginons que ce type ait empoigné un homme, ça aurait été pareil.
avec des raisonnement pareils.. on en arrive à devoir entendre, d'autre choses ignobles du mm style: [Lien]dont je ne vous traduirai que le titre.. tellement ça m'hérisse tt les poils du corps .
" Démission d'un fonctionnaire après avoir dit que les lois sont comme les femmes, elle sont là, (ou faites) pour être violées!"
Greta Friedman : It's kind of fun, because it's very accidental. Fame for just being there...being dressed right. Actually, the fame belongs to the photographer. He provided an art... I can't call it a skill. He was an artist. I just happened to be there... .and so did George.
Patricia Redmond : Are you and George are still in touch?
Greta Friedman : Once in awhile. We send Christmas cards and he has a very lovely wife and I have talked to her. We're not friends to see each other, but through this happening we have something in common."
C'est sympa de la part de la victime d'une agression sexuelle d'échanger des cartes de Noël avec son agresseur. . .
Cet extrait et le reste de l'interview montre que Greta a vécu cette expérience comme quelque chose de positif et non traumatique comme l'aurait été une agression sexuelle.
Mais les mots sont des mots et laissons-les de côté pour passer aux photos. J'en ai vu au moins quatre et dans les quatre, la jeune femme reste soumise au baiser fougueux, sa jambe droite à moitié pliée sans offrir aucun appui à son corps. Il est ÉVIDENT que si elle avait rejeté ce baiser elle aurait instinctivement cherché à retrouver l'équilibre, au moins sa jambe droite aurait-elle bouger quelque peu ! Sa main gauche aurait eu BIEN SÛR d'autres occupations que de retenir sa jupe qui remontait !
Hommes, femmes, enfants, grand-mère incluse déambulent, s'arrêtent, regardent cette agression sexuelle en riant. . . Je savais que les New-yorkais étaient des gens durs, mais à ce point là ?
Et pour finir, oui : il ya bien une idéologie qui cherche à brouiller les identités sexuelles masculine et féminine, et ceci - entre autres - à travers la culpabilisation de l'homme et du masculin, comme tout le raffut autour d'une photo ( bien qu'elle soit iconique. . . surtout parce qu'elle est iconique ! ) prise il y 65 ans le démontre.
"Mendonsa recalled how he was on a date with his future wife, Petry, at Radio City Music Hall on August 14 when news of the Japanese surrender was announced.
'They stopped the show and they said, "The war is over. The Japanese have surrendered,"' he recalled.
Mendonsa and his date rushed to a nearby bar where the sailor admits he ‘popped quite a few drinks.’
As they set on their way, Mendonsa spotted a woman in a nurse’s uniform - he left Petry and rushed to grab her.
'The excitement of the war being over, plus I had a few drinks,' he told CBS. 'So when I saw the nurse, I grabbed her, and I kissed her.'
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Tatou, c'est quoi "le masculin" et l'identité sexuelle masculine et féminine, pour toi ?
Ce que tu pourrais essayer de faire, c'est imaginer que tu te balades dans la rue (en tant qu'homme, tant qu'on y est), quand tout à coup un gaillard à moitié bourré te saute dessus, t'empoigne, t'enserre "dans un étau" et plaque sa bouche contre la tienne. Que ressentirais-tu ?
Le féminin s'exprimerait plutôt à travers la tendresse, la communion, le nourrissement (nurturing), l'harmonie, etc...
Ce qui dérange l'idéologie contemporaine dans cette photo, c'est que la femme s'abandonne au baiser dominant de l'homme.
En ce qui concerne la deuxième question, ce que je ressentirais ce serait le besoin instinctif de me dégager de "cet étau" le plus rapidement possible. Ça ferait une photo flou, loin d'être aussi bonne que celle de Greta et George.
Il faut être au fait de la manière dont une société en vient peu à peu, sous l'influence des psychopathes au sommet qui infusent leur vision du monde pathologique à l'ensemble de la population, à considérer quelque chose d'anormal comme normal. Tout ce processus est décrit et expliqué dans Ponérologie politique et, pour la perversion des valeurs masculines et de la sexualité, dans The Caricature of Love (Cleckley).
On pourrait effectivement dire ça dans le cas où on préfère voir une agression sexuelle plutôt qu'un baiser consenti dans la photo de Greta et George, et ceci malgré la communication non-verbale qu'elle nous offre par son corps.
c'est ton interprétation - caricaturale d'ailleurs. Je crois que tu as un peu trop lu - et mal assimilé - Soral.
Sérieusement, comment peut-on "s'abandonner" à un parfait inconnu qui débarque de nulle part et vous agrippe ? A moins que tu considères que "la femme" doit être prête à se "donner" et s'abandonner au 1er venu dans n'importe quelle circonstance ?
" ce que je ressentirais ce serait le besoin instinctif de me dégager de "cet étau" le plus rapidement possible"
Son corps indique justement qu'elle résiste, le mec la plie en deux (comme elle le dit, elle est dans un 'étau", pas facile de s'en dégager) La première réaction face à un tel assaut "par surprise", c'est de se figer et de se crisper (on ne sait pas ce qui nous arrive). A te lire, on a l'impression que tu n'as jamais vécu d'agression sexuelle. Essaie d'abord et viens nous en reparler ensuite.
" plutôt qu'un baiser consenti dans la photo de Greta et George, "
Comment un acte commis par surprise ("Je ne l'ai pas vu approcher, et avant que je ne comprenne ce qui se passait…") par un parfait inconnu (ivre) qu'on n'a pas vu venir peut-il être consenti ?
Cependant je sens que tes commentaires commencent à envahir le domaine personnel et je te prierais de bien vouloir les maintenir dans la sphère du débat intelligent: prend-en à mes idées mais pas à ma personne.
L'appréciation de la dynamique du corps humain était il me semblait un savoir universel, en tout cas si certaines choses échappent au quidam, elles sont sont évidentes lorsqu'on a pratiqué des sports de combat.
Exemple: un corps qui est mis en déséquilibre
Mon impression sur cette photo est que les deux sont conscients qu'il y un photographe: leur pose est trop théatrale, elle reflette le baiser Hollywoodien de l'époque
Une agression sexuelle est quelque chose de très grave.
Une accusation d'agression sexuelle est aussi quelque chose de très grave.
Un corps qui est mis en déséquilibre contre sa volonté écartera instinctivement les genous, tentera d'avoir la plante des deux pieds sur le sol et cherchera de ses mains des points d'appuis.
Elle ne fait rien de cela.
Est-elle paralysée de frayeur?
Non plus: on voit sa main bouger sur trois des cinq photos, réajustant sa jupe qui remonte.
Encore une fois, je doute que les cinq photos que l'on a de l'évenement soient aussi spontanées qu'on nous le raconte, justement à cause du manque de réaction instinctif de la fille: elle est extrèmement passive pour quelqu'un qui vient d'être saisit par surprise et par derrière.
Mais même ça c'est relativement secondaire au débat.
Tu me demande si je trouve que la femme doit être prête à se donner au premier venu mais ce que je pense n'a rien à voir avec ce qui se passe sur cette photo.
Cependant oui tu trouveras aussi des femmes qui s'offrent relativement facilement, c'est la vie.
Je ne dit pas que ce soit le cas de cette fille non plus.
Ce que je dis c'est qu'on ne devrait pas hurler pratiquement au viol alors qu'on voit très clairement que la fille accepte d'être embrassée ne montrant aucune résistance, chose que j'ai déjà expliqué plus haut
Tatou, au lieu de recourir à des élucubrations pour justifier cette agression, essaie de répondre sincèrement à la question :
Comment un acte commis par surprise ("Je ne l'ai pas vu approcher, et avant que je ne comprenne ce qui se passait…"), de force ("je me suis retrouvée enserrée dans un étau"), par un parfait inconnu ivre (the sailor admits he ‘popped quite a few drinks.’) peut-il être consenti ? Où est le respect du libre arbitre d'autrui ?
Je ne vais pas continuer à suivre ce manège réthorique qui consiste à brouiller les pistes de la déduction pure et dure.
Cette tactique n'est pas très honnête et reflète négativement sur les positions de celui qui l'utilise.
Les principes de la déduction nous dictent de raisonner logiquement à partir des éléments les plus tangibles que nous avons à notre portée.
Les éléments les plus tangibles que nous avons sur cette affaire sont les photos.
Une fois que nous aurons éclairci tout ce qui peut être éclairci sur ces photos, nous passerons si c'est nécessaire à d'autre choses comme les témoignages ou même nos points de vue culturels respectifs, sans tomber dans l'émotionel non plus.
Mais pour l'instant je te prierai de t'en tenir à ce que nous avons de plus concret.
Donc, j'ai fait une analyse de la dynamique corporelle de la fille.
Tu la qualifies “d'élucubrations".
Développe s'il te plaît.
Sur la photo comme le note Osmose78, l'homme enserre littéralement la jeune femme dans une étreinte où il peut être très difficile de se dégager. Elle est dans l'impossibilité de bouger la tête (d'ailleurs il me semble bien qu'elle recule la tête au maximum de ce qu'elle peut). Et le dos cassé en deux elle est complètement à sa merci (elle n'est pas dans une bonne position pour se rattraper s'il la lâche).
Le fait qu'elle remette sa robe en place signifie aussi qu'elle songe à bien autre chose que "profiter" de ce baiser.
Vu l'époque et mes connaissances (limitée forcément) je dirais qu'elle cherche à bien se comporter en toute circonstances et donc pas d'éclats, bien veuillez à ce que tout soit en ordre. (Il faut penser au contexte, certes les gens étaient heureux de la fin de la guerre mais il y a aussi un comportement bienséant à avoir en société, et la tenue qui va avec).
La jambe plié et déséquilibrée... plusieurs facteurs sont à prendre en compte je pense : la rapidité de réaction du photographe, celle de l'homme ivre et de la jeune femme. Et se sont des inconnues. Parce que selon les vitesses de réaction elle n'a peut être tout simplement pas songé à se rééquilibrée sous la surprise de ce qui arrive (et je me connais niveau lenteur de réaction je sais que le temps que je comprenne ce qui se passe il y aurait eu le temps de prendre ces photos, ensuite on ne connait pas son temps de réaction à la jeune femme).
Bon voilà pour le moment en espérant avoir été suffisamment claire.
Ce n'est qu'une interprétation subjective certes, mais je ne ressent aucun consentement de sa part à la vue de cette photo.
Deux semaines ont passées et je vois sans surprise que mon argument n'a pas été démonté, que dis-je ? il n'a même pas été repris, et ceci malgré les interventions soudaines et inespérées de trois nouveaux venus au débat – nouveaux venus alors que curieusement l'article avait disparu de la page de SOTT et même de la rubrique à laquelle il appartenait depuis un bon moment !
Ceux-ci se sont bien sûr rangé illico du côté de Lugh, et - bien sûr aussi - ont évité ma démonstration pour aller vers des points de discussion où ils se sentaient plus à l'aise.
Je crois que je vais baptiser cette technique qui est employée par mes interlocuteurs “le débat à cible mouvante”. Pour votre enseigne commune, ce genre de stratégie même si elle n'est pas pratiquée de manière consciente montre que celui qui en fait usage n'a pas pour vocation d'étayer la Vérité mais d'avoir raison par tous les moyens. Si en plus on saupoudre le tout de commentaires émotionels, n'est-ce-pas Lugh, c'est pour moi plus que clair !
Bon, je vais repasser ça rapidement parce que j'ai déjà perdu beaucoup de temps avec cette histoire et j'ajoute qu'une fois ce commentaire posté, je ne compte pas y retourner.
Alors pourquoi me suis-je embringué dans ce débat ?
Parce que de faire du copier-coller avec certaines parties d'une interview pour accuser un homme d'agression sexuelle soixante-cinq ans après l'évènement qui est mis en cause et sans que les parties intéressées puissent s'exprimer, se justifier ou se défendre, pour moi ça relève de la lâcheté.
Ceux qui ont déjà été accusés de crimes qu'ils n'ont pas commis sauront exactement de quoi je parle.
Je n'approuve pas non plus le comportement du marin même si la date suggère que ce fut un jour de transgressions et que la nuit fut sûrement féconde pour beaucoup.
Voilà c'est dit : oui, le marin est une brute.
Mais tout ceci n'empêche qu'un baiser volé, même dans cette étroite étreinte, si il est consenti comme l'indique la séquence des photos ne peut en aucun cas être considéré comme une agression sexuelle et surtout si la supposée victime ne se désigne pas elle-même comme étant une victime !
Ne vous en déplaise et pour aussi choquant que cela vous puisse paraître, si une femme vous dit “hier soir dans un bar, un inconnu m'a mis la main aux fesses” et que lorsque vous lui demandez qu'elle fut sa réaction elle vous répond “je me suis retournée et je lui ai souri”, ça ne pourra pas constituer une agression sexuelle car cet atouchement même s'il n'a pas été sollicité a été accepté.
Avant que vous ne vous mettiez à bondir sur vos claviers pour digitalement vous écriez “Mais l'infirmière n'a pas accepté le baiser ! Elle ne pouvait pas parler ou même réagir !”, je vous répondrais que sur cette séquence de photos qui est relativement longue elle ne le repousse qu'à la fin, ce qui constitue la fin de la série de ces photographies : on peut peut-être s'imaginer qu'au moment ou elle le repousse le baiser s'achêve ? Et je vous rappelle qu'avant qu'elle ne relève de nouveau son bras, apparemment pour indiquer qu'elle met un terme au baiser en repoussant il semble le marin, son unique préoccupation était de cacher le haut de ses bas !
Je répète que la posture de son corps ne montre pas de tension mais qu'elle indique plutôt qu'elle “cède”, qu'elle “fond” au baiser du mâle alpha, ici le marin : c'est un code culturel de l'époque.
Personne à part moi n'a donc jamais vu un baiser hollywoodien des années quarante ?
Je continue pour ceux qui pense que oui, même si un baiser ou un atouchement non sollicité est accepté entre deux adultes, cela devrait quand même être considéré comme un crime. C'est-à-dire un crime sans victime ou plutôt où on force une personne à être une victime. . .
La ponérologie, ça vous intéresse ? Et bien étudiez tout ce qui se fait pour détériorer la relation entre les hommes et les femmes, légiférer les relations humaines et détruire la famille. Peut-être vous rendrez-vous compte que toute cette hypocrisie et tout ce dogmatisme autour de cette photo ne fait que servir nos chers mondialistes !
Et au cas ou vous douteriez de ceci, je vais terminer par cet exemple : je suis allé sur le blog qui a originé l'affaire. L'article à été écrit par une féministe londonienne qui elle-même admettait que son article avait créé un buzz auquel elle ne s'attendait pas.
Mais il y avait un hic : elle avait placé les photos dans le désordre, insinuant ainsi des choses qui ne se sont pas passées. Comme je lui ai fait remarqué l'erreur, elle a bloqué ce commentaire ainsi que tous les nouveaux que j'ai pu faire, en plus de censuré et découpé ceux que j'avais déjà écrit ( ainsi qu'à tous ceux qui n'était pas d'accord avec elle ! ). Elle se justifie de son action en prétendant que je l'ai insulté, ce qui est de la pure calomnie ! J'ai aussi appris qu'à propos de la présentation erronée des photos, elle le savait depuis déjà au moins trois jours mais qu'elle se refusait de changer leur ordre !
Maintenant sa thèse mensongère sur les photos est reprise partout et fait figure de document !
Alors voilà, vous savez d'où vient cette vilaine petite manoeuvre. Et vous voyez la “ponérologie” en oeuvre : une maline qui sait cracher sur qui il faut et quand il faut et qui est prête à soutenir un mensonge diffamant pourvu qu'elle ait son “buzz” et qui sait ? peut-être devenir une petite célébrité de la toile pour finalement toucher le gros lot : un poste au gouvernement ou dans un journal où son travail sera de nous dire à tous ce qui est bien et ce qui est mal.
Bonne continuation à tous et au revoir.
Non.
Par contre cet article révèle à quel le politiquement correct devient totalitaire.