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La baisse prévue et inévitable de nos salaires n'est qu'un moindre mal par rapport à ce qui s'annonce, et ce n'est plus à l'horizon que cette situation apocalyptique se profile, le mur est proche. Bien évidement ce ne sont pas les médias qui vont nous l'expliquer ouvertement, mais l'économie va inévitablement s'effondrer à un moment ou à un autre, le système va vaciller de la manière la plus impressionnante qui soit, et nous sommes tous concernés car nous serons tous les victimes de cet effondrement qu'ils tentent de nous cacher. Ce sont 16 signes annonciateurs de ce qui arrive qui sont listés dans la suite de l'article, XX signes qui ne trompent pas.

  1. La zone euro est maintenant au milieu de sa plus longue durée de récession jamais rencontrée. L'activité économique dans la zone euro a diminué sans discontinuer pendant six trimestres consécutifs .
  2. La confiance des consommateurs en France vient de frapper un nouveau plus bas historique .
  3. Le nombre de chômeurs qui cherchent un emploi en France a atteint un niveau historique, jamais atteint jusqu'à présent. Quand aux agences pour l'emploi, leur utilité reste à démontrer. Et François Hollande, malgré ses promesses de faire baisser le chômage, ne fera rien, sinon, pourquoi le gouvernement encouragerait-il (dont financièrement) les délocalisations au Maroc?
  4. Le taux de chômage dans la zone euro dans son ensemble a atteint les 12,2%, également un niveau historique, pour infos: « Le chômage des jeunes continue de grimper vers des sommets sans précédents en Europe: En Grèce, 62,5% des jeunes sont sans emploi, en Espagne 56,4%, puis le Portugal avec 42,5%, également l'Italie avec 40,5%« . On apprend même qu'en France en 2013, 6 mois après la fin de leurs études, plus de 60% des jeunes sont toujours au chômage.
  5. Il est prévu que la France soit « chypriotisée » et que les comptes bancaires des français soient purement et simplement braqués de manière légalisée grâce à l'Union Européenne. Ce qui s'est produit à Chypre ne fut qu'un test grandeur nature, les financiers se sont servit directement sur les comptes bancaires sans qu'aucun déposant ne puisse faire quoi que ce soit, c'est un braquage sans armes ni cagoules qui s'est produit, et surtout sans aucune peine de prison!
  6. La fermeture d'usines s'est accéléré en France en 2012, et rien n'indique qu'une accalmie puisse voir le jour en 2013: « En 2012, plus de 200 sites ont fermé leurs portes, soit 42% de plus qu'en 2011. Le secteur manufacturier a particulièrement souffert, avec près de 24.000 postes supprimés »
  7. Sur un an, 266 fermetures d'entreprises ont été annoncées, aucune précision par contre sur celles qui n'ont pas été annoncées dans les médias...
  8. La France, déjà incommensurablement endettée, continue de payer toujours plus aux racketteurs européens de Bruxelles, fin 2012, un amendement est passé relevant de 837 millions d'euros la contribution de la France au budget de l'Union européenne. Et avec nos sous, bien évidement!
  9. Le 26 février Fillon a expliqué qu'un risque de guerre civile était possible en France si cela continuait comme cela et qu'une chute brutale du niveau de vie était à craindre.
  10. Cette prévision a également été partagée par la Suisse depuis plusieurs mois « s'engage dans des exercices militaires pour sécuriser ses frontières exposées à de futures émeutes sociales de pays limitrophes. »
  11. Michel Sapin, ministre du travail qui porte bien son nom puisque en France pour l'emploi, « ça sent le sapin », a déclaré que « la France est un état totalement en faillite« , il a ensuite tenté de rattraper cela en expliquant qu'il s'agissait d'ironie et qu'il reprenait juste les propos de Français Fillon.
  12. Début 2013, le marché automobile français était à son niveau le plus bas depuis 15 ans, et a continué à plonger en mai. Étonnant? Pas vraiment quand on sait que Renault fait construire une usine en Algérie alors que nous avons besoin d'emplois en France, ou que General Motors, gros actionnaire de PSA a bloqué la vente de 100 000 véhicules/an en Iran au nom d'un embargo décidé par les américains...
  13. Une immense bulle immobilière va éclater comme ce fut le cas en Espagne ou aux Pays-Bas, il a été estimé que pour l'ensemble de l'année 2012, les crédits immobiliers accordés par les banques devaient être d'un peu plus de 115 milliards d'euros, soit une baisse de près de 30% par rapport à 2011, en novembre 2012 toujours, a été constaté une baisse des ventes des logements neufs de -24,9% et de -21% pour les mises en chantier, et ce ne sont que deux exemples des preuves qu'une telle bulle va éclater, d'autres sont disponibles ici.
  14. Les banques françaises sont dans le rouge et l'implosion n'est plus très loin. Elles n'ont plus suffisamment de liquidités: « Malgré une certaine détente depuis un an, la liquidité des banques européennes est toujours sous pression. Le manque de liquidités atteindrait 1.200 milliards d'euros, estime Selon McKinsey dans une étude consacrée à l'avenir du refinancement des banques, qui sortira prochainement en France. En dépit des mesures de la Banque centrale européenne, McKinsey estime que les banques ont un besoin structurel de 1.000 milliards d'euros pour combler le déficit de liquidités entre leurs activités de crédit (environ 12.300 milliards d'euros) et leurs dépôts (11.300 milliards). Selon le cabinet de conseil, cet écart devrait s'accroître de 20% (ou 200 milliards) d'ici à 2018 au vu des perspectives économiques et de la faible croissance des dépôts« .
  15. De plus en plus de banques licencient en France, et toutes finissent par réduire leurs effectifs: Barclays, Société générale, Crédit agricole, Natixis, Banque de France, ING, et bien d'autres... En février le message était clair: « ce mouvement devrait s'accélérer en 2013 si l'on en croit le baromètre Ernst & Young publié en décembre dernier. D'après celui-ci, 45% des banques européennes envisagent des suppressions de postes »
  16. Suivant l'INSEE la dette de la France s'élèverait à 1833 milliards d'euros. Si on se réfère à un rapport de la cours des comptes, elle s'élèverait à 4923 milliards d'euros, soit 246% du PIB. Mais quel que soit le montant exact, la dette est colossale et est détenue par des investisseurs étrangers (dont le Qatar?) qui du coup, peuvent se permettre de faire pression pour influer sur certaines décisions politiques. Nous en revenons toujours à la loi de 1973...
Chaque jour, le pays s'affaiblit sans être défendu par quiconque, ni les politiques, ni les médias, les attaques sont incessantes de la part de « nos amis américains » qui ne souhaitent qu'une seule chose, ne pas tomber les premiers vu que leur monnaie ne vaut pas plus cher que du papier toilette et que toute leur économie ne tient que grâce à la planche à billet qui tourne de manière illimitée. La FED, (banque centrale privée et trahison par excellence pour le peuple américain et les pères fondateurs qui avaient fuit l'Angleterre justement pour échapper au système de banque centrale), injecte chaque jour dans l'économie du pays 4 milliards de dollars, sans ceux-ci, ce serait le krach et la fin de la grande mascarade américaine. N'oubliez pas que derrière les paillettes se cache une nation en chute libre, pour preuve les 21 chiffres édifiants de la pauvreté aux USA.

Nous ne pouvons pas compter non plus sur l'aide de financiers ou de l'union européenne qui ne souhaite qu'une seule chose au final, la centralisation complète des pouvoirs, de la finance, des décisions, et la régionalisation des pays avec les encouragements de l'Oncle Sam qui là également, a activement participé pour la création de l'Europe telle que nous la connaissons. Et pour l'instant, les accords transatlantiques ne sont pas encore en place, une fois ceci fait, nous ne seront plus qu'une extension des USA.

De plus, les 16 signes indiqués plus haut ne concernent pratiquement que la France, le souci, c'est que le navire coule pour chacun des pays de la zone euros quoi que les médias puissent vous dire. Si un pays tombe, les autres suivent, la théorie des dominos par excellence, et il ne suffit plus de grand chose pour que l'apothéose ait lieue. Chaque pays dépend des autres et chacun peut entrainer les autres. Nous avons beau dénoncer, prévoir le pire, la zone euro finira par éclater, l'euro connaîtra un krach qui fera de celui de 1929 un compte à raconter aux enfants, à moins d'un miracle... Malheureusement là aussi, Olivier Delamarche l'a clairement expliqué, en économie, les miracles, cela n'existe pas!

A vous de choisir, anticiper, vous préparer ou continuer à rêver comme le font beaucoup de monde, pour preuve ce sondage très rassurant qui indique que 54% de Français optimistes sur une sortie de crise... grâce au tourisme et au CAC 40.