Nous étions quatre. Nous voulions glisser une quenelle devant le CRIF. Nous nous étions contactés par Facebook. Nous fûmes tout de suite interceptés par une horde de policiers anti-émeutes, gendarmes, RG et envoyés de la préfecture.

Deux choses à en tirer : Facebook est ultra surveillé, prenez-en conscience. Et l'Etat a perdu la raison.


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