Traduction Initiative citoyenne

Image
© Inconnu
Note de l'éditeur de « Age of Autism » : comme nous discutons de la sécurité des vaccins, il s'agit de ne pas oublier que les vaccins ont été déclarés « inévitablement dangereux » (Cour suprême des États-Unis). « Aucun fabricant de vaccins ne doit être tenu responsable dans une action au civil pour les dommages ou décès qui seraient liés à un vaccin ou à l'administration d'un vaccin après le 1er octobre 1988. »

« Je pense qu'il est d'une importance capitale que tout le monde comprenne que l'expression « vaccins sûrs » est un oxymore, et dès lors, je dirais que même ceux qui se veulent « pro-science » ne pourraient (s'ils étaient correctement et complètement informés, NDT) marquer leur accord sur le fait qu'il existe une « approche intelligente de la vaccination ». De par leur nature même, les vaccins ne peuvent pas être rendus sûrs, du fait qu'ils stimulent artificiellement, de manière non naturelle le système immunitaire (injection directe dans le corps de cocktails toxiques), alors que la nature prévoit d'autres « portes » : l'inhalation ou l'ingestion. C'est ainsi qu'est contournée la première partie de la réponse immunitaire, alors que cette partie est essentielle pour assurer les bonnes réponses ultérieures...

C'est un peu comme si on intervenait au cours de la grossesse d'une femme, en forçant l'ordre des choses, en éliminant certaines étapes critiques, tout en pensant que cette façon de faire n'aura pas d'impact sur le résultat final.) C'est comme cela que des adjuvants dangereux (comme l'aluminium neurotoxique, ou des protéines ne peuvent être dégradées dans le système circulatoire, alors que ces processus doivent se faire dans le tractus gastro-intestinal. Il en va aussi de même pour les neurotoxines comme le mercure et l'aluminium qui sont injectés à une période de développement de l'enfant où la barrière hémato-encéphalique est grande ouverte. Tout cela est étranger au fonctionnement du système immunitaire. On peut en conclure que des « vaccins sûrs » constituent un oxymore de premier ordre. Si vous multipliez alors ces procédures dangereuses en administrant plusieurs vaccins à la fois, sans prendre en considération les données familiales, le poids de l'enfant, sans s'être assuré qu'il n'existe pas d'allergies et de problèmes métaboliques, alors vous avez la recette pour un possible désastre absolu.

Par conséquent, puisqu'il n'y a pas de « vaccins sûrs », on en arrive forcément à devoir discuter la liberté du choix médical qui doit TOUJOURS être une composante essentielle dans toute société libre et respectueuse de l'éthique. Ceci est cependant d'autant plus important que les fabricants de vaccins, comme ceux qui les administrent sont déchargés de toute responsabilité grâce à cet incroyable « National Childhood Vaccine Injury Act » de 1986. (Il suffit de voir le libellé même de cette loi pour se rendre compte que « des vaccins sûrs » constituent un oxymore.) En 1986, à une époque où l'on aurait dû réduire le nombre des vaccins (j'aurais envie de dire qu'il aurait fallu totalement les arrêter) à la suite de tous les dommages et décès entraînés par ces vaccins, à la suite de toutes les plaintes et les procès qui ont suivi, les vaccinations furent paradoxalement renforcées et même triplées une fois que les indemnisations et les dédommagements ont été mis en place. Parlons d'une FOLIE !

Aujourd'hui les exemptions vaccinales sont limitées, attaquées et en voie de disparition dans tout le pays. Tout cela doit s'arrêter et la liberté de choix médical doit être protégée et appliquée dans les 50 états pour toutes les procédures et traitements médicaux, y compris les vaccinations. Une approche scientifique et intelligente de la vaccination doit toujours inclure l'option de pouvoir dire NON, sans interférence du gouvernement, sans contrainte, ou quelque coût que ce soit.

Le consentement éclairé, qui suppose la possibilité de dire librement OUI ou NON sans la moindre contrainte est étroitement lié à la liberté de choix médical et doit donc TOUJOURS être une composante essentielle de toute société libre où l'éthique fondamentale est respectée. En ce qui concerne les vaccins, la chose n'est malheureusement pas possible parce qu'ils n'ont jamais été correctement étudiés, soit individuellement, soit dans les combinaisons innombrables avec lesquelles ils sont administrés, ou même globalement au cours des 18 premières années de la vie d'un enfant.

Image
© Inconnu
Ainsi toute information qu'un médecin peut donner sur les bénéfices des vaccins ne découle non seulement pas d'une information complète et factuelle ; elle ne peut être qu'une information strictement personnelle... qui n'est basée sur aucune science solide. Ceci est tout particulièrement vrai lorsque les médecins et le gouvernement proclament qu'il n'y a pas de lien entre les vaccins et l'autisme, étant donné ce que nous savons maintenant au sujet du Dr Paul Thorsen.

De nombreuses personnes basent leur opinion sur les études de ce médecin pour dire qu'il n'y a pas de liens entre les vaccins et l'autisme. Il faut se rappeler que cet homme a VOLE l'argent qui lui avait été attribué par le gouvernement américain pour réaliser une étude sur la relation entre vaccins et autisme. Alors que cet homme est recherché comme fugitif, c'est sur son étude sans valeur que l'on ne cesse de se baser. Parlons encore une fois de FOLIE ! Il faut à nouveau le dire « une véritable science, une approche intelligente de la vaccination » doit toujours faire place à un consentement libre et éclairé, qui, évidemment comprend le droit d'accepter ou de refuser une partie des vaccins ou même tous les vaccins sans aucune ingérence, contrainte ou coût.

En ce qui concerne les vaccins, le consentement éclairé est aussi compromis parce que nos propres agences gouvernementales se sont acharnées à camoufler des vérités gênantes depuis maintenant des décennies. Ce camouflage inclut le fait que les quantités toxiques de thiomersal qui se trouvaient dans les vaccins des années '80 jusqu'au début des années 2000 étaient statistiquement et étroitement liées à l'autisme, sans parler de toute une série d'épidémies débilitantes de l'enfance dont nous avons été témoins dans ce pays. Pour ceux qui ne sont pas conscients de ce dont je parle, il suffit qu'ils fassent une recherche sur Google à propos de « Verstraeten », « Simpsonwood » et « Brick Township, NJ ».

En outre, il ne peut pas y avoir de consentement éclairé du fait que ce sont les entreprises qui fabriquent et profitent de la vente des vaccins qui font les études. Contrairement à un organisme de contrôle indépendant qui pourrait se permettre de perdre des milliards si les tests effectués ne reflétaient pas ce qu'ils avaient espéré. Ne serait-ce pas un peu le renard qui garde le poulailler? On ne peut faire confiance à aucune étude qui émane de l'industrie. Ces études sont trompeuses et sans valeur. Ce sont des études à court terme qui testent un nouveau vaccin par rapport à un autre vaccin ou par rapport à un adjuvant dangereux et hautement réactif comme l'aluminium, au lieu d'une solution saline neutre. Il s'agit du problème des faux placebo. C'est un peu comme si on disait que la cocaïne (crack) est sûre et non addictive, parce qu'elle n'est pas plus dangereuse que l'héroïne ! Le type d'études que les compagnies pharmaceutiques ont présentées comme valides sont en fait frauduleuses, et ces compagnies devraient être accusées de négligence criminelle et pire encore.

Enfin, il n'existe pas de données adéquates qui reflèteraient le nombre incroyable de réactions vaccinales indésirables, y compris les décès induits par les vaccins. Cela s'explique du fait que notre VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) est un système passif et volontaire. Je trouve qu'il s'agit d'une chose quasi impossible à croire, mais c'est un fait. Non seulement les médecins ne sont pas tenus de déclarer les dommages vaccinaux et les décès à ce système (VAERS) , mais la plupart ne connaissent même pas son existence ! Jusqu'à ce que ces déclarations deviennent obligatoires, jusqu'à ce que les médecins soient effectivement formés pour examiner les dommages vaccinaux et assurer un suivi, pendant au moins un an, de tous les patients qui ont été vaccinés, jusqu'à ce que des sanctions sévères (y compris la perte définitive de leur licence) puissent frapper les médecins qui ne rapportent pas les effets secondaires des vaccins, personne, absolument personne ne pourra avoir connaissance de l'ampleur, ainsi que dela nature des effets dévastateurs du programme national de vaccination. Nous ne possédons malheureusement pas ces données parce que ceux qui sont au pouvoir, et ceux qui profitent de la situation ne veulent pas que le public ait accès à ces informations.

Je pense que la communauté des personnes et des familles qui ont souffert de dommages vaccinaux ou les parents de personnes qui sont décédées après des vaccins doivent continuer à faire la lumière sur toutes les questions qui ont été évoquées dans cet article... Je pense que la vaccination est une pratique barbare qui n'est fondée sur aucune science digne de ce nom. Nous possédons aujourd'hui des montagnes de preuves qui nous montrent que ces pratiques devraient cesser immédiatement. »