coup d'état mondial
Le coup d'état sanitaire qui a permis d'imposer à la quasi-totalité des peuples de nouvelles règles relationnelles visant à mettre en place un contrôle social à la chinoise (avec l'adoption de passeports sanitaires, préludes à l'implantation de puces individuelles de traçabilité), a mis au jour ou plutôt confirmé des évidences refoulées qui devraient maintenant être reconnues comme telles par tout individu encore détenteur de son libre arbitre, sans qu'il soit nécessaire d'apporter des « preuves », puisque tout le monde peut les constater, ces évidences.

1. Nos systèmes politiques sont irrémédiablement corrompus. On ne peut faire confiance à aucun politicien ni à aucune organisation politique. Ils ont tous été achetés. Certains ont d'ailleurs vendu leur âme pour pas grand-chose.

2. La « démocratie » est une imposture reposant sur le clientélisme, le trucage et le mensonge. Ce n'est pas nouveau, mais les masques chirurgicaux ne dissimulent même plus les rictus des comédiens. Le pouvoir, c'est l'argent.

3. Les oligarchies en place dans les grands blocs géostratégiques, à la fois antagonistes et complices, ne reculeront devant rien pour conserver leur puissance et, si possible, augmenter leurs niveaux de contrôle et d'exploitation. Aucune hypocrisie n'est trop nauséabonde, aucun sacrifice humain n'est trop grand. Les syriens, les Birmans et les Palestiniens en paient le prix.

4. Les mouvements dits radicaux ne sont pas ce qu'ils prétendent être. Quel que soit l'objectif affiché, leur véritable rôle est de canaliser le mécontentement dans des directions et sur des sujets qui sont inoffensifs pour les manipulateurs aux manettes, quand ils ne sont pas purement et simplement un élément de leur stratégie.

5. Une voix « dissidente » présentée dans la presse dominante a toutes les chances d'être une arnaque. Le système n'offre pas d'espaces publicitaires gratuits à ses véritables ennemis.

6. La plupart d'entre nous sont des mouille-colles. Nous renonçons à tous les principes que nous avons affichés jusqu'à maintenant pour éviter le moindre risque d'être soupçonné de « complotisme », et pour éviter les sanctions pécuniaires et professionnelles liées à une désobéissance sociale concernant les « gestes barrières » et les règles absurdes et contradictoires édictées de semaine en semaine depuis quinze mois.

7. Les médias grand public (et singulièrement ceux du « service public ») ne sont rien d'autre qu'une machine de propagande au service du système, et les journalistes qui y travaillent mettent leurs compétences d'écriture, parfois remarquables, à la disposition de b.b..

8. Les policiers ne sont pas au service du public mais au service d'une minorité puissante et très riche qui contrôle et exploite le public pour ses propres intérêts.

9. On ne peut pas faire confiance aux scientifiques. Le pouvoir hypnotique de leurs blouses blanches et leur statut d'autorité est utilisé par ceux qui financent leur travail et leur train de vie. « Qui paie les violons choisit la musique ».

10. Le progrès est une illusion. Les « progrès » de l'automatisation et de l'industrialisation ne vont pas de pair avec un progrès de la qualité de la vie humaine, mais tend au contraire à la réduire « progressivement » jusqu'à l'extinction complète.

Bon, ben voilà, ça fait pas avancer le schmilblick, mais ça soulage d'énoncer ce qui « va sans dire ».