Il a fallu les pousser un peu, et surtout, que les chiffres officiels de la pharmacovigilance les poussent à faire de l'information, tout simplement. Le site de propagande gouvernementale à tendance mondialiste France Info a dû, la mort dans l'âme, à reculons, avec d'immenses pincettes, contre ses convictions et sa propagande habituelle, produire un long article sur les « effets indésirables », ce qui est un euphémisme, des vaccins ou des pseudo-vaccins actuels imposés aux populations.

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Après cette mise en appétit statistique, on commence avec les effets indésirables du vaccin Pfizer, le plus administré, dont on rappelle qu'il ne s'agit pas à proprement parler, et on souligne proprement, d'un vaccin. C'est un modificateur moléculaire et donc, métabolique. Naturellement, France Info minimise le sujet en faisant appel à un pro-vaccin patenté :
Il s'agit donc d'un vaccin sur lequel on dispose d'énormément de données. « Avec une vaccination massive et aussi surveillée en France, en Europe et dans le monde, ce serait étonnant qu'on découvre un effet indésirable grave qui non seulement nous aurait échappé, mais aurait échappé dans le même temps à la totalité de nos collègues hors de France », remarque le professeur Antoine Pariente, spécialiste en pharmacologie et en santé publique à Bordeaux (Gironde), qui suit, lui aussi, les effets du vaccin Pfizer. En France, un peu plus de 107 000 cas d'effets indésirables avaient été signalés fin octobre depuis le début de la vaccination, dont 65 569 après une injection de vaccin Pfizer, selon l'ANSM. Au total, 74 % de ces signalements, dont les liens n'ont, à ce stade, pas été établis avec le vaccin, correspondent à des événements non graves, et 26 % à des événements graves. Aucun signal de sécurité concernant la mortalité liée au vaccin n'est identifié à ce jour à partir des données françaises, relève l'Agence nationale de sécurité du médicament.
Traduction : les trois-quarts des effets indésirables (EI) ne sont pas imputables à Pfizer, du moins le lien n'est pas prouvable. Il s'agit donc de coïncidences, mais de 48 521 personnes, quand même. Qui ont subi ces effets après la vaccination. Et encore, on ne parle pas, car souvent les cas sont suivis dans une période de moins de 14 jours, ceux qui surviennent plus tard, voire dans la longue durée. On peut donc imaginer que des milliers de cas à longue durée ne sont pas comptabilisés et ne le seront jamais, car on ne pourra pas prouver le lien entre vaccination et EI.

Le résumé passe très rapidement sur les effets graves, qui représentent un quart des cas, soit 17 047 personnes. Pour l'ANSM, cela ne justifie pas un arrêt des vaccinations. On sait que l'Agence nationale de sécurité du médicament, ex-Agence nationale du médicament (ANM, qui a juste rajouté sécurité dans son acronyme), a partie liée avec les grands labos, de près ou de loin. Aujourd'hui, après les grands scandales meurtriers des dernières décennies (dont le dernier en date est le Mediator de Servier), les liens sont moins voyants, mais tout aussi réels.

France Info nous rassure très vite : « les effets indésirables les plus fréquents sont généralement attendus et non graves, et disparaissent rapidement », en citant l'ANSM, ce qui suppose une grande confiance dans l'agence qui a déjà été prise la main dans le sac du délit d'initiés, du conflit d'intérêts ou du mélange des genres, bref, d'un manque prouvé d'indépendance par rapport au marché, c'est-à-dire à l'industrie pharmaceutique. Exemple récent avec la bataille du Levothyrox :
La journaliste Aurore Gorius a révélé le 28 février [2018] dernier sur le site d'information Les Jours un conflit d'intérêts entre l'Agence nationale du médicament et des produits de santé (ANSM) et le laboratoire Merck (fabriquant le médicament pour soigner les troubles de la thyroïde, le Levothyrox).

Aurore Gorius est membre du Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) et a pu se procurer le courrier envoyé en 2012 par l'ANSM au laboratoire Merck pour demander le changement de formule qui a rendu malade des milliers de patients. Ce courrier demandait au laboratoire de changer la formule du Levothyrox en remplaçant le lactose par du mannitol et de l'acide citrique afin de rendre le médicament plus stable dans le temps pour sa conservation.

Le problème que soulève cette demande est qu'elle était signée du Professeur Philippe Lechat qui a travaillé pour le laboratoire Merck avant d'entrer à l'ANSM : le conflit d'intérêts semble donc avéré. (TV5 Monde)
Puisqu'on parle de Merck, qui n'a pas trouvé d'effets favorables de l'ivermectine sur le covid dans ses études, un petit détour par le Japon, où le discours sanitaire officiel a du mal à passer :


Retour en France et sur France Info, qui réduit les risques de ces vaccinations successives d'un coup de clavier magique :
Les effets indésirables les plus fréquents. Ils sont généralement « attendus et non graves », souligne l'ANSM, et disparaissent rapidement. Plus d'une personne sur dix, selon l'Agence européenne des médicaments (en anglais), fait ainsi état d'un des symptômes suivants : douleur ou gonflement à l'endroit de l'injection, fatigue, maux de tête, douleurs musculaires, douleurs articulaires, frissons, fièvre, diarrhée. Pour faire passer la fièvre ou la douleur, il est conseillé de « privilégier l'utilisation du paracétamol à la dose la plus faible et le moins longtemps possible ». Sont également signalés, de façon moins fréquente, des démangeaisons, rougeurs, gonflements de ganglions, allergies, sueurs nocturnes ou vomissements. Si l'un de ces effets indésirables entraîne des arrêts de travail pendant plusieurs jours, il est alors classé dans la catégorie des effets indésirables graves.
Passons maintenant aux EIG (effets indésirables graves). Et là, le miracle s'opère : France Info ne donne aucune statistique sur le nombre de morts ! Malgré les 1 224 décès officiels comptabilisés par la pharmacovigilance, qui souligne avec prudence que « leur imputabilité aux vaccins n'est pas avérée » (Source : Libération). Pourtant, la définition parle bien de décès :
Ils sont qualifiés ainsi quand survient, après l'injection du vaccin, une « hospitalisation ou prolongation d'hospitalisation, incapacité grave ou permanente, anomalies congénitales, événement médicalement grave (entraînant un arrêt de travail), si le pronostic vital est en jeu, ou s'il y a décès », résume Francesco Salvo.
Mais ils se perdent dans les sables de l'article, qui évoque évidemment les EIG les plus fréquents, ce qui ne mange pas de pain et, rapportés aux 77 millions de doses du « vaccin » Pfizer/BioNTech administrées en France, la plupart de temps de force, ou par ruse, ce qui relativise énormément le danger :
« On a vite été convaincus d'un lien avec le vaccin », remarque Antoine Pariente. Ce risque est en effet recensé sur le résumé des caractéristiques du produit (PDF) établi par l'Agence européenne des médicaments. « Depuis juillet 2021, les myocardites et les péricardites sont considérées comme un effet indésirable pouvant survenir rarement suite à une vaccination par Comirnaty (Pfizer) ou Spikevax (Moderna) », écrit l'ANSM. « Un total de 375 cas de myocardite ont été rapportés », note-t-elle aussi dans un focus sur le vaccin Pfizer analysant les effets indésirables jusqu'au 31 septembre 2021.
Suivent la paralysie faciale (344 cas sur 40 millions d'individus), les allergies sévères (566 cas, 10 graves, dont « 9 ont connu une évolution favorable dans les 24 heures », le dixième patient étant décédé) et enfin d'hypertension artérielle (863 cas). On ne parle pas de thromboses. On reste sur Pfizer alors que l'article passe en revue les autres vaccins ou pseudo-vaccins, ceux de Janssen, AstraZeneca et Moderna. Mais il ressort de cette lecture que les Français peuvent aller se faire vacciner les yeux fermés ou presque, que les morts ont disparu, que la plupart des EIG en lien avec Pfizer ne sont pas prouvables, un véritable tour de force rédactionnel.

Ils ne lâcheront pas le morceau


Mais tout le monde n'est pas fauciste






alex
La vérité, tout simplement