Zelenskyy
Mercredi, on est au milieu de la semaine, après on se rapprochera du week end ; )))), comme vous l'avez vu Amnesty International, avait commencé à diffuser des infos sur ce qu'avaient dénoncé les Russes, à savoir que les Ukrainiens mettaient des équipements militaires, ou des entrepôts d'armes, au milieu de civils pour qu'ils servent de bouclier humain pour ensuite accuser les Russes lors des frappes

Et en l'espace de 48h, (ayant essuyé les FOUDRES de Zelensky), ils ont dû faire des EXCUSES ! Mais bon si vous êtes informé vous savez pourquoi, cependant il faut les FÉLICITER de la tentative de réinformation (certain(e)s risques de le payer très cher...)

Aussi dans la même veine, ce documentaire m'a été pointé par l'ex-sénateur Yves Pozzo di Borgo, et comme il a été censuré (même pas diffusé) et qu'il lève le voile sur une partie de cette corruption en Ukraine (c'est la plaque tournante de toutes les saloperies des mondialistes). Nous avons décidé de l'archiver et de le publier.

Il faut activer les sous-titres et la traduction auto.

Le démon c'est Mammon....

Bonne vidéo, et bon après-midi.

Amitiés,


Backup de la Vidéo.

Deux journalistes révèlent dans quelle guerre l'Ukraine se trouvait déjà l'été précédant l'invasion Russe. Un scandale en particulier met le président Ukrainien à nu.

Le 3 octobre, le film « Offshore 95 » doit être présenté en avant-première au théâtre « Le petit opéra » de Kiev.

Il s'agit d'un documentaire basé sur les Pandora Papers, plus de onze millions de documents de prestataires de services financiers ayant fait l'objet de fuites.

Le réseau international de journalistes d'investigation a commencé à publier le 3 octobre des révélations sur les comptes offshore de centaines de représentants gouvernementaux du monde entier, dont trente-cinq dirigeants politiques.

Dans « Offshore 95 - Les affaires secrètes du président Ukrainien, des journalistes d'investigation ukrainiens en rendent compte. Mais la première est annulée à la dernière minute. Le directeur du théâtre a appelé les journalistes quelques heures avant pour leur dire : « Nous ne montrerons pas le film sur le président. »