Un grand merci à Jaba (
antinouvelordremondial.blogspot.com) pour son boulot de traduction.
Voici donc un documentaire fait par des journalistes allemands depuis la France, évidemment, en France aucun mot, rien.
Des millions d'euros donnés pour ces enfants et leur faire subir les pires atrocités, ce ne sont pas de « petits bonnets » qui font cela, c'est à vomir, et l'expression est on ne peut plus faible. Ces cérémonies putrides, ces immondices se déroulent quotidiennement. L'histoire de Noémie (entre autres) est un exemple qui prouve l'existence d'un réseau pédophile et sataniste à l'échelle européenne, et d'une justice corrompue jusqu'à la moelle. Les victimes sont réduites au silence.
Des enfants subissent ces immondices chaque jour, un enfer quotidien.
Commentaire :
Nous les appelions habituellement « psychopathes » - ces créatures qui apparaissent sur notre planète sous forme humaine, mais qui ne sont pas des êtres humains.
Nous avions noté qu'elles sont amorales. Cela aurait dû nous donner un indice.
Nous avions noté qu'elles ne RESSENTENT PAS de sentiments. Cela aurait dû nous instruire.
Nous avions noté qu'elles sont sans cœur. Cela aurait dû sonner l'alarme.
Les éléments qui distinguent l'être humain en tant que tel font défaut à ces créatures. Elles ne montrent aucune connexion avec, aucune compréhension de ce que nous appelons « moralité », « honnêteté », « décence », « fair play », ... etc. Elles ne possèdent pas cette faculté que nous nommons « empathie ». Elles ne possèdent pas cette faculté que nous nommons « introspection ».
L'être humain a passé des siècles à tenter de comprendre ces créatures comme une forme d'être humain. En vain. Pas seulement en vain, mais à un coût faramineux pour notre civilisation. Ces créatures ne sont pas des êtres humains qui ont mal tourné. Elles sont d'une espèce différente... dédiée au meurtre des valeurs humaines... en prélude au meurtre des êtres humains... en témoignent les tactiques utilisées par les Nazis, passés ou présents.
Les psychopathes nous rient au nez. Ils disent : « Personne ne nous comprend. Les gens ne peuvent se mettre dans la peau, comprendre l'esprit d'hommes qui agissent sans conscience. Ils tentent de comprendre, mais ne le peuvent pas. »
Ces créatures ne PENSENT PAS humain. Elles ne PARLENT PAS humain. Elles ne savent pas ce qu'est ÊTRE humain.
Nous les classifions comme « humanoïdes ».
[...]
Les humanoïdes ne comprennent pas la distinction que nous, êtres humains, faisons entre le bien et le mal. Quand ils nous nuisent, ils ne comprennent pas pourquoi nous les qualifions de « diaboliques ». Ils ne comprennent pas pourquoi nous avons des lois contre le meurtre. Leur approche est de se vanter, et même de moraliser sur le dos de leurs victimes.
Comme ils ne comprennent pas les raisons de telles lois, ils argumentent qu'ils ne peuvent être tenus pour responsables de leurs actions.
Ce n'est pas le cas. Quand ils adoptent la position selon laquelle la loi ne s'applique pas à eux, ils savent que la loi est faite pour s'appliquer à tous. De plus, s'ils tentent d'affirmer qu'ils ne savaient pas qu'une telle loi existait, nous répondons avec un principe fermement établi : « L'ignorance de la loi n'est pas une excuse ».
Lorsqu'ils ont recours à ce genre d'arguments, ils montrent clairement qu'ils vont continuer à agir en accord avec leur structure psychique. Nous pourrions espérer du remords (qui est une capacité humaine). Nous n'en trouverons aucun. Ils ne se considèrent pas comme promouvant le mal. Ils font simplement ce que leur condition, leur structure, les amènent à faire. Le serpent à sonnettes ne se considère pas comme mauvais quand il injecte son poison. Il fait simplement ce que sa condition l'amène à faire.
L'expérience a montré que les humanoïdes continuent de se comporter tel que leur espèce les conditionne à se comporter... détruisant les valeurs humaines, comme prélude au meurtre des êtres humains. Les nazis l'ont prouvé de façon suffisamment explicite.
La question de savoir s'il faut les tenir pour « responsables », au sens humain du terme, doit être divisée en deux parties. Nous ne pouvons les tenir pour responsables d'ÊTRE ce qu'ils sont. Nous les tenons pour responsables des dégâts qu'ils FONT.
Quand un chien attrape la rage, nous ne le tenons pas pour responsable du fait d'être enragé. Ce que nous faisons, pour nous protéger, c'est que nous tuons le chien AVANT qu'il ne nous morde, AVANT qu'il ne nous infecte.
Nous ne tenons pas le serpent à sonnettes pour responsable du fait d'avoir des crochets venimeux. Ce que nous faisons, pour nous protéger, c'est que nous tuons le serpent à sonnettes AVANT qu'il ne nous tue.
Idem avec les humanoïdes. Nous devons nous tenir sur nos gardes au premier signe de meurtre des valeurs humaines.
Amos M. Gunsberg,
Au-delà de la folie
Commentaire : Amos M. Gunsberg, Au-delà de la folie