Traduction SOTT

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Evelyn de Morgan - Ariane à Naxos (1877)
Dans cette série, je me suis jusqu'à présent beaucoup concentré sur l'histoire et la science, quoique d'un caractère particulièrement paranormal pour certaines parties. Pour rafraîchir la mémoire du lecteur, le premier épisode commençait par une discussion sur les prophéties et les prédictions et soulevait certaines questions comme : les prophéties peuvent-elles être vraies ? Si oui, sont-elles toutes vraies ? Toutes fausses ? Comment peut-on faire le tri entre les charlatans et les clairvoyants et une bonne source peut-elle faire une mauvaise prédiction ? Pourquoi? Et bien aujourd'hui, je souhaite aller dans une direction légèrement différente - pas de science du climat, d'étoiles compagnes, de comètes catastrophiques ou d'ADN non-codant. Non, je souhaite baser cet épisode sur quelque chose d'un petit peu plus SOTT-ien : la politique et les conspirations.

Au cours de cette série du Palmarès des Cassiopéens, certains lecteurs ont pu se demander quelle place la recherche dite « paranormale » a sur un site d'informations alternatives. Et d'autres, tout comme moi il y a une dizaine d'années, peuvent se demander ce que les complots politiques peuvent bien avoir à voir avec la prétendue « spiritualité ». J'espère que la réponse à la première question est au moins partiellement plus claire maintenant, après sept épisodes. Dans un monde aussi contrôlé que le nôtre, où l'on peut nous faire passer aisément des mensonges pour des faits indiscutables, avec des médias, des grandes entreprises, des milieux universitaires et des gouvernements qui agissent comme des façonneurs d'opinion publique sur tous les sujets, l'individu se retrouve dans une situation guère différente que Thésée dans le labyrinthe du Minotaure. A chaque tournant, nous sommes confrontés à des mensonges, même (et peut-être surtout) quand il s'agit de nos visions les plus basiques sur la nature de la réalité. Et nous serions perdus sans fil d'Ariane.

Tant que je verse dans la mythologie grecque, laissez-moi partager ce qu'un membre du forum a récemment relevé dans The Secret Teachings of All Ages de Manly P. Hall :
Il est généralement admis que l'effet de l'oracle de Delphes sur la culture grecque fut profondément constructif. James Gardner résume son influence en ces mots : « Ses réponses révélèrent plus d'un tyran et prédirent son destin. Ainsi, plus d'un pauvre hère fut sauvé de la destruction et plus d'un mortel perplexe guidé dans la bonne direction. Son influence morale était du côté de la vertu et son influence politique en faveur de l'avancement des libertés civiles. »
En d'autres termes, c'est la réponse à notre seconde question : un bon oracle (ou une source spirituelle) n'évite pas la politique. Comme un cynique grec ou la proverbiale Cassandre, le rôle premier d'un oracle est de présenter une vision du monde tel qu'il est, peu importe à quel point cette vision est douloureuse ou impopulaire, et de fournir la seule alternative au mensonge : la vérité. Donc oui, nous traquons la « grande étrangeté » et notre vision du monde ne concorde pas vraiment avec la maxime matérialiste colportée et imposée par les Dr et les pontes des médias partout dans le monde. Tout ce que vous « savez » est un mensonge et cela inclut toutes vos suppositions métaphysiques sur la façon dont la « réalité » fonctionne vraiment. Par chance, il y a une sortie au labyrinthe et (s'il vous plaît, excusez-moi de devenir biblique ici !) la vérité vous affranchira.

Ça n'est pas différent pour la politique. Toute source « spirituelle » qui prétend le contraire - avec peut-être l'opinion que de telles choses sont non-spirituelles - n'est pas meilleure que ces agents COINTELPRO dont j'ai discuté dans l'épisode n°5.

Pensez-y. Pouvez-vous imaginer un « grand guide spirituel », qui vit sous un gouvernement corrompu, assez stupide pour croire les mensonges que les partis politiques lui disent ? Ou apporter son soutien à un dirigeant qui débite des mots pompeux tout en tuant des innocents ? Eh bien, peut-être que ces questions stupides, car je peux déjà répertorier un grand nombre de ces « guides spirituels ». Mais j'espère que c'est clair. Une source spirituelle qui ignore la politique est pareille à un médecin qui ignore la maladie.

Le 3 janvier 2009, ce sujet a été soulevé :
Q : (L) J'ai une question à poser. Un tas de gens disent que l'ésotérisme et la politique ne devraient pas être mélangés, que quelqu'un qui poursuit des buts ésotériques - ou des buts spirituels, pour le formuler autrement - ne devrait pas s'intéresser aux choses « de ce monde ». J'aimerai avoir votre avis là-dessus. Nous sommes-nous totalement fourvoyés en nous mêlant de politique ?

R : Absolument et violemment pas ! Il n'y a aucune possibilité de progrès de vrai travail spirituel sans la pleine conscience du monde qui vous entoure. Qu'avons-nous dit au sujet de la « vraie religion » ? Laissez votre curiosité vous guider. A l'état pur, la curiosité est une fonction spirituelle. [HK : la référence à la « vraie religion » date du 28 septembre 2002 : « La vie est religion. Les expériences de la vie reflètent notre relation à Dieu. Ceux qui sont endormis sont ceux de peu de foi dans leur relation à Dieu. Certaines personnes pensent que le monde existe pour qu'on le dompte, le méprise ou l'ignore. Pour de tels individus, le monde cessera d'exister. Ils deviendront exactement ce qu'ils donnent à la vie. Ceux-là deviendront un simple rêve dans le « passé ». Mais ceux qui dirigent leur attention sur tous les aspects de la réalité objective deviendront la réalité du « Futur » »]
oracle de delphes
© Kim Bach - flickr.comL'Oracle de Delphes
Les Secrets du TWA 800

Aussi, avec ceci à l'esprit, examinons les antécédents des Cs sur quelques questions. Récemment, en faisant des recherches sur les boules de feu et les météores, je suis tombé sur une lettre au New York Times dans un vieil article de la série de SOTT « Relier les points ». Les auteurs, Charles Hailey et David Helfand, respectivement professeurs de physique et d'astronomie à l'Université Columbia, ont écrit cette lettre le 17 septembre 1996 en réponse à la dislocation du vol TWA 800 deux mois plus tôt qui tua 230 personnes. Hailey et Helfand avaient calculé « la probabilité pour qu'un avion de ligne commercial, au cours de ces 30 dernières années d'intense trafic aérien, soit touché par un météore en approche avec assez d'énergie pour disloquer l'avion ou provoquer une explosion » comme étant d'1 chance sur 10. Ils concluaient : « Nous croyons que la théorie d'un impact de météore ou de fragment cométaire mérite plus d'attention. »

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© Inconnu
C'est un argument en leur faveur, surtout vu le nombre croissant de boules de feu ces dernières années et le fait que pratiquement personne dans le courant dominant ne considère de telles possibilités. Mais leur hypothèse est probablement plus pertinente pour la destruction récente du vol Air France 447 en 2009 que pour le vol TWA 800, comme nous allons le voir. Voici ce que les Cs avaient à dire le 23 novembre 1996 :
Q : (T) A propos du Vol 800. Pierre Salinger prétend que l'info qui circule sur internet est exacte. Il dit que la Marine a descendu le vol. [HK : Avant sa carrière de journaliste, Salinger était l'attaché de presse de la Maison Blanche à la fois pour JFK et LBJ.]

R : Proche. Pierre Salinger est un journaliste irréprochable et pas du genre à « s'emballer ». [HK : Salinger avait reçu l'information de la part d'un contact de longue date des services secrets français que c'était effectivement un « tir ami » qui avait abattu l'avion. L'information provenait du Capt. Richard Russell qui prétendait tenir l'information d'un ami qui avait participé à une réunion de haut niveau sur l'incident. Russell a maintenu ses propos et a déposé une déclaration sous serment en ce sens dans un procès contre le gouvernement.]

Q : (T) Très vrai. C'est pourquoi je suis surpris que le reste de la communauté journalistique l'attaque.

R : Pourquoi devriez-vous être surpris ? Ils sont « achetés et payés pour ». [HK : L'Opération Mockingbird était un programme de la CIA pour infiltrer et influencer les médias qui démarra dans les années 1950. Inutile de préciser qu'ils ne se sont jamais arrêtés.]

Q : (T) Qu'est-il arrivé au vol 800 ?

R : Ce fut le résultat d'une expérience qui a mal tourné. Tout comme le KAL 007 en 1983.

Q : (L) Quelle était la nature de l'expérience ?

R : Test d'un système de guidage à impulsion secret utilisant un avion de ligne civil comme « rebond » arbitraire de la cible du guidage. A la place, c'est devenu la cible « autoguidée » et un avion différent est devenu le rebondisseur. Ce fut parce que les programmeurs n'ont pas anticipé l'altitude plus basse qu'attendu du 747. [HK : Le vol explosa et s'écrasa seulement 12 mn après avoir décollé de l'Aéroport International John F. Kennedy à New York. 12 mn après le décollage, le Boeing 747 volait à 13 700 pieds, plus bas que d'habitude parce qu'il avait retardé son ascension afin de laisser la voie à un autre vol qui approchait de Rhode Island. Quelques secondes avant l'explosion, l'équipage avait répondu à des instructions de la Tour de Contrôle de monter à une altitude de 15 000 pieds.] Attention : ceci ne doit pas sortir de cette pièce pour l'instant !!!!!!!!!! Les faits finiront par être discutés par d'autres. [HK : Ce fut le cas, comme nous le verrons plus loin.] Là, le danger sera dissipé. Maintenant, à propos du KAL 007 ... il n'y a pas de danger à connaître celui-ci. L'avion reçut délibérément l'ordre de dévier de sa route afin de déclencher le système de défense de l'espace aérien du Pacifique des Soviétiques, pour voir « de quoi il était fait » dans cette région. L'avion fut perdu mais l'expérience avait fonctionné. Ils ne s'attendaient pas à ce qu'ils abattent un avion de ligne civil.

Maintenant, toutes les cibles mouvantes créent des impulsions électroniques. Celles-ci peuvent être « lues » par l'équipement extrêmement high-tech approprié. Les systèmes de radioguidage plus anciens sont sujets à des dysfonctionnements lors de conditions météorologiques sévères, par exemple. Aussi, le système d'impulsion est un rejeton des expériences d'impulsions électromagnétiques menées à Montauk, Brookings et ailleurs dans le cadre du projet HAARP ! En ce qui concerne les tests de missiles du Pentagone, il y a de nombreux liens intéressants avec HAARP, dont non le moindre est vos antennes-relais de téléphones portables.

Maintenant, la cible du guidage peut être n'importe quel objet en mouvement. Ça peut être n'importe quoi qu'on entre dans l'ordinateur. Ça peut être un écureuil dans un arbre, un jogger sur la plage, un bâtiment, tout ce que vous voulez. Le système recherche n'importe quelle cible en mouvement afin d'établir une reconnaissance par l'ordinateur, afin d'établir une reconnaissance de motif (pattern) d'impulsion concordant. Le TWA 800 volait à la même exacte altitude qui était censée être destinée au « drone ». Le drone était plus loin en mer. La cible « rebond » devait être n'importe quel objet en mouvement dans l'air dans une zone de 1 000 km2.

Q : (L) Le TWA 800, à cause d'une série de problèmes, s'est retrouvé par hasard à la bonne altitude, une altitude restreinte, dans les paramètres de l'expérience. Quoi que ce soit de plus là-dessus ?

R : Pas pour l'instant.
Jusqu'à 154 témoins , bien placés (y compris des scientifiques, des enseignants du personnel militaire et des chefs d'entreprise, selon le New York Post) ont rapporté avoir vu un objet brillant de type fusée éclairante « foncer » verticalement vers l'avion et changer de direction en plein ciel (ce qui exclut une météorite). Le radar avait en effet détecté un autre objet. Rick Hampson rapportait pour l'AP le 19 juillet 1996 que « le radar a détecté un spot se confondant avec l'avion peu de temps avant l'explosion ». Cela faisait probablement référence au radariste de la FAA de Long Island qui a rédigé un rapport au sujet de « données radars contradictoires qui indiquaient un missile ». Selon James Sanders (voir ci-dessous), l'enregistrement radar fut alors analysé par le Centre Technique de la FAA qui découvrit un « spot inexpliqué » et les experts militaires américains dirent au FBI qu'un missile autoguidé apparaîtrait sur un radar de la FAA en mode transpondeur. Le Times of London rapporta aussi que les images de satellite-espion montraient « un objet foncer vers l'avion de TWA... et lui rentrer dedans ».

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Après le crash, ce fut une farce absolue. Alors que la théorie du « tir ami » gagnait davantage de terrain, des théories alternatives surgirent : l'absurdité prévisible de « l'attentat terroriste » (propagée par les espions d'internet), suivie par l'explosion d'une pompe à carburant comme cause de l'accident (pour laquelle il n'y avait aucune preuve solide. Les autorités nièrent au départ la présence de résidus d'explosifs. On en trouva plus tard mais ils furent expliqués comme des résidus provenant d'un entraînement de chiens renifleurs de bombes (une autre impossibilité).

James Sanders obtint d'un employé de la TWA, deux échantillons de tissu provenant du vol. Il les fit tester par un laboratoire indépendant qui trouva des résidus caractéristiques d'un combustible solide de moteur-fusée. Quand il remit les échantillons à CBS pour qu'ils les fassent à nouveau tester, CBS les remit au gouvernement et Sanders fut déclaré coupable de vol de propriété du gouvernement. Sanders écrivit un livre, Le Vol TWA 800 a été abattu !, où nous trouvons ce qui suit (publié pour la première fois en 1997, cinq mois après l'extrait ci-dessus) :
Alors que la soirée du 17 juillet 1996 débutait, ... une unité opérationnelle interarmées de la marine assemblait un système d'armes top secret en vue d'un test décisif. ... A 20h00 ... la zone militaire W-105, des milliers de kilomètres carrés d'océan situés au sud et au sud-est de Long Island, fut activée par la Marine des États-Unis. En quelques minutes, à différents endroits autour du secteur, l'activité militaire s'accrut alors que les diverses unités participant à l'opération déployaient leurs appareils et navires de surface. ...

A l'horizon, à l'Est, dans la zone W-105, les bâtiments de guerre à missiles guidés AEGIS de la Marine des États-Unis se préparaient pour l'évaluation finale d'une mise à jour de plusieurs milliards de dollars de leurs logiciels, radar, et missile antiaérien/antimissile Standard IIIA et IV. ... Ce soir-là, le système lui-même devait être testé alors que les navires de surface se mettaient en position. Au même moment, un avion de la Marine, doté d'un équipement électronique fraîchement optimisé conçu pour fonctionner avec le système AEGIS, volait lentement. L'avion était la clé du nouveau système de poursuite radar top secret et extrêmement complexe qui en était à sa troisième année de tests. ...

La zone W-105 avait été sélectionnée pour ce test final de pré-certification à cause de la complexité du secteur. ... Long Island offrait des échos de sol denses et le flux constant du trafic aérien commercial de l'aéroport JFK donnait à la Marine le spot radar « neutre » dont elle avait besoin pour tester les capacités de discrimination du logiciel de ciblage. Pendant ce temps, des avions de la marine approchaient de l'aire d'exercice pour présenter des signatures électroniques « amicales » pour que l'AEGIS les piste et les compile en ordre de bataille de l'unité opérationnelle. Une présence « hostile » apparaîtrait bientôt sous la forme d'un drone missile BQM-74E de la Marine lancé à proximité de Shinnecock Bay, à l'est de Riverhead, Long Island. ...

... Peu avant 20h30 le 17 juillet, le feu vert fut donné à la plate-forme de lancement du drone. Aucun vol commercial ou autre ne se trouvait dans le secteur. C'était sans danger. ... Quelques minutes après le feu vert, le drone décollait.

Le CEC pourrait identifier et pister tous les vols commerciaux et le trafic militaire ami aérien et de surface dans et hors des régions en bordure de mer tout en continuant à guetter le lancement d'un missile de croisière hostile. La Marine croyait que ce système leur permettrait de discriminer électroniquement les échos amis, ennemis et de sol et de continuer à livrer bataille. Du moins c'est que la Marine pensait. ...

... presque instantanément, le logiciel d'enclenchement de chaque plate-forme AEGIS-CEC acquit le drone cible, ... [un radar] calcula un tir dans l'épais brouillard des multiples brouilleurs électroniques « hostiles », traça sa trajectoire et commanda au logiciel de sélectionner automatiquement la plate-forme la mieux positionnée pour effectuer le tir.

Le logiciel lança ensuite un missile antimissile Standard IIIA ou IV de la Marine, spécifiquement modifié pour fonctionner avec ce nouvel équipement, vers le drone approchant. ... Le missile antimissile prit une haute altitude dans le ciel du soir et fila à l'ouest en direction du drone missile de croisière de basse altitude vers une position où son ordinateur de bord devait recevoir une correction à mi-course. Ce signal était censé régler avec précision la trajectoire du missile Standard afin que le radiocompas radar semi-actif à bord s'accroche à la cible tandis que le missile Standard entamait son plongeon vers le drone à quelques milliers de pieds en dessous. Du moins, c'était le plan.

Les avions commerciaux s'élevant dans le ciel depuis l'aéroport JFK furent les participants involontaires de ce test final de technologie du 21ème siècle. ... Le vol TWA 800 ... franchit la zone d'alerte et devint techniquement un « neutre ». En même temps, le récepteur électronique à bord du missile Standard commença à balayer sa fréquence radio sécurisée, attendant les ordres de correction de mi-course des ordinateurs AEGIS pour diriger l'arme, maintenant à sa position prédéfinie, vers l'endroit où elle était censée attaquer sa proie.

Mais avant la correction de mi-course obligatoire, le dernier radar AEGIS-CEC pistant toujours le missile et le drone parmi le fort brouillage électronique devint subitement complètement aveugle. Le drone et le missile Standard ne pouvaient plus être pistés. ... le missile Standard n'était plus sous le contrôle du système AEGIS-CAC. ... En un instant, le radar interne du Standard acquit le vol TWA 800 bien au-dessus et à l'ouest du drone cible. Le radar du missile antimissile tourna brusquement vers la droite, pointa son ogive inerte vers le 747 et dessina le mille de la cible électronique juste devant l'aile droite. Le missile redressa en ligne droite vers son point d'impact et puis à pleine vitesse, percuta le fuselage plusieurs dizaines de centimètres en dessous de la cabine passagers.
Vous pouvez lire l'extrait complet ici [en anglais - NdT], il présente un bon résumé des événements du crash et de la dissimulation qui s'en est suivie. Bien que son récit ne fasse pas mention d'une technologie « d'impulsion électronique » secrète, la similitude est tout de même frappante et me suggère que, d'où qu'il ait reçu ses informations, c'était probablement un déballage limité. En d'autres termes, présenter les faits aussi précisément que possible mais laisser de côté quoi que ce soit de trop « sensible ».

Le 11 Septembre et les Israéliens qui Dansent

Lire la manière dont les organes officiels impliqués dans l'enquête en sont venus à contrôler les dégâts, semer la désinformation et, en général, étouffer la vérité à propos du TWA 800 devrait faire penser à nombre de « tragédies » et « attentats » récents où l'on nous a fait tourner en bourrique. Le 11 septembre fut le plus important, et de loin. Seulement trois jours après les attentats, le 14 septembre 2001, les Cs avaient ceci à dire :
Q : Nous avons une série de questions à propos de cet événement récent. L'attentat du World Trade Center a-t-il été entrepris par des terroristes musulmans ?

R : Non.

Q : Qui était l'auteur de cet attentat ?

R : Israël.

Q : Finira-t-on par savoir que c'était Israël ? Seront-ils démasqués ?

R : Oui. [HK : Cela s'est avéré vrai dans une certaine mesure. Voir plus loin.]

Q : Est-ce cet événement qui va mener à la destruction d'Israël ?

R : Oui. [HK : Ouvert, pour l'instant.] [...]

Q : Y aura-t-il d'autres attentats terroristes aux États-Unis la semaine prochaine comme d'autres l'ont prédit ?

R : Non. [HK : Vrai.]

Q : Y aura-t-il d'autres attentats terroristes de ce type n'importe quand dans un avenir proche aux États-Unis ?

R : Non. [HK : Vrai.]

Q : Est-ce le début de la Troisième Guerre Mondiale ?

R : Non. [HK : Vrai. Malgré qu'ils soient un agresseur, toutes les guerres menées par les États-Unis ces dernières années étaient clairement unilatérales et de nature « locale »]

Q : Les États-Unis vont-ils bombarder l'Afghanistan ?

R : Possible dans le futur. [HK : Vrai. Les États-Unis ont envahi l'Afghanistan seulement trois semaines plus tard, le 7 octobre 2001, ce qui impliqua d'importantes campagnes aériennes.]

Q : Bon, vous dites qu'il n'y aura pas d'autres attentats. Pouvons-nous vous croire ?

R : A vous de voir.

Q : (A) Vous dites qu'Israël sera démasqué, avec quelle perspective temporelle ?

R : Mois [avant que les premiers indices n'émergent.]

Q : Démasquer Israël ? Comment ?

R : Oui, ouvert. Peut-être plus tôt.
En effet, les premiers indices avaient déjà été publiés dans quelques journaux locaux des jours précédents, mais les détails étaient encore trop obscurs pour former une image claire. Par exemple, le 12, le Bergen Record rapportait que cinq hommes avaient été placés en détention après qu'on eut découvert qu'ils « portaient des cartes les reliant aux explosions ». Leur camionnette « Urban Moving Systems » avait aussi été testée positive aux résidus d'explosifs. Trois des hommes, décrits comme étant de type « moyen-oriental », avaient été vus en train de faire la fête au Parc Liberty State après le premier impact, ce qui avait provoqué un appel à la « vigilance » du FBI. La police d'East Rutherford identifia la camionnette et procéda aux arrestations.

Le 14, le Général Hamid Gul, ancien directeur de l'Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanaise, interviewé par Newsweek, faisait part de son opinion selon laquelle « c'était un[e tentative de] coup d'État et je ne peux dire avec certitude qui en était l'auteur mais ce sont les Israéliens qui créent tant de souffrances dans le monde. Les Israéliens ne veulent voir aucun pouvoir à Washington qui ne soit soumis à leurs intérêts, et le président Bush ne s'est pas soumis. »

Le 16, il fut rapporté qu'Israël avait émis des « alertes urgentes » à propos d'un attentat imminent mais n'avait fourni aucun détail spécifique. Les services de renseignements américains nièrent l'alerte. Et le même jour, Ha'aretz rapporta que les cinq hommes détenus étaient israéliens. La prochaine information importante n'arriva pas avant le 8 octobre (trois semaines après la session ci-dessus). Les cinq hommes alors identifiés étaient Sivan & Paul Kurzberg, Yaron Schmuel, Oded Ellner & Omer Marmari. Les hommes avaient un cutter, 4 700 $ en espèces, des photos récentes du WTC en feu sur un appareil photo et l'un portait deux passeports. Au moins 4 des 5 travaillaient pour Urban Moving Systems (ce qui explique le cutter) et tous risquaient l'expulsion pour dépassement de visa et « autres infractions relatives à l'immigration ».


Au cours des années suivantes, plusieurs détails supplémentaires vont émerger. Après s'être opposé aux injonctions de la police de quitter le véhicule et avant qu'une quelconque raison ne leur soit donnée quant à leur arrestation, Sivan Kurzberg a déclaré : « Nous sommes Israéliens. Nous ne sommes pas votre problème. Vos problèmes sont nos problèmes. Les Palestiniens sont le problème. » Un autre a menti à propos de l'endroit où ils étaient, disant qu'ils étaient sur la Douzième Avenue pendant les attentats. Le FBI révélera que deux des hommes (les Kurzberg) étaient des agents du Mossad et que tous étaient en mission de surveillance pour le Mossad. (Il y a très peu d'agents du Mossad officiels - la plupart sont « bénévoles » c-à-d non déclarés.) Tous les cinq furent relâchés et expulsés vers Israël le 20 novembre 2001, après 71 jours de détention. Ils prétendirent avoir été torturés. Deux autres employés de Urban Moving Systems avaient été arrêtés le 12 septembre : Roy Barak et Motti Butbul.

Le propriétaire de Urban Moving Systems, Dominick Suter, avait été interrogé le 12 septembre mais quand le FBI était revenu quelques jours plus tard, il était introuvable, ayant pris l'avion pour Israël avec sa femme le 14. Christopher Ketcham rapporta plus tard : « Le départ de Suter a été précipité, il a laissé derrière lui des tasses de café, des sandwiches, des téléphones portables et des ordinateurs éparpillés sur les bureaux et des milliers de dollars de marchandises en stock. » Le nom de Suter apparut plus tard sur la Liste de Suspects du FBI de mai 2002, aux côtés de Mohammed Atta et des autres pirates de l'air présumés. Le FBI déclarera plus tard à ABC News que « Urban Moving peut avoir fourni une couverture à une opération des renseignements israéliens ». Le Jewish Daily Forward a abouti à la même conclusion : que Urban Moving Systems était une « opération de couverture » des renseignements israéliens. Deux anciens agents de la CIA le confirmèrent à Chris Ketcham, faisant remarquer que « les camionnettes de déménageurs sont une couverture courante pour les services de renseignements ». Ketcham écrit aussi :
Un « ancien responsable des renseignements américains de haut rang », qui disait avoir été « régulièrement tenu au courant de l'enquête par deux responsables des forces de l'ordre différents » a raconté au journaliste Marc Perelman qu'après que les autorités américaines aient confronté Jérusalem fin 2001, le gouvernement israélien « a reconnu l'opération et s'est excusé de ne pas l'avoir coordonnée avec Washington ». ... Depuis le début, « l'enquête du FBI avait été conduite avec l'hypothèse que les Israéliens savaient à l'avance » selon [l'ancien directeur des opérations antiterrorisme avec la CIA Vincent] Cannistraro. ... Cependant, avant que ces questions n'aient été entièrement explorées, l'enquête fut arrêtée. A la suite de ce qu'ABC News a décrit comme « des négociations de haut niveau entre des fonctionnaires israéliens et américains », un accord fut trouvé dans l'affaire des cinq suspects d'Urban Moving Systems. Une intense pression politique avait apparemment été exercée. Le quotidien réputé Ha'aretz rapporta que la dernière semaine d'octobre 2001, quelques six semaines après que les hommes aient été placés en détention, le Secrétaire d'État adjoint Richard Armitage et deux « éminents membres du Congrès de New York » non-identifiés, faisaient fortement pression pour leur libération. Selon une source proche du 20/20 d'ABC News, le pénaliste bien en vue Alan Dershowitz est aussi intervenu en tant que négociateur au nom des hommes pour aplanir les différends avec le gouvernement américain.
Un indice des plus révélateurs était apparu la veille du 11 septembre. Dans un rapport écrit pour le chef d'État-major, un groupe d'étudiants de seconde année de l'Army School of Advanced Military Studies (SAMS) décrivait l'armée israélienne comme « un animal incontrôlable en Israël » qui est « bien armé et entraîné » et « connu pour enfreindre les lois internationales pour accomplir ses missions ». A propos du Mossad, le rapport disait : « Joker. Impitoyable et sournois. A la capacité de cibler les forces américaines en donnant l'apparence d'une action palestinienne/arabe. »

Depuis les révélations des « 5 Israéliens qui dansent », des chercheurs ont été beaucoup plus loin dans leur enquête sur la complicité israélienne/Mossad dans les attentats. Par exemple, voyez ce recueil de ressources pour bon nombre d'entre elles (résumées ici ; [et ici, en français - NdT]). Et en plus du général pakistanais Gul, quelques autres personnalités ont accusé le Mossad, y compris le président d'Italie, Francesco Cossiga (« Les services secrets américains et européens savent parfaitement que cette attaque désastreuse fut planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad avec l'aide du monde sioniste, dans le but d'accuser les pays arabes de terrorisme et de pouvoir ainsi attaquer l'Irak et l'Afghanistan. »), et l'ancien ministre allemand, Andreas von Bulow.

Pandémie et Palestine

Le 24 septembre 2001, dix jours après la session citée à propos du 11 septembre, cet échange eut lieu :
Q : (L) Va-t-il y avoir n'importe quel autre genre de violence, comme des bombes ou des avions envoyés sur des édifices, ou un lâcher d'anthrax ou de variole, ou n'importe quel autre type de guerre chimique ou bactériologique ? Quoi que ce soit de tout ça ?

R : Oui.

Q : (L) Lesquels ?

R : Grand risque de sortie de microbe.

Q : (L) Quel genre de microbe ?

R : Influenza.

Q : (L) Voulez-vous dire une forme mortelle de grippe ?

R : Oui.

Q : (L) Mais rien comme l'anthrax, la variole ou un de ces trucs vraiment malsains ? Est-ce cela ?

R : Non. Continuez à observer et écouter. [HK : Les attaques à l'anthrax de 2001 s'étaient produites une semaine auparavant, infectant 22 personnes et en tuant 5.]

Q: (L) Et bien nous en avons l'intention. Que va-t-il se passer avec la situation au Moyen-Orient ; l'Afghanistan ou autre ?

R : Entassement de la population pour un niveau de contrôle beaucoup plus fin.

Q: (L) Quel est le but de ce contrôle ; ce contrôle croissant ?

R : Préparation à la guerre en Palestine.

Q: (L) Mais personne n'a dit quoi que ce soit à propos d'une guerre en Palestine. Ils parlent tous de guerre en Afghanistan. Comment la Palestine s'intègre-t-elle là-dedans ?

R : C'est l'objectif ultime d'Israël.

Q: (L) Pourquoi voudraient-ils une guerre dans leur propre pays ? Bon, mis à part le fait qu'ils sont en guerre dans leur propre pays depuis longtemps. Je suppose qu'ils veulent la mener à terme. Quel va être le résultat de ce plan ?

R : Destruction des Juifs.
De manière intéressante, les deux événements suggérés ci-dessus - une épidémie de grippe et une guerre en Palestine - se sont tous les deux produits début 2009. Le Massacre de Gaza (« Operation Plomb Durci ») débuta le 27 décembre 2008 pour cesser le 18 janvier. En trois semaines, 1 417 Palestiniens furent assassinés, ainsi que 13 Israéliens (dont 4 à cause de tirs alliés). Le rapport ultérieur du juge sud-africain Richard Goldstone accusa à juste titre les Israéliens de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. Sans surprise, il rencontra un barrage de controverse et de propagande.

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Quatre mois plus tard, en avril, les premières annonces d'une possible épidémie de grippe au Mexique et au sud-ouest des États-Unis frappèrent les ondes. Dans ce qui allait devenir la « pandémie de grippe porcine » 2009, plusieurs personnes furent frappées par un « nouveau » virus de la grippe H1N1 (dont une « version » antérieure était responsable de l'épidémie de grippe de 1918). Apparemment, l'épidémie humaine avait débuté en février. Après s'être répandue rapidement, l'OMS déclara une pandémie mondiale le 11 juin, la première depuis la grippe de Hong Kong de 1968. En mai 2010, elle aurait causé entre 9 000 et 18 000 morts. (En comparaison, les estimations de mortalité pour la pandémie de 1918 s'élèvent à 130 millions de morts.)

Le virus était un véritable cocktail de maladies, avec des morceaux de virus de la grippe humaine, aviaire et porcine d'Amérique du Nord et d'Eurasie. La pandémie déclencha une campagne et une ruée ridicules sur les vaccins (par ex., la Norvège, avec seulement 23 cas, commanda 9,4 millions de vaccins) et créa en général un climat d'hystérie totalement hors de proportion avec la menace réelle. Comme SOTT l'écrivait à l'époque, « Considérez aussi le fait que le CDC travaillait sur la combinaison de virus de grippe en 2004. Une «nouvelle» souche nécessiterait un autre round extrêmement cher (et profitable) de développement et de marketing de vaccin. »

Pas d'Espèces, une VISA

Étant donné la crise financière mondiale actuelle, en particulier la situation impliquant actuellement la Grèce, j'ai pensé qu'il serait approprié d'examiner ce que les Cs disaient le 16 octobre 1994 :
Q : (L) Quelle est la signification du nombre 666 dans L'Apocalypse ?

R : Visa. [HK : D'après ce qui vient ultérieurement dans la session : « VI équivaut à 6 en chiffres romains. S équivalait à 6 en Égyptien ancien. A équivalait à 6 en Sanskrit. VISA, vous voyez, équivaut à 666. » Pour autant que je puisse dire, le symbole du 6 en Égyptien hiératique ressemblait plus à notre lettre « z », dont la forme de la minuscule grecque, cependant, ressemble à un « s » plus courbe (ζ). Notre chiffre 6 provient en fait de l'Inde, mais les représentations les plus primitives ressemblaient plus à un « e » cursif. Aussi, pas vraiment dans le mille, sur la base de ce que j'ai pu trouver, à moins que vous ne considériez la prononciation phonétique de Visa : ˈviːzə.]

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© Inconnu
Q : (L) Vous parlez de la carte de crédit ?

R : Oui.

Q : (L) Les cartes de crédit sont-elles l'œuvre du 666, de ce qu'il représente ?

R : Oui.

Q :(L) Devons-nous nous débarrasser de toutes les cartes de crédit ?

R : A vous de voir.

Q : (L) Cela serait-il plus dans notre intérêt que de ne pas nous couper du système de crédit ?

R : Le crédit n'est-il pas aussi simplement du débit ?

Q : (L) Est-ce une affirmation ?

R : Comment allez-vous vous y prendre ?

Q : (L) Et bien, avez-vous des suggestions quelconques ?

R : Le monde n'aura bientôt plus que du crédit et du débit. N'avez-vous pas entendu parler de cette nouvelle carte de débit visa ? Voilà l'avenir de l'argent : contrôlé par le système bancaire mondial, alias la Fraternité, alias les Lézards, alias l'Antéchrist.

Q : (L) Mais si je ne possède pas de carte crédit, je n'ai pas à faire partie de ce système, non ?

R : Si. Vous n'aurez pas le choix : en faire partie ou mourir de faim.
Bon, nous n'en sommes pas encore tout à fait là, mais apparemment seulement 7 % des transactions financières aux États-Unis sont actuellement réalisées en espèces et quelques grands pontes de l'industrie financière font pression pour une « société sans argent liquide ». Apparemment, « l'argent liquide coûte cher », selon le vice-président directeur de Visa Europe, Steve Perry. Ce fut rapporté en septembre 2011. Regardez ces gros titres depuis lors :

marque de la Bête
© theology21.com
20 mars 2012 : La Suède abandonne peu à peu les paiements en espèces

19 mars 2012 : 5 et 10 cents : Les États-Unis économiseraient-ils de l'argent en passant à une économie sans espèces ? (Slate.com a même une archive dédiée au sujet : 10 articles en un mois.)

29 mars 2012 : Visions d'une société sans argent liquide : échos

15 avril 2012 : Une société sans argent liquide est-elle inévitable ?

13 juin 2012 : Société sans argent liquide : avons-nous même besoin d'espèces ?

Avec toute cette couverture médiatique qui arrive à ce moment, j'espère que les lecteurs me pardonneront mon cynisme de penser que quelque chose clairement « fabriqué » est en effet à l'œuvre. Comme cet article du blog Economic Collapse le dit : « Oui, une société sans argent liquide arrive. Y êtes-vous prêts ? »

Pour Résumer

Essayer de donner du sens au chaos fait partie de la nature humaine. Observez une image confuse et votre esprit essaiera de « recoller les morceaux » en quelque chose d'intelligible. Et c'est gratifiant quand ça s'assemble. « Aha ! » Toutefois, disons que cette image soit la preuve d'un crime. Le criminel a tout intérêt à la garder obscure, que cela signifie brûler les preuves ou influencer votre perception du flou en question. Quand la vérité est un obstacle à notre ambition, les mensonges sont la seule option et cela nous brouille avec quoi que ce soit de nature vraiment humaine ou spirituelle. Cela nous met dans une position qui va à l'encontre de la réalité, la faisant entrer de force dans quelque chose qu'elle n'est pas. Réduire au silence ceux qui mettent en doute votre réalité fabriquée - et qui risquent donc d'éveiller les autres à la vérité et à votre propre chute - suit naturellement.

Cela oblige ceux qui font les frais de la propagande à faire un choix décisif. Cela impose les questions : Qu'est-ce qui a vraiment de la valeur pour vous ? Accepterez-vous de vous faire embobiner si cela signifie une vie relativement confortable ? Ou emprunterez-vous « la voie périlleuse de la vérité ? C'est la spiritualité.

Épisodes précédents :

Le Palmarès des Cassiopéens n°1 : Prophétie, Prédiction et Présages de Choses à Venir
Le Palmarès des Cassiopéens n°2 : la Science de l'Espace et du Climat s'est déchaînée
Le Palmarès des Cassiopéens n°3 : l'Histoire, c'est des Foutaises
Le Palmarès des Cassiopéens n°4 : la Nature, l'Éducation et mes Gènes de Singe
Le Palmarès des Cassiopéens n°5 : le Dr Greenbaum et les Candidats Mandchous
Le Palmarès des Cassiopéens n°6 : Dansons le twist planétaire sur l'air des Frères Héliopolis
Le Palmarès des Cassiopéens n°7 : Étoile Compagne du Soleil, Pierres qui chantent et Visions de Fumée