OF THE
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« Oui, eh bien, le plus gros problème que je vois en rapport avec cette crise du Covid est que les droits civils fondamentaux sont de plus en plus restreints, et je ne peux pas expliquer pourquoi les citoyens des États membres laissent faire. »Et elle poursuit :
« Je pense qu'une explication à cela pourrait être que — et c'est un grand désavantage des sociétés démocratiques libres — elles atteignent un moment donné où elles croient que la démocratie, l'état de droit et la liberté sont en quelque sorte quelque chose de divin et ont toujours existé. Et on ne se soucie plus du tout du fait que, non, ces choses ont dû être arrachées dans le sang aux dirigeants. Il n'y a donc plus du tout de compréhension de la valeur de la liberté elle-même.
Et c'est ce que nous voyons maintenant dans cette crise. En principe, les droits fondamentaux — en Allemagne, ils sont constitutionnellement ancrés dans la Loi fondamentale — sont simplement distribués par les gouvernements comme des privilèges ou retirés à nouveau. Et on a l'impression que les droits fondamentaux ne peuvent être revendiqués que par ceux qui se comportent bien. Et je dois le dire très clairement : je n'ai pas peur du Covid.
Ce dont j'ai réellement peur, c'est des gouvernements qui exploitent de telles "crises" pour restreindre les libertés civiles et les accorder ou non, tels des privilèges. Et cela doit cesser, c'est ce que nous défendons en Europe, la liberté, la démocratie et l'État de droit. Et aucun gouvernement ne devrait, ne peut ou ne pourra jamais les restreindre sous quelque prétexte que ce soit. Et c'est là le grand problème, et nous devons nous y attaquer, et nous devons le faire comprendre aux Européens : qu'ils ne laissent pas cela durer plus longtemps. Merci beaucoup. »
Note du traducteur : Voir aussi à ce sujet Covid-19 - La catastrophe humanitaire provoquée par le Plan diabolique de « confinement » mondial voulu par Bill Gates, Rockefeller et autres psychopathesDans son dernier rapport, « Le véritable coût de l'alimentation — Mesurer ce qui compte pour transformer le système alimentaire des États-Unis », la Fondation Rockefeller est profondément engagée dans un effort coordonné visant à changer de manière radicale la façon dont nous produisons les aliments et dont nous calculons leur coût réel. Ils prétendent que cela fait partie d'un consensus mondial, par le biais de l'ONU, pour créer une agriculture « durable » dans le contexte d'effondrement lié à l'actuelle [soi-disant - NdT] crise de Covid-19. Loin de représenter un changement positif, cette campagne vise à modifier radicalement notre accès à une alimentation saine et notre possibilité de choisir ce que nous mangeons. La fondation, qui vient de publier son deuxième rapport sur l'alimentation en deux ans, s'associe au Forum économique mondial de Davos et aux grandes entreprises agroalimentaires pour mener cette campagne. Leur nouveau slogan est « Le vrai coût de l'alimentation ».
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