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Flashback L'incroyable Pétrole Bleu qui pourrait changer le cours de l'histoire

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Incroyable découverte que celle du Bio Pétrole produit par la société BFS (Bio Fuel System) ! Appelée Pétrole Bleu, cette biomasse présentant tous les avantages énergétiques du pétrole naturel sans ses multiples inconvénient pourrait bien changer le cours de notre histoire... Pas sûre que les pétroliers apprécieront l'initiative...
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme disait Lavoisier. Aujourd'hui, il est désormais possible de valoriser le CO2 en une véritable source d'énergie de qualité, similaire au pétrole d'origine fossile, propre, inépuisable et économiquement viable » (Bernard Stroïazzo-Mougin, Président-fondateur de bio fuel systems)
Un pétrole ne contenant ni métaux lourds ni souffre, produit sans prélèvement sur la biodiversité ni manipulations artificielles et offrant les mêmes avantages que le pétrole naturel, aussi incroyable que cela puisse paraître c'est aujourd'hui possible!

Inspiré du processus naturel de formation du pétrole fossile, la technique de conversion accélérée du CO2 (processus de synthèse) employée par BFS consiste à capturer les émanations de CO2 rejetées par les usines avoisinantes puis de le convertir en biomasse puis en pétrole artificiel par photosynthèse.

Obtenu par reproduction cellulaire, le phytoplancton marin, une micro-algue fixant la moitié du CO2 dégagé sur notre planète, est l'élément central du processus.

Commentaire: Un remplaçant du pétrole facile à produire ne sera jamais autorisé à voir le jour à grande échelle, trop d'enjeux, il faut pouvoir contrôler qui a accès à l'énergie.


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En vidéo : nuit d'orages sur l'Afrique filmée depuis l'ISS

Les occupants de la Station spatiale internationale ont filmé un survol nocturne du continent africain à la fin du mois de décembre 2011. Le spectacle était alors sur Terre mais également dans le ciel...


La nuit africaine vue depuis la Station spatiale internationale. © Image Science & Analysis Laboratory, Nasa Johnson Space Center/ YouTube

En s'envolant le 21 décembre dernier pour l'ISS, les astronautes André Kuipers (Européen), Don Pettit (Américain) et Oleg Kononenko (Russe) ont rejoint leurs collègues russes Anton Chklaperov et Anatoli Ivanichine ainsi que l'Américain Dan Burbank, formant le trentième équipage de la Station. L'ISS n'est plus désormais ravitaillée que par des vaisseaux Soyouz depuis le retour de la dernière navette (Atlantis) en juillet 2011, en attendant la mise en service de nouvelles capsules conçues par des sociétés privées. Toujours sous le charme de la Terre vue de l'espace, les occupants de l'ISS produisent régulièrement des images et des vidéos de notre planète, voire de grands spectacles célestes. Ils le font quand leur travail leur en laisse le temps ou qu'ils ne sont pas occupés à manœuvrer la Station pour éviter un débris spatial.

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Une météorite d'origine martienne tombée au Maroc

Une météorite de sept kilos tombée au Maroc en juillet est d'origine martienne, a confirmé la Meteoritical Society, l'association scientifique internationale de référence. Un groupe de huit experts de cette organisation a analysé pendant plus d'un mois des fragments de la météorite et conclu qu'elle provenait bien de la Planète rouge, a précisé mercredi 18 janvier Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'Université du Nouveau Mexique.

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué. La rareté de cette météorite martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes. Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des milliers d'années avant de rencontrer la Terre.

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La NASA découvre une nouvelle forme de vie, une bactérie à l'arsenic

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Une nouvelle forme de vie a été découverte par des scientifiques de la NASA, au fond du Lac Mono en Californie. Une bactérie aurait la capacité de se développer à l'aide de l'arsenic, un poison naturel très violent.

La découverte a fait le tour du monde et bouleverse littéralement les recherches sur la vie.

La bactérie observée par les chercheurs aurait non seulement les moyens de survire à l'arsenic, mais elle l'aurait également intégrée partiellement dans ses cellules et dans son ADN.

Cette découverte majeure pour la communauté scientifique redéfinirait ce que la science considère comme élémentaire pour le développement d'une forme de vie, car jusqu'à présent les six éléments considérés comme indispensable ne pouvaient pas être autres que l'oxygène, l'hydrogène, le carbone, l'azote, le soufre et le phosphore.

Satellite

Hubble observe une très lointaine supernova

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"SN Primo", une supernova lointaine repérée par Hubble. Crédit : NASA/ESA/STScI
L'astre a explosé il y a 9 milliards d'années et sa lumière ne nous parvient qu'aujourd'hui. Equipé de sa caméra infrarouge à grand champ (la Wide Field Camera 3), le télescope spatial Hubble a repéré la plus lointaine supernova dont la distance ait été mesurée par spectroscopie - la seule méthode permettant de donner une distance précise aux objets lointains.

« SN Primo »

SN Primo, c'est son nom, est une supernova de type Ia (SN Ia). Ce type d'explosion survient lorsqu'une étoile naine blanche a siphonné tant de matière d'une étoile compagne qu'elle dépasse la masse critique de 1,4 masse solaire, au-delà de laquelle elle n'est plus stable.

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Les planètes possédant deux soleils seraient loin d'être rares

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Rien que dans notre galaxie, il existerait des millions de planètes possédant deux soleils à l'image de Kepler-16b récemment découverte, d'après une nouvelle étude.

En septembre dernier, des astronomes ont annoncé une découverte étonnante : ceux-ci sont parvenus à dénicher une planète qui tourne autour de deux soleils. Baptisée Kepler-16b, celle-ci constituait alors une trouvaille inédite et très inattendue. Mais aujourd'hui une nouvelle étude révèle que les planètes à posséder deux soleils seraient en fait beaucoup plus nombreuses que prévu. Elles constitueraient même une nouvelle classe de monde à part entière : les planètes circumbinaires.

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SOTT Focus: Le Palmarès des Cassiopéens n°4 - La nature, l'éducation et mes gènes de singe

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Le lecteur devrait maintenant saisir l'idée : l'approche de SOTT.net envers l'Expérience Cassiopéenne est réellement de celles composées de 10 % d'inspiration et de 90 % de transpiration. Une question posée, ou une réponse donnée, suffit souvent à inspirer toute une lignée de recherches qui mènent à des données et des conclusions qui ne peuvent être que secondairement liées à la question d'origine. C'est tout ce qui importe : la découverte, et en ce sens, les données des transmissions cassiopéennes relèvent plus du Fil d'Ariane que du Livre des « Révélations Divines ». Les indices fournis amènent les personnes intéressées à entreprendre des recherches à travers un vaste labyrinthe d'informations et de « désinformation » vers ce que j'aime à appeler le cœur du sujet : ces domaines d'études qui ne sont pas seulement cruciaux pour parvenir à comprendre la condition humaine et la nature du cosmos, mais qui sont aussi étroitement interconnectés et toujours apparemment une étape au-delà de ce qui est couramment considéré comme la « connaissance ordinaire ». En d'autres termes, un mystère en révèle un autre, et puis un autre. C'est un voyage sans fin de découverte, ce qui, je pense, se situe au cœur de la science et du mysticisme. N'importe quoi d'autre, comme la croyance que « nous savons maintenant tout ce qu'il y a à savoir sur le sujet » ne mène qu'à la stagnation intellectuelle et à la mort de la curiosité. Comme nous aimons à le dire par ici, il n'y a pas de repas gratuit... ni de textes infaillibles.

Pour les curieux, la recherche inspirée par l'expérience cassiopéenne a mené l'équipe de SOTT vers de nombreux sujets sur lesquels nous nous concentrons. Sans eux, et les expériences de la vie que nous n'aurions sûrement jamais vécues si nous ne nous étions pas engagés dans ce projet, nous n'aurions probablement jamais appris tout ce que nous savons sur l'histoire et le danger d'une catastrophe cométaire, la nature électrique de l'univers, la psychopathie, la ponérologie, la théorie polyvagale et la séparation du bon grain de l'ivraie quand on aborde le nombre immense de « théories conspirationnistes » sur le marché. Ou du moins, cela nous aurait pris beaucoup plus de temps. Après tout, tous ces domaines ont leurs spécialistes et défenseurs respectifs, ces francs-tireurs scientifiques qui sont arrivés à la conclusion que tout n'était pas correct dans leur champ d'étude particulier, que ce soit en histoire, en politique, en psychologie, en ufologie, en astrophysique, en météorologie ou n'importe quelle autre science. Mais ils le font généralement d'eux-mêmes, déconnectés du tableau plus vaste et de la manière dont tout cela s'imbrique. Souvent, ce processus leur prendra toute une vie de recherches, avec l'inconvénient que d'autres domaines possibles de recherches demeurent inabordés. (Observez les chercheurs en paranormal qui se moquent des « théories du complot » ou les conspirationnistes du 11 septembre qui se moquent des ufologues.) Mais nous essayons d'en assembler autant que possible pour fournir une vision de la réalité aussi complète que possible autant que nous le pouvons. Un de ces domaines, celui que je vais aborder ci-dessous a rapport à la génétique et aux possibilités inhérentes à cette mystérieuse brique de la vie : l'ADN.

Satellite

Une sonde russe tombera sur Terre dimanche

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© © ap
Les fragments de la sonde spatiale russe Phobos-Grunt, qui a échoué à se diriger vers Mars, devraient retomber dans l'océan Indien ce dimanche 15 janvier vers 12H00 GMT, entre Madagascar et le continent africain, a indiqué jeudi l'agence spatiale Roskosmos.
Selon la carte actualisée sur le site de Roskosmos, la sonde devrait tomber dans l'océan au nord de Madagascar et à l'est des côtes de la Tanzanie et du Kenya à 16h12 de Moscou (12H12 GMT).

"Un changement du lieu et de l'heure de la chute des fragments de Phobos-Grunt dépend du (rythme) de la baisse de son altitude en orbite, de l'activité solaire et des conditions atmosphériques", souligne néanmoins l'agence, qui précise chaque jour ses prévisions.

Mercredi, Roskosmos prévoyait que l'appareil allait tomber en plein coeur de l'océan Indien.

Telescope

La Voie Lactée contient plus de planètes que d'étoiles

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Contrairement à ce que les astronomes pensaient jusqu'alors, il y aurait plus de planètes que d'étoiles dans notre galaxie, d'après une étude tout juste publiée.

C'est une découverte surprenante que vient tout juste d'annoncer une équipe d'internationale d'astronomes. D'après les travaux que ceux-ci ont mené, il y aurait plus de planètes que d'étoiles dans notre galaxie. Des étoiles entourées de planètes, c'est donc "la règle, plutôt que l'exception" au sein de la Voie lactée, résume Arnaud Cassan, de l'Institut d'astrophysique de Paris, principal auteur de l'article qui paraît dans la revue scientifique britannique Nature. Selon les calculs statistiques de son équipe, il y aurait ainsi une proportion moyenne de 1,6 planète par étoile dans notre galaxie.

"Les planètes sont d'autant plus nombreuses qu'elles sont petites", précise M. Cassan. En effet, d'après les estimations de ces astronomes, 17% des étoiles ont une planète d'une masse comparable à celle de Jupiter, 52% des planètes de la taille de Neptune et 62% des "supers-Terre", des planètes cinq à dix fois plus massives que la Terre. "Il semble qu'il y ait littéralement des milliards de planètes ayant des masses similaires à la Terre en orbite autour d'étoiles dans la Voie lactée", indique son collègue Daniel Kubas dans un communiqué relayé par l'AFP.

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La Théorie Quantique des Evènements

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Les physiciens Arkadiusz Jadczyk (ci-dessus) et Philippe Blanchard ont développé une extension de la Théorie Quantique en terme d'Evènements, abrégée EEQT (Event Enhanced Quantum Theory), qui a le double intérêt à mes yeux:
- de rendre la mécanique quantique plus accessible à l'intuition, en la repositionnant dans un cadre classique où l'on travaille sur des évènements au lieu de particules,
- de la rapprocher de la théorie du chaos, la seule théorie à l'heure actuelle qui permet de bien saisir le "comment ça marche" des propriétés créatives de l'univers.
Un tel rapprochement me paraît fondamental pour résoudre la question majeure de l'action hypothétique de l'observateur sur la réalité. On entend souvent dire "L'observateur crée sa propre réalité", mais ceci est une interprétation totalement erronée de la mécanique quantique, qui a d'ailleurs donné lieu à la dérive idéologique et spirituelle (et dommageable, je le crains) du mouvement New-Age. Même si l'on peut dans une certaine mesure considèrer que l'univers est une co-création de l'ensemble des "unités de conscience" qui le peuplent, le mécanisme par lequel cette co-création advient est bien loin de se ramener à quelque chose d'aussi simple que "prendre ses désirs pour des réalités (le piège)", pour parler crûment. L'univers est évidemment bien plus subtil, et il faut saluer les efforts d'Arkadiusz Jadcyk en particulier, un physicien très prolifique en matière de publications internationales à comité de lecture (en français, on pourra consulter ce document où elle est citée et commentée, ou simplement consulter sa page web universitaire), en faveur d'une physique avancée, une physique de l'information où le futur est déjà réalisé et où la conscience de l'observateur fait peu à peu une digne entrée, via notamment les dimensions supplémentaires de l'espace.