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L'explorateur britannique George Murray
Levick, qui a failli mourir de froid et de faim lors d'une expédition désastreuse au Pôle Sud au début du XXe siècle, a avoué que le pire pour lui était... la perversité sexuelle des manchots de Terre Adélie.
Le Museum d'Histoire naturelle de Londres a exhumé une étude de référence de Levick, un rescapé de l'expédition Scott de 1910-13 dans l'Antarctique, qui décrit en détail les comportements sexuels de ces oiseaux, selon le Guardian.
Homosexualité, actes pédophiles sur des poussins et même tentatives de copulation de manchots mâles avec des femelles décédées sont décrits dans un article de Levick intitulé "Les habitudes sexuelles des manchots d'Adélie", qui avait été égaré pendant des dizaines d'années.
D'une moralité édouardienne rigide, Levick était tellement horrifié par ses propres découvertes qu'il les avaient d'abord rédigées en grec pour les rendre inaccessibles au lecteur moyen.
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