Les Maîtres du MondeS


USA

Face aux menaces US contre l'Iran, Chine et Russie désormais...

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Il y a des choses importantes qui se précisent autour des menaces US et israéliennes contre l'Iran et de l'état disons larvé de guerre existant d'ores et déjà. L'une d'elles est une menace précise qu'un tel acte évoqué partout (une attaque contre l'Iran) pourrait dégénérer en conflit beaucoup plus grave, impliquant la Russie et la Chine aux côtés de l'Iran. PressTV.com ne se prive pas de développer l'hypothèse, ce 1er janvier 2012, sous le titre abrupt qu'une « invasion [attaque] de l'Iran implique [de facto] une invasion [attaque] de la Russie et de la Chine ».
« Un analyste politique dit que la Russie et la Chine considèrent une action militaire des Etats-Unis contre l'Iran comme une attaque à leurs propres frontières et comme une menace à leur sécurité nationale. Les Etats-Unis assurent que la Russie et la Chine ne répondront pas militairement, mais ils se sont souvent trompés », a dit Shamus Cooke sur le site Global Research.

Cooke a expliqué que quand l'ancien président américain George W. Bush donna le feu vert au président georgien d'alors Mikhail Saakachvili pour attaquer l'Ossétie du sud en 2008, « la Russie a surpris tout le monde par sa réponse militaire et son écrasement de l'invasion georgienne ». « Attaquer la Syrie ou l'Iran ouvre les portes à un conflit régional bien plus grand, voire même à une guerre de proportion internationale », a insisté Cooke.

Le mois dernier, le major général Zhang Zhaozhong, professeur de l'université de la défense nationale chinoise, a dit que la Chine n'hésiterait pas à protéter la république islamique contre une attaque militaire, même si cela doit mener à la Troisième Guerre Mondiale. De plus, la semaine dernière, l'ambassadeur russe à l'ONU Vitaly Churkin a véhémentement critiqué tous plans d'attaque de l'Iran, décrivant la mesure comme étant "un scenario très dangereux" qui pourrait mener à une catastrophe regionale. »

USA

L'Iran face à une attaque à l'arme nucléaire : « Aucune option n'est écartée »

Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

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« Lorsqu'une guerre nucléaire sous l'égide des États-Unis devient un "instrument de paix" toléré et accepté par les institutions internationales et les plus importantes autorités, dont les Nations Unies, il n'y a pas de retour en arrière : la société humaine a été précipitée la tête la première et de manière indélébile sur la voie de l'autodestruction. » (Towards a World War III Scenario, Global Research, mai 2011)
Le monde est à un carrefour dangereux. Les États-Unis sont sur le sentier de la guerre.

La Troisième Guerre mondiale n'est plus un concept abstrait.

Les États-Unis et leurs alliés se préparent à lancer contre l'Iran une guerre nucléaire aux conséquences dévastatrices.

Cette aventure militaire, dans le vrai sens du terme, menace l'avenir de l'humanité.

Le modèle militaire mondial du Pentagone en est un de conquête du monde.

Le déploiement militaire des forces des États-Unis et de l'OTAN a lieu simultanément dans plusieurs régions du monde.

Les prétextes de guerre et les « justifications » abondent. L'Iran est présenté comme une menace pour Israël et le reste du monde.

La guerre contre l'Iran est sur la planche à dessin du Pentagone depuis plus de huit ans. Récemment, une nouvelle série de menaces et d'accusations ont été proférées à l'endroit de Téhéran.

USA

Téhéran avertit Washington de ne pas envoyer son porte-avions dans le Golfe

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© © AFP/ EBRAHIM NOROOZI / JAMEJAM ONLINE
L'Iran a réclamé mardi que les Etats-Unis ne renvoient plus leur porte-avions dans le Golfe où l'Iran mène des exercices navals, ont rapporté les médias iraniens.

"L'Iran ne répétera plus son avertissement. Un porte-avion ennemi est arrivé dans le détroit d'Ormuz (importante voie d'acheminement d'hydrocarbures) en raison de nos exercices. Je recommande et j'insiste pour que le porte-avions américain ne retourne plus dans le Golfe", a déclaré le général Ataollah Salehi, commandant en chef des Forces armées iraniennes.

L'Iran "prendra des mesures de rétorsion" si le porte-avions, qui a récemment traversé la zone des exercices pour se rendre dans la mer d'Oman, retourne dans le Golfe. "Nous n'avons pas l'habitude de répéter nos avertissements", a indiqué le général iranien.

Les forces navales iraniennes, qui mènent des manœuvres près de la côte sud du pays depuis le 24 décembre, ont découvert jeudi dernier le porte-avions américain John C.Stennis patrouillant à une faible distance des navires iraniens. Les manœuvres iraniennes se déroulent dans un secteur de 2.000 km², entre le détroit d'Ormuz et la mer d'Oman.

Gear

Une drôle de chose s'est produite sur le chemin (du changement de régime) de Damas

Traduction : Dominique Muselet pour LGS

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1 janvier 2012 "LRB" - La presse occidentale a dûment - et sans le moindre souci d'objectivité - répété les histoires horribles qui courent sur le "siège de Homs" (photo) par le gouvernement syrien -à savoir que 4000 soldats du gouvernement bombardent la ville aveuglément, que des tireurs d'élite tirent sur les gens qui passent dans la rue, et même que des soldats creusent des tranchées pour empêcher les habitants innocents d'échapper au massacre de masse. L'Observatoire Syrien des Droits de l'Homme, basé à Londres et dont l'information provient de ses contacts parmi leurs alliés rebelles en Syrie (comme c'était le cas pour la myriade de "groupes humanitaires libyens" qui opéraient en Angleterre, aux Etats-Unis et en Suisse) a pimenté son site web avec des récits épouvantables de meurtres et de destruction à Homs, en parlant d'un dimanche " de Noël sanglant".

L'Observatoire Syrien affirme que 34 personnes ont été assassinées à Homs dans la seule journée de lundi. Le New York Times a rapporté qu'on pressait les observateurs de la Ligue Arabe de se rendre à Homs avant que la ville ne soit complètement détruite.

Mais certains n'ont pas été mis au courant.

USA

SOTT Focus: C'est là que se termine l'illusion américaine - 2012, la fin du monde tel que nous le connaissons

« Tout comme la nuit, l'oppression ne tombe pas d'un seul coup... Il y a un crépuscule où tout reste en apparence inchangé. Et c'est dans un tel crépuscule que nous devons être le plus conscient du changement - quoique subtil - qui se profile, de crainte que nous ne devenions les victimes involontaires de l'obscurité. » William O. Douglas, Cour suprême des États-Unis de 1939 à 1975.
US flag at Guantanamo
© Brennan Linsley/Pool/ReutersUn drapeau des États-Unis flotte à travers l'enceinte en fils barbelés de la prison de Camp Delta au camp de Guantanamo en 2006

Depuis que le Sénat des États-Unis a approuvé l'infâme FY 2012 National Defense Authorization Act [NDAA, loi qui établit le budget et les dépenses du Département de la Défense pour l'année fiscale 2012], je suis d'humeur très pessimiste. Il y a quelques jours, il y avait l'espoir qu'Obama y oppose son veto - non pas parce que l'homme et ses conseillers juridiques se souciaient de la raclée que se prendraient alors les droits de l'homme et du citoyen mais parce que le code « récuserait ou gênerait la capacité du président à recueillir des renseignements, à mettre hors d'état de nuire de dangereux terroristes et à protéger le peuple américain » ; en d'autres termes, parce que l'autorité du président pourrait être en quelque sorte limitée (Dieu nous en préserve). Maintenant ce mince espoir s'est envolé ; Obama a renoncé à la menace du veto et plus rien n'empêche un talon de fer d'expédier n'importe lequel d'entre nous - Américain ou non - au camp de Guantanamo.

Cela pourrait-il être pire que cela ? La situation était déjà mauvaise avec Bush et sa clique de néocons qui repoussaient les limites du démantèlement de la Constitution des États-Unis. Vous souvenez-vous à quel point nous étions naïfs de croire qu'un changement d'administration ferait cesser ces absurdités draconiennes ? Que Barack Obama allait vraiment « changer les choses » et redresser ce qui allait si mal sous l'administration de Bush ? Certaines personnes s'accrochent toujours à cet espoir parce qu'elles croient sincèrement que les États-Unis sont essentiellement un pays démocratique fondé sur de solides principes de moralité et de justice, même s'il dévie ici ou là. Sûrement que le beau et éloquent Barack arrangera les choses, non ?


Vader

La nouvelle Constitution hongroise, aux accents nationalistes, entre en vigueur

Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté lundi 2 janvier à Budapest contre la nouvelle Constitution hongroise, jugeant qu'elle porte atteinte à la démocratie, tandis que le gouvernement célébrait l'entrée en vigueur de celle-ci lors d'une cérémonie dans la capitale. Les organisateurs de la manifestation, intitulée "Il y aura de nouveau une république", ont indiqué que près de 100 000 personnes se sont rassemblées en fin d'après-midi sur l'une des principales artères de la capitale.

Le parti socialiste MSZP, le parti écologiste de gauche LMP et le nouveau parti DK de l'ancien premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsany ont participé au rassemblement. Les manifestants ont crié des slogans contre le gouvernement du premier ministre, Viktor Orban, et brandissaient des pancartes indiquant "Assez !", "Dictature d'Orban", "Orbanistan".

Black Cat

Les milices sèment encore la terreur en Libye

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Les nouvelles autorités libyennes éprouvent toutes les peines du monde à rétablir la sécurité dans le pays et butent encore sur l'épineux problème des milices armées qui ne veulent toujours pas déposer les armes.

La population appelle à leur désarmement

Preuve que la situation est actuellement aussi précaire qu'incontrôlable, un groupe armé libyen a dérouté samedi, avec une facilité déconcertante, une patrouille des gardes-frontières tunisiens sur la frontière tuniso-libyenne. Trois agents de cette patrouille ont pu échapper in extremis au traquenard, alors qu'un quatrième a été séquestré durant une journée avant d'être relâché hier. L'« incident », dénoncé avec véhémence par Tunis, s'était produit à la veille d'une visite du président tunisien à Tripoli.

Excédés par le climat de terreur qui règne sur leur ville, les Benghazis sont sortis nombreux hier dans la rue pour réclamer le désarmement, sans plus attendre, de ces milices armées.

Rassemblés sur la place des Martyrs, des milliers de personnes ont ainsi exprimé leur rejet de toute forme du port illégal d'armes dans la ville. « Nous exigeons l'éradication de ce phénomène (port d'armes) dans toutes les rues de la ville », ont scandé les Benghazis, appelant « les nouvelles autorités du pays à accélérer la formation de l'Armée nationale libyenne ».

USA

Meilleur du Web: 2012 : Totalitarisme américain sans frontière

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En signant la NDAA (National Defense Autorisation Act) qui confère au Président américain des pouvoirs dictatoriaux de détention militaire illimitée sans jugement de TOUS Américains et étrangers partout dans le monde Obama - premier président noir américain - détruit la Constitution US , la Bill of Rights, viole le Droit International, ouvre grandes les portes des futurs camps de concentration américains aux US et dans les pays hébergeant des bases américaines. Serait ce là un dispositif pour empêcher toute opposition à une guerre régionale (Moyen Orient : Syrie Liban Iran) initiée par Israël dégénérant en guerre mondiale dans un contexte de chaos économique organisé ?

En signant le NDAA une loi votée par le Congrès US qu'Obama avait auparavant dit qu'il ne ratifierait pas - ce n'est pas le premier mensonge ni le dernier de ce dictateur noir déguisé en « Prix Nobel de la Paix » - il vient de commettre l'irréparable contre la Constitution américaine fleuron des US.

L'administration Obama a œuvré d'arrache pied pour faire voter cette loi fasciste tout en prétendant de par le monde vouloir défendre la Liberté, la Démocratie, ceci afin que le président actuel lui-même et ceux qui le suivront aient les pleins pouvoirs en matière de détention militaire illimitée de n'importe qui américain ou étranger sur le territoire des US et partout dans le monde.

Syringe

Chavez évoque une technologie américaine pour inoculer le cancer

CARACAS - Le président vénézuélien Hugo Chavez a évoqué mercredi l'existence d'une technologie américaine pour inoculer le cancer, au lendemain de l'annonce du cancer de la présidente argentine Cristina Kirchner, victime de la maladie dans la foulée de plusieurs de ses homologues du continent.

Ne serait-il pas étonnant qu'ils aient développé une technologie pour inoculer le cancer sans que personne ne le sache?, a avancé M. Chavez au sujet des Etats-Unis, cible récurrente de ses critiques et, parfois, de ses dérapages verbaux.

M. Chavez, qui affirme s'être remis d'un cancer dans la zone pelvienne dont il a été opéré en juin, a assuré de pas vouloir lancer d'accusation hâtive mais a insisté sur l'étrangeté de la série de cancers dont ont été victimes les présidents et ex-présidents sud-américains depuis 2009.

La présidente argentine est devenue mardi, après les Brésiliens Luiz Inacio Lula da Silva et Dilma Roussef, le Paraguayen Fernando Lugo et le Vénézuélien Hugo Chavez, le cinquième chef ou ex-chef d'Etat d'Amérique du Sud à avoir souffert d'un cancer ces dernières années.

Bomb

Londres publie son plan pour une invasion de la Syrie

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La "Henry Jackson Society" de Londres, un think-tank de l'impérialisme libéral britannique, vient de publier son plan, pour une invasion anglo-américaine de la Syrie.

Une telle opération, pour laquelle, tous les moyens sont, actuellement mis en œuvre, par Londres, précipiterait le monde vers un conflit nucléaire entre les Etats-Unis et la Russie. La "HJS" a été fondée, à Cambridge, en 2005, par des membres de l'establishment impérialiste britannique et leurs disciples néo-conservateurs américains. Dans leur scénario, les partisans de "Scoop Jackson" (un sénateur américain va-t-en-guerre de la période Maccarthyste) proposent à l'OTAN ou à une coalition anglo-franco-américano-turque, de commencer par une campagne de frappes aériennes préventives, afin de neutraliser les défenses anti-aériennes de la Syrie, suivie d'opérations réduites au sol. Le "SAS" britannique et les forces spéciales des Etats-Unis, de Turquie et du Qatar se déploieraient, en coordination avec les forces rebelles, pour établir une «zone de sûreté, en Syrie» - une «Benghazi syrienne» - servant de base d'opérations, pour les insurgés, et où seront installés des équipements de cryptage et de télécommunication, notamment, pour diffuser des programmes radio et télé «Syrie libre». En ce qui concerne la justification légale de l'attaque, la "HJS" suggère : «Une résolution de l'ONU, critiquant, simplement, le régime Assad, pourrait toujours être utilisé, comme prétexte à une intervention». Mais comme la Russie et la Chine bloqueraient toute décision du Conseil de sécurité, poursuit le document, l'Assemblée générale de l'ONU pourrait invoquer la résolution 377A d'«Union pour le maintien de la paix» utilisée, en 1950, pour autoriser le recours à la force, en Corée, malgré le véto soviétique.