Les Maîtres du Monde
« La ministre des Affaires étrangères l'a assuré a plusieurs reprises, elle « a toujours payé (ses) vacances», vols et hôtels compris. Mam aurait même indiqué au Monde daté de ce jeudi posséder les factures qui le prouvent. Reste qu'elle ne les a toujours pas montrées*. Le Canard enchaîné, qui a révélé l'affaire, indique avoir cherché en vain à savoir qui avait réglé la facture de l'hôtel de Tabarka où ont séjourné la ministre et sa famille. Hôtel qui appartient à Aziz Miled. »
Ledit homme d'affaires censé, d'après Alliot-Marie, être « surtout une victime du clan Ben Ali ». Mais le quotidien gratuit rappelle que « Aziz Miled a cosigné l'an passé une tribune appelant le président Ben Ali à se présenter à l'élection de 2014 et il figure sur la liste des personnes dont la Suisse a gelé les avoirs après la fuite de Ben Ali, le 14 janvier. » Et voilà donc qu'on sait désormais qu'il utilisait un jet appartenant au beau-frère ben Ali ! Mentionnons enfin, pour la bonne bouche, le plus nul de tous les mensonges de Mam, parce qu'aisément vérifiable : « Il n'y avait aucune répression et même le suicide, qui était à l'origine alors là pour le coup des événements, s'est produit... à la fin de mon séjour.» C'est ce qu'a affirmé Mam au JT de France 2 mercredi soir, répondant aux critiques sur son choix d'aller passer des vacances en Tunisie, elle, ministre des Affaires étrangères, alors que le pays était déjà en proie à des troubles. Là, les faits contredisent clairement sa version. Mohamed Bouazizi, le jeune vendeur ambulant et diplômé au chômage, s'est immolé par le feu le 17 décembre dernier, devant la préfecture de la ville de Sidi Bouzid. Or, Michèle Alliot-Marie et sa famille se sont rendus en Tunisie entre Noël et le Premier de l'an. »

La tribune des officiers supérieurs lors des exercices Bright Star 05/06 à Moubarak Military City. L’armée égyptienne est formée et équipée par les Etats-Unis pour mettre en oeuvre la paix séparée israélo-égyptienne.
L'image des chars d'assaut qui surveillent les centres névralgiques du Caire, entourés par la marée de manifestants, est emblématique. Ce sont des M1A1 Abrams, les terribles tanks états-uniens de dernière génération, qui sont fabriqués en Egypte sur la base d'un accord de coproduction. Ils symbolisent à quel point les Etats-Unis se sont engagés dans la construction des forces armées égyptiennes et l'ampleur de la confiance qu'ils ont accordée au régime de Moubarak. En trente ans, Washington lui a fourni des aides militaires pour une valeur d'environ 60 milliards de dollars, selon les chiffres officiels, à quoi se sont ajoutés d'autres financements secrets.
Ce document comprend des mesures effroyables visant à semer intentionnellement le chaos et la terreur dans les rangs du peuple et à entamer une campagne pour dérouter les médias.
Voici le texte intégral du document, comme l'a publié le quotidien précité :
Ministère de l'Intérieur Bureau du ministre
Secret et très important
Sujet : Un plan pour confronter les manifestations populaires.
Les stratégies :
- Permettre aux manifestants de passer dans les rues des villes et des villages du pays, et ne pas bloquer leur manifestation. Etre très prudent en tirant des balles réelles ou caoutchoutées, et des bombes lacrymogènes et se soumettre aux ordres des officiers hauts gradés.
- Enrôler bon nombre de voyous, leur bien payer, se réunir avec eux dans leurs domiciles ou dans les lieux de rencontre publics, (...) les renseigner sur le plan de mobilisation (...) dont le but est de semer le chaos progressivement.
Les principales banques américaines cotées à Wall Street ont versé un montant record de bonus à leurs salariés en 2010. Le total de leurs primes et bonus s'élève à 135 milliards de dollars, révèle une enquête du Wall Street Journal (WSJ), soit 5,6% de plus qu'en 2009.
141.000 dollars par employé
Les salaires ont eux aussi progressé tout au long de la crise. Selon le WSJ, la masse salariale des 25 plus grands établissements de Wall Street était de 377 milliards en 2007, 411 milliards en 2009 et 415 milliards en 2010. La rémunération totale moyenne par employé a augmenté de 3% à environ 141.000 dollars, « même si ce chiffre varie considérablement d'une entreprise à l'autre».
Entre 2003 et 2010, ce Britannique intrépide et courageux sillonne l'Europe entière, au gré des manifestations qui accompagnent les sommets du G8, du G20 ou de l'Otan. On le retrouve ainsi à Gleneagles, Heiligendamm, Londres, Baden-Baden ou encore Strasbourg. En Islande, aussi. Au Danemark, en Italie, en Espagne.
Il ne compte ni son temps, ni son argent pour apporter soutien logistique et conseils en tout genre à ses compagnons de lutte. Et quand il ne leur apprend pas à s'enchaîner efficacement, il participe à des coups - à moins qu'il ne les initie ? - , comme ce blocage en 2009 de la centrale de Ratcliffe-on-the-Soar, propriété du géant de l'électricité allemand E.ON.
Las, le coup échoue. Avant même que les activistes ne s'invitent dans la centrale, la police intervient. Etonnamment, Stone est le seul à ne pas être inquiété sur l'heure par la justice. Et pour cause.
Depuis mars 2008, la Fed a racheté pour 1 250 milliards de dollars de MBS (ces fameux actifs titrisés adossés sur des crédits hypothécaires) dépourvus de valeur, mais en les payant à leur valeur nominale. [*] Mais le capital de la Fed n'est que de 50 milliards de dollars, ce qui représente donc un effet de levier de 23 pour 1 (1250/50 = 23) rien que pour les MBS, et 40 pour 1 si l'on compte l'ensemble de ses actifs. C'est-à-dire qu'elle est dans un état pire que les banques de Wall Street au moment de la crise. Comme l'a expliqué le Wall Street Journal lui-même, une simple perte de 10 % sur ses MBS suffirait à anéantir le capital et les profits de la Fed.
Omar Souleiman n'est pas un homme apprécié du peuple comme le prétendent certains journalistes aux ordres.
Étroitement lié aux services secrets israéliens pour combattre l'opposition politique égyptienne et pourchasser notamment les Frères musulmans ainsi que les Palestiniens soupçonnés de sympathie avec le Hamas, Souleiman est l'homme des basses œuvres.
La nomination d'Omar Souleiman, si elle satisfait pleinement Tel Aviv, ne paraît pas de nature à apaiser la colère des Égyptiens. Elle doit particulièrement offenser ceux que ses services ont inscrit abusivement sur la « liste terroriste ».
Encore une coïncidence troublante autour du 11-Septembre : parmi les 5 niveaux d'alerte possibles (Normal, Alpha, Bravo, Charlie et Delta) du système informatique de la Défense US, c'est celui le plus bas (Normal) qui a été positionné à peine 24 heures avant les attentats du 11/9. Pour quelles raisons ? Pourquoi juste la veille ? Autant de questions détaillées dans cet article de Shoestring paru sur le site 911Blogger.
Un projet de Loi pourrait donner au président Barack Obama le pouvoir de couper l'Internet dans le cas d'une cyberattaque, une proposition des sénateurs démocrate Joseph Lieberman et républicaine Susan Collins.
Concrètement, le président américain pourrait intervenir pour éteindre les systèmes informatiques privés en cas d'urgence, -en matière de cybersécurité et de sécurité nationale-, et les entreprises seraient tenues de partager leurs informations, rapportent les médias américains.