Le déficit d'autorité des dirigeants présents au G7 se lit dans les guerres sans fin que ce sommet a décidé de perpétuer. Le rituel usé du G7, récemment mis en scène dans les Pouilles, a abouti à la prolongation
ad libitum du massacre du peuple ukrainien, pour la poursuite duquel 50 milliards seront investis annuellement pendant les dix prochaines années, sous forme de prêts garantis par le bénéfice tiré des avoirs russes gelés par les banques occidentales au début des hostilités.
Phot de famille des sept nains.
Non pas une décision collective, née du consensus des dirigeants des nations libres, mais une banale adhésion des colonies aux diktats de l'Empire, les pays européens s'étant longtemps crispés sur le sujet en raison des risques encourus (redoutés d'ailleurs par les banques, voir Reuters).