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Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Le flot des dernières statistiques de l'économie de la zone euro met à nu le jeu de communication perfide de Mario Draghi en faveur des stratégies financières que veulent mener ses patrons officieux américains.
Mario Draghi apparaît de plus en plus comme l'agent ennemi au service des intérêts de la mafia de Wall Street pour torpiller l'Europe et conditionner une batterie d'éléments en faveur d'une explosion sociale. Bien sûr, restons objectifs, il est relayé pour ce faire par d'autres électrons au service de ce plan : des politiciens de nationalités différentes et bien connus des lecteurs européens de LIESI.
La « reprise économique » de Mario Draghi et sa communication plaidant pour un renforcement de l'euro font contraste avec les publications des informations macro-économiques des pays de la zone euro.
La presse économique européenne tend désormais à mettre en évidence le fait que les politiques d'austérité conduisent la zone euro vers le mur et
la vitesse que prend cette perspective risque de rendre très difficile un changement de cap. Les mesures d'injection monétaires se sont faites au détriment de l'économie réelle et alimentent la bulle des produits dérivés, fragilisant donc les banques. La solution monétaire des banques centrales ne peut donc plus être utilisée pour l'économie réelle. La presse confidentielle anglo-saxonne (lettres confidentielles auxquelles nous sommes abonnés) cite de plus en plus de déclarations de banquiers européens évoquant une « faillite de la BCE » à cause de ses produits toxiques gonflant démesurément au fil des mois.
Question chiffre : le recul de 0,6 % sur un trimestre de la richesse de la zone euro est la troisième plus forte dégringolade enregistrée depuis 1995, autrement dit, depuis qu'Eurostat a commencé à réaliser des statistiques sur l'Union économique et monétaire. Pour le Portugal on compare la récession actuelle à celle de 1975, et pas une éclaircie pour le moment à attendre. Lisbonne est déjà visitée par les technocrates de Bruxelles qui insistent désormais pour une restructuration du secteur bancaire.
Commentaire: Comment savoir si un pays fait partie de cette clique de pathocrates internationaux, autrement dit, le Nouvel Ordre Mondial ? Regardez s'ils ont passé des lois anti-tabac.