Les Maîtres du Monde
L'administration Obama vient de présenter une étonnante justification pour avoir déclenché une guerre contre la Libye sans l'approbation du Congrès exigée par la Constitution et la loi « War Powers Resolution » de 1973.
Des avions américains décollent, pénètrent l'espace aérien libyen, localisent des cibles, larguent des bombes, des bombes qui tuent et qui détruisent. C'est la guerre. Certains disent que c'est une bonne guerre et d'autres le contraire, mais aucun doute n'est possible, il s'agit bien d'une guerre.
Néanmoins, l'administration Obama insiste pour dire que ce n'est pas une guerre. Pourquoi ? Parce que, selon un rapport de 32 pages publié la semaine dernière par le gouvernement et intitulé « United States Activities in Libya », « les opérations américaines n'impliquent pas de combats soutenus ou d'échanges de tirs avec des forces hostiles, ni la présence de troupes américaines au sol, ni de victimes américaines ou de risque tangible d'escalade vers un conflit qui serait caractérisé par ces facteurs. »
En d'autres termes, le déséquilibre des forces est tellement en faveur des Etats-Unis qu'aucun Américain ne meurt ou ne risque sa vie. Apparemment, une guerre n'est une guerre que lorsque des Américains meurent, lorsque « nous » mourrons. Lorsque les seuls morts sont les « autres », les Libyens, c'est autre chose, une chose pour laquelle on n'a pas encore trouvé de nom. Lorsque les autres attaquent, c'est une guerre. Lorsque nous attaquons, ce n'est pas une guerre.
Situé dans un lieu tenu secret dans les collines de Jérusalem occupée, cet abri souterrain, construit ces dernières années, est doté de systèmes de télécommunications et des antimissiles, selon les médias.
De même source, les ministres n'ont été informés que mardi de leur obligation de participer à cet exercice en se rendant de façon organisée dans ce bunker, sans leurs téléphones portables.
Les sirènes d'alerte devaient retentir en fin de matinée pendant une minute et demie sur tout le territoire occupé, pour appeler les Israéliens à se réfugier pendant dix minutes dans les abris publics ou les chambres et espaces protégés à domicile, sur leur lieu de travail, ainsi que dans les écoles et jardins d'enfants.

Des milliers de Bahreïnis ont manifesté pacifiquement dans les rues de Sintra, le 17 juin, à l'appel du parti chiite Wefaq.
Treize autres prévenus faisant face au même chef d'accusation ont été condamnés à diverses peines de prison par le tribunal spécial.
Les 21 accusés avaient été arrêtés dans le cadre des importantes manifestations organisées par l'opposition, majoritairement chiite, qui ont secoué Bahreïn cet hiver.
Les manifestants réclamaient des libertés politiques accrues, avec l'instauration d'une véritable monarchie constitutionnelle limitant les pouvoirs de la famille royale Al-Khalifa, voire d'une république.
L'histoire des conflits armés impliquant les États-Unis nous enseigne que, lorsque la mobilisation vers la guerre devient difficile, des campagnes de relations publiques sont initiées, souvent basées sur des histoires entièrement inventées. Par exemple, lorsqu'en 1990 le [chef d'état-major des armées] Colin Powell exprima ses doutes sur la pertinence d'une intervention des États-Unis au Koweït, des récits basés sur des photos satellite classifiées émergèrent - récits selon lesquels Saddam avait amassé 265 000 soldats et 1 500 chars au bord de la frontière avec l'Arabie saoudite. Powell changea alors d'avis, et l'attaque eut finalement lieu. Mais après l'invasion, une journaliste du St. Petersburg Times consulta des photos prises par un satellite commercial, et « elle ne vit aucun signe d'un quart de million de soldats ou de leurs chars. » [3]
Il est difficile de spéculer, mais je pense que nous n'en sommes pas loin, a dit M. Svanberg, cité par l'agence Dow Jones Newswires.
L'explosion et le naufrage de la plate-forme BP Deepwater Horizon le 20 avril 2010 au large de la Louisiane avait fait 11 morts et provoqué la pire marée noire de l'histoire des Etats-Unis.
A la suite de cet accident, le gouvernement américain avait imposé un moratoire sur les forages en eaux profondes dans le Golfe du Mexique, avant de le lever en octobre dernier.
La Commission européenne a annoncé lundi 20 juin une sévère réduction l'an prochain de l'allocation au programme d'aide alimentaire destiné aux plus démunis des Européens, ramenée à 113 millions d'euros, soit 400 millions de moins que cette année. Selon plusieurs associations caritatives, cette baisse drastique de l'aide aux plus démunis pourrait priver au moins 2 millions d'Européens de l'aide alimentaire dont ils ont besoin. Ces dernières années, le Programme européen d'aide aux plus démunis (PEAD) était abondé à hauteur d'environ 500 millions d'euros par an. Selon les estimations, 43 millions de personnes dans l'UE sont menacées par la pauvreté alimentaire.
"Cette réduction (des fonds) est le fait d'un arrêt rendu par (la justice européenne) en avril dernier dans lequel la juridiction européenne établit que la réglementation actuelle impose que les denrées couvertes par ce régime proviennent des stocks publics de l'UE" et non de fonds issus du budget de la Politique agricole commune (PAC), a expliqué la Commission dans un communiqué. Du fait de cette décision de justice, les années où l'UE ne dégage pas de stocks, le Programme européen d'aide aux plus démunis (PEAD) voit ainsi ses moyens drastiquement réduits.
« La décision de ne permettre qu'à 300 passagers de quitter le secteur chaque jour est insuffisante. Elle entrave la vie de la population et leur besoin de voyager pour un traitement médical, pour poursuivre des études ou chercher un travail, voire visiter un parent », a indiqué le directeur de cette Fondation pour les droits de l'homme, Khalil Abou Shamala, lors d'un point de presse samedi dernier.
Et d'ajouter que « la situation des voyageurs du passage de Rafah sont une forme de mépris de la dignité humaine qui est contraire aux principes de respect des droits de l'homme les plus élémentaires ».
Le porte-parole officiel libyen, Moussa Ibrahim, a déclaré aux journalistes que ce raids aérien confirme que l'OTAN est entrée dans une nouvelle phase des opérations militaires visant à détruire les quartiers résidentiels de la région de Tripoli.
Invité : Flore Vasseur au sujet du Groupe Bilderberg, l'élite ploutocratique, qui prend des décisions en dehors de tout contrôle démocratique.
Pour en savoir plus sur les officines mondialistes de David Rockefeller oeuvrants pour l'établissement d'un Gouvernement Mondial, lisez :
- "La véritable histoire des bilderbergers" de Daniel Estulin.
- "Rencontres au sommet" de Michael Gama.
- "L'oligarchie, ça suffit, vive la démocratie" de Hervé Kempf.
- "Faits et chroniques interdits au public - Tome I" de Pierre Faillant de Villemarest.
- "Faits et chroniques interdits au public - Tome II" de Pierre Faillant de Villemarest.
- "Faits et chroniques interdits au public - Tome III" de Pierre Faillant de Villemarest.
- "La marche irrésistible du nouvel ordre mondial" de Pierre Hillard.
- "Tous pouvoirs confondus. Etat, Capital et Médias à l'ère de la mondialisation" de Geoffrey Geuens.
- "Encyclopédie politique française tome II" d'Emmanuel Ratier.
- "Au cœur du Pouvoir" d'Emmanuel Ratier.
- "Faits & Documents" d'Emmanuel Ratier.
- "Comprendre l'Empire" de Alain Soral.
Et visionnez :
Pour en savoir plus sur le "Groupe Bilderberg"
Commentaire: Comme la plupart des journalistes mainstream, Flore Vasseur a la hantise d'être taxée de conspirationniste ou théoricienne du complot, et s'en défend maladroitement. Or, ce qu'elle décrit précisément dans cette interview, c'est la réalité même du complot : un groupe de personnes se réunissant à huis clos pour prendre des décisions secrètes, et où rien ne filtre de ces réunions.