Les Maîtres du Monde
L'histoire de la Maison Blanche sur "la mort de Ben Laden" s'est totalement décousue par elle-même. Cela fait-il une différence de savoir que dans les 48 heures qui suivirent l'annonce télévisée du président Obama de dimanche soir, l'histoire a tellement changé, qu'elle ne présente plus aucune crédibilité ?
Cela n'a jusqu'ici eu aucune importance pour la BBC, autrefois célèbre et renommée, qui le 9 Mai, 8 jours plus tard, continue de répéter la litanie propagandiste que les navy SEALS ont tué Ben Laden dans son complexe pakistanais, la où Ben Laden vivait en voisin de l'académie militaire pakistanaise, entouré de l'armée pakistanaise.
Même le président pakistanais ne trouve rien à redire de cette histoire rocambolesque. La BBC rapporte que le président lance une enquête totale pour savoir comment Ben Laden a bien pu vivre pendant des années dans une ville de garnison sans jamais être repéré.
Pour la plupart des Américains, l'histoire a commencé et fini avec ces cinq mots: "nous avons eu Ben Laden". Les célébrations, la saveur sucrée de la vengeance, du triomphe et de la victoire sur "l'homme le plus dangereux de la planète" sont semblables à l'excitation expérimentée par les supporteurs de sport quand leur équipe de foot bat leur vieil ennemi ou quand leur équipe de baseball gagne les world series. Aucun fan ne veut entendre le jour d'après que cela n'est pas vrai, que tout cela était une erreur. Si ces Américains, des années dans le futur, apprennent que cette histoire n'a été qu'une fadaise orchestrée afin de propulser quelque agenda que ce soit, ils refuseront de le croire et diront que tout cela n'est que du défaitisme libéral-rose-coco.

Bachar Al-Assad est pour l'instant épargné par les sanctions européennes à l'égard du régime syrien.AFP/-
Le président Bachar Al-Assad échappe dans l'immédiat aux sanctions en raison de divergences au sein de l'Union, mais son entourage et les principaux acteurs de la répression figurent sur la liste des personnalités sanctionnées. En tête, le frère cadet du président, présenté comme "le principal maître d'œuvre de la répression contre les manifestants". Il précède sur la liste le chef des renseignements généraux et le nouveau ministre de l'intérieur. Les plus hauts responsables de l'appareil répressif syrien sont également en bonne place, comme les chefs de la sécurité politique, du renseignement militaire et du renseignement militaire de l'armée de l'air.
Le dirigeant libyen n'est pas apparu en public depuis le 30 avril, peu après un raid aérien visant un bâtiment de son complexe, Bab al Aziziah, où son fils cadet, âgé de 29 ans, et trois de ses petits-enfants ont péri.
Les autorités libyennes ont montré mardi aux journalistes étrangers à Tripoli un hôpital dont certaines vitres avaient été soufflées, semble-t-il par l'onde de choc d'une explosion survenue lors d'un raid de l'Otan, lequel a détruit une tour de télécommunications voisine.
Les journalistes ont également été conduits vers un bâtiment complètement détruit qui abritait, selon les autorités, la Haute commission pour l'enfance. Ce bâtiment colonial avait déjà été endommagé fin avril.
Il a ajouté que Ben Laden est mort depuis longtemps, et n'était pas vivant au moment où Washington a prétendu son assassinat.
Pour M.Moslehi, l'annonce de son assassinat relève d'un coup médiatique, visant à détourner l'attention de l'éveil islamique qui domine la région.
Cette augmentation fait suite à une année au cours de laquelle la rémunération des patrons américains les mieux payés était restée stable.
Réalisée par le cabinet de conseil en gestion Hay Group pour le compte du Wall Street Journal, l'étude indique que l'augmentation a été largement due à la décision des conseils d'administration de récompenser les directeurs généraux de bons résultats et de hausses du prix des actions des sociétés concernées en leur accordant de plus gros bonus et primes en actions.
Le patron du groupe de médias Viacom, Philippe Dauman, domine le classement avec une rémunération évaluée à 84,3 millions de dollars, plus du double de sa paie de 2009, indique l'étude.
L'ancien vice-président américain Dick Cheney a plaidé dimanche, après l'élimination d'Oussama Ben Laden par un commando américain, pour un retour aux techniques d'interrogatoires musclées.
Celles-ci avaient été instaurées par l'administration Bush pour lutter contre le terrorisme.
Un autre membre important de l'équipe de George W. Bush, l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, a fait des déclarations similaires.
Devant l'ampleur des difficultés rencontrées par le pays, les Européens envisagent d'apporter une aide supplémentaire à la Grèce afin de se "substituer aux marchés en 2012", a déclaré lundi à l'AFP une source européenne.
Samedi déjà, le chef de la zone euro Jean-Claude Juncker avait estimé que la Grèce avait besoin d'un "programme d'ajustement supplémentaire".
De fait, la dette de la Grèce, qui pesait 115% du PIB au lancement en mai 2010 du premier plan de sauvetage du pays, via un prêt de 110 milliards de l'Union européenne et du Fonds monétaire international, aura gonflé à 152% fin 2011.
L'accusation est grave. Selon le journal britannique The Guardian, l'OTAN et des effectifs militaires européens non identifiés auraient laissé une soixantaine de migrants mourir de faim et de soif en Méditerranée. L'Alliance a démenti, hier, avoir refusé de porter assistance au navire en détresse à la fin de mars.
«Un seul porte-avions était sous commandement de l'OTAN à cette date, le navire italien Garibaldi, et il se trouvait à plus de 100 milles nautiques au large, a affirmé Carmen Romero, porte-parole de l'organisation. Par conséquent, toute déclaration affirmant qu'un porte-avions de l'OTAN a repéré puis ignoré le navire en détresse est fausse.»
Selon le Guardian, un navire transportant 72 personnes, dont une vingtaine de femmes et deux enfants en bas âge, a quitté Tripoli le 25 mars en direction de l'île italienne de Lampedusa. Après une avarie, le bateau s'est retrouvé à la dérive. Les migrants auraient alors averti, grâce au téléphone satellitaire du navire, un prêtre érythréen qui dirige une association à Rome. Et ce dernier a alerté les garde-côtes italiens.
Les manipulateurs médiatiques aiment une belle histoire qu'ils peuvent monter en épingle, déformer et falsifier pour attirer les lecteurs qui ne se rendent pas compte qu'on leur donne des nouvelles arrangées au lieu de la vérité.
Qui plus est, plus l'événement est important, plus sa couverture est mauvaise, et il est exaspérant de constater que, bien qu'ils aient été bernés mille fois, des quantités de gens continuent à faire confiance à des sources aussi peu sures que la radio et le chaînes de télévision étasuniennes, ainsi qu'aux magazines populaires et aux journaux appartenant à des multinationales qui publient des sottises qui ne devraient jamais être imprimées.
Depuis l'annonce d'Obama le premier mai, la nouvelle fait les gros titres des médias qui la passent en boucle ad nauseum, applaudissant la mort d'un homme, une mort qu'il est interdit de remettre en question.
Je l'ai pourtant fait dans un article précédent (http://sjlendman.blogspot.com/2011/...) dans lequel j'ai tenté de séparer les faits de la fiction comme suit :
Pour ne pas avoir à présenter des photos qui n'existent pas concernant l'exécution de Ben Laden le 1er Mai, Obama et ses Maitres prennent pour prétexte un soi-disant risque de susciter des réactions de vengeance chez ses supporters !
Evidemment, tout cela ne tient pas la route un seul instant...
Mais accrochez-vous : l'administration US devrait par l'intermédiaire de « SITE« , un site internet monté par une responsable israëlienne, spécialisé dans la diffusion de vidéos bidonnées de Ben Laden et ressuscité pour l'occasion, diffuser un message soi-disant posthume de Ben Laden au monde entier, un message enregistré soi-disant autour du 20 avril 2010 et appelant à la lutte contre l'Occident comme tous les messages attribués par cette clique à Ben Laden !!!