Les Maîtres du Monde
Devant l'ampleur des difficultés rencontrées par le pays, les Européens envisagent d'apporter une aide supplémentaire à la Grèce afin de se "substituer aux marchés en 2012", a déclaré lundi à l'AFP une source européenne.
Samedi déjà, le chef de la zone euro Jean-Claude Juncker avait estimé que la Grèce avait besoin d'un "programme d'ajustement supplémentaire".
De fait, la dette de la Grèce, qui pesait 115% du PIB au lancement en mai 2010 du premier plan de sauvetage du pays, via un prêt de 110 milliards de l'Union européenne et du Fonds monétaire international, aura gonflé à 152% fin 2011.
L'accusation est grave. Selon le journal britannique The Guardian, l'OTAN et des effectifs militaires européens non identifiés auraient laissé une soixantaine de migrants mourir de faim et de soif en Méditerranée. L'Alliance a démenti, hier, avoir refusé de porter assistance au navire en détresse à la fin de mars.
«Un seul porte-avions était sous commandement de l'OTAN à cette date, le navire italien Garibaldi, et il se trouvait à plus de 100 milles nautiques au large, a affirmé Carmen Romero, porte-parole de l'organisation. Par conséquent, toute déclaration affirmant qu'un porte-avions de l'OTAN a repéré puis ignoré le navire en détresse est fausse.»
Selon le Guardian, un navire transportant 72 personnes, dont une vingtaine de femmes et deux enfants en bas âge, a quitté Tripoli le 25 mars en direction de l'île italienne de Lampedusa. Après une avarie, le bateau s'est retrouvé à la dérive. Les migrants auraient alors averti, grâce au téléphone satellitaire du navire, un prêtre érythréen qui dirige une association à Rome. Et ce dernier a alerté les garde-côtes italiens.
Les manipulateurs médiatiques aiment une belle histoire qu'ils peuvent monter en épingle, déformer et falsifier pour attirer les lecteurs qui ne se rendent pas compte qu'on leur donne des nouvelles arrangées au lieu de la vérité.
Qui plus est, plus l'événement est important, plus sa couverture est mauvaise, et il est exaspérant de constater que, bien qu'ils aient été bernés mille fois, des quantités de gens continuent à faire confiance à des sources aussi peu sures que la radio et le chaînes de télévision étasuniennes, ainsi qu'aux magazines populaires et aux journaux appartenant à des multinationales qui publient des sottises qui ne devraient jamais être imprimées.
Depuis l'annonce d'Obama le premier mai, la nouvelle fait les gros titres des médias qui la passent en boucle ad nauseum, applaudissant la mort d'un homme, une mort qu'il est interdit de remettre en question.
Je l'ai pourtant fait dans un article précédent (http://sjlendman.blogspot.com/2011/...) dans lequel j'ai tenté de séparer les faits de la fiction comme suit :
Pour ne pas avoir à présenter des photos qui n'existent pas concernant l'exécution de Ben Laden le 1er Mai, Obama et ses Maitres prennent pour prétexte un soi-disant risque de susciter des réactions de vengeance chez ses supporters !
Evidemment, tout cela ne tient pas la route un seul instant...
Mais accrochez-vous : l'administration US devrait par l'intermédiaire de « SITE« , un site internet monté par une responsable israëlienne, spécialisé dans la diffusion de vidéos bidonnées de Ben Laden et ressuscité pour l'occasion, diffuser un message soi-disant posthume de Ben Laden au monde entier, un message enregistré soi-disant autour du 20 avril 2010 et appelant à la lutte contre l'Occident comme tous les messages attribués par cette clique à Ben Laden !!!
David Ben Gourion
Alors que Fatah et Hamas, les frères ennemis, se réconcilient enfin dans l'intérêt du peuple palestinien, Israël s'indigne et refuse de dialoguer avec les islamistes, saisissant l'occasion de freiner, une fois de plus, les négociations sur la création d'un Etat arabe en Palestine...
Après plus de soixante ans d'annexion progressive de la Palestine par l'Etat d'Israël, d'occupation et d'extension de la colonisation juive, il est indéniable que l'objectif du « Mouvement sioniste », fondé à la fin du XIXème siècle par Théodore Herzl, est pour ainsi dire atteint : le « Grand Israël », l'Etat juif, n'est plus très loin de réaliser son expansion maximale.
En effet, dès les origines du Mouvement sioniste, bien avant l'indépendance même d'Israël, le projet de chasser les Arabes de Palestine et d'étendre un Etat juif sur toute la région a conditionné la politique des premiers colons : si, au début de leur installation, ils avaient acheté des terres disponibles, par la suite, devenus suffisamment nombreux et organisés, les colons implantèrent de force leurs kibboutz, exploitations fortifiées de palissades et miradors et défendues par une armée clandestine, la Haganah, mise sur pied et dirigée par le Mouvement sioniste.
La nuit dernière, quand Obama a annoncé la mort d'Oussama Ben Laden lors d'un discours télévisé entendu dans le monde entier, c'était au moins le neuvième grand chef d'État ou officiel gouvernemental de haut rang qui le faisait.
Compte tenu des problèmes rénaux avérés de Ben Laden et de la nécessité de dialyse qui en découlait, des officiels gouvernementaux, des chefs d'États et des experts du contre-terrorisme ont maintes fois exprimé l'avis qu'Oussama Ben Laden était mort en fait depuis quelque temps. Ces affirmations se fondaient sur sa santé défaillante en fin 2001, des signes visibles de détérioration de son état et des rapports concrets sur sa mort à la même période.
En juillet 2001, Oussama Ben Laden a été transporté à l'hôpital zunien de Dubaï pour traitement rénal. Selon des sources du Renseignement français, il a été visité là-bas par un attaché local de la CIA. Quand plus tard l'agent s'est vanté de sa rencontre auprès d'amis, il a été promptement rappelé à Washington.
À la veille du 11 septembre, Oussama Ben Laden séjournait dans un hôpital militaire pakistanais sous l'œil vigilant de l'ISI, l'homologue pakistanais de la CIA, qui a des liens profonds avec la communauté du Renseignement zunien.
La petite communauté est sous le choc. Incrédule. "Toute cette histoire a été montée de toutes pièces. Je n'en crois pas un seul mot", repètent en chœur les habitants de Bilal. C'est là, sur la commune d'Abbottadad, dans le nord du Pakistan, qu'Oussama Ben Laden a été abattu dans la nuit de dimanche à lundi dernier.
Les villageois se pressent autour de l'imposante bâtisse qui trône au milieu du village. Et parlent volontiers de leur celèbre voisin. "Comment voulez vous que Ben Laden ait pu vivre ici pendant autant de temps sans que personne ne s'en aperçoive ?" s'interroge Yassin, ébéniste. Sa maison est située à moins de 20 mètres de celle où les commandos américains sont intervenus. "Personne ne sait qui vivait là. On voyait parfois deux hommes d'une trentaine d'années sortir faire leurs courses. Ils étaient très discrets. Leurs femmes ne sortaient qu'en voiture. Mais les vitres étaient teintées."

Bombardement au phosphore sur la population civile. Plus de 1600 Palestiniens, et 13 Israéliens, ont été tués durant ou des suites de la guerre de trois semaines.
Israël s'est saisi de la guerre à Gaza en 2008 comme d'une occasion de formation pour ses forces armées à tester de nouvelles armes, a révélé le chef d'état-major israélien.
Dans un discours prononcé au Centre des Affaires stratégiques Begin-Sadate à l'université Bar-Ilan, le général Yoav Galant a déclaré que Gaza était une « zone d'entraînement idéale » car il y manque un ennemi assez puissant pour infliger des pertes sérieuses à Israël.
Galant était le commandant en chef de l'opération Plomb durci lancée par Israël contre Gaza, du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009, et dans laquelle plus de 1600 Palestiniens ont trouvé la mort. La plupart des victimes étant des femmes et des enfants.
« Et de trois... » : le commentaire est revenu en boucle dans la presse européenne, mi-ironique, mi-inquiète. Le 6 avril, le premier ministre portugais, le socialiste José Socrates, s'est en effet résolu à demander l'« aide » de l'Union européenne, après avoir affirmé des mois durant que son pays ferait face par lui-même aux échéances de remboursement de sa dette publique - 16 milliards cette année, dont une échéance critique en juin.
Lisbonne suit ainsi Athènes (avril 2010), puis Dublin (novembre 2010). A chaque fois, le scénario se déroule de manière analogue : les dirigeants nationaux refusent farouchement l'hypothèse d'un renflouement, avant de finalement céder sous la pression conjuguée des marchés financiers, et de « partenaires » européens inquiets de l'incendie qui se propage.
En effet, les élites néo-mondialistes multiplient les versions les plus loufoques et les plus improbables les unes les autres à propos de la mort officielle d'Oussama Ben Laden :
D'abord, elles nous racontent que l'ennemi public N°1 vivait en toute quiétude depuis 4 ou 6 ans (les versions changent) dans un quartier résidentiel à 80 kms de la capitale pakistanaise, Islamabad.
Puis ils nous racontent que Ben Laden était armé lors de l'assaut, et aurait utilisé sa femme pour en faire un bouclier humain, une femme qui aurait été tuée durant l'assaut, avec Ben Laden, 1 fils de Ben Laden et 1 autre personne...
Mais changement de programme : finalement il n'était pas armé et aurait été abattu parce qu'il ne voulait pas se rendre (???), et que la femme n'a pas été utilisée comme bouclier humain mais a été blessée dans l'assaut.